• “Dieu fut avec Joseph.” Genèse 39. 2, 3, 21, 23

    “Le Seigneur se tint près de lui [Paul].” Actes 23. 11

     

    La parole de Dieu nous offre beaucoup d’exemples de croyants qui ont dû faire face au défi du confinement. Pendant un temps plus ou moins long, ils ont été coupés de leur famille, de leurs amis, de la communauté des croyants.

    Quelques exemples peuvent encourager aujourd’hui ceux qui font face à ce défi.

    Joseph en Égypte

    Ce jeune homme d’environ dix-sept ans est violemment rejeté par ses frères et arraché à son environnement familier dans la proximité de son père. Il est vendu comme esclave et conduit dans un pays qui lui est totalement inconnu. Mais là, il fait l’expérience que “L'Éternel est près de ceux qui ont le cœur brisé” (Ps. 34. 19). Dieu est avec lui, notamment lorsqu’il est incarcéré suite à une accusation mensongère (Psaume. 105. 18).

    Les exilés à Babylone

    Arrachés à leur pays à cause de leur péché d’idolâtrie, les Juifs restent 70 ans en Babylonie privés de leur accès au Temple. Mais, à ceux qui se tournent vers Dieu dans la repentance, Dieu dit : “Je serai pour eux un sanctuaire durant quelques temps” (Ézéchiel. 11. 16).

    Les compagnons de Daniel dans la fournaise

    Daniel est entraîné avec trois autres compagnons dans la déportation à Babylone et mis au service du roi. Les trois compagnons, dans leur fidélité à Dieu et leur refus catégorique de l’idolâtrie, sont jetés dans la fournaise ardente. Mais là encore, Dieu est avec eux, sous la forme d’un quatrième homme, semblable à un fils de Dieu (Dan. 3. 24). Dieu est aussi avec nous dans nos fournaises, toutes proportions gardées, et brûle au passage quelques “liens”.

    L’apôtre Paul connaît à plusieurs reprises le confinement étroit et malsain d’une prison (Jérusalem, Césarée, Rome). Il fait alors cette expérience : “C'est le Seigneur qui m'a soutenu et fortifié” (2 Tim. 4. 17).

    L’apôtre Jean, très âgé, est exilé sur l’île de Patmos, séparé de la communauté des croyants d’Éphèse. Mais avec la douce pensée qu’il est là pour la Parole de Dieu et le témoignage de Jésus Christ. Il aura là la vision extraordinaire “des choses qui doivent arriver bientôt”.

    Vous êtes peut-être confiné dans une chambre d’hôpital, dans une maison de retraite, ou même chez vous ; dans votre souffrance, Dieu peut se révéler à vous d’une façon spéciale.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • Si vous aviez de la foi comme un grain de moutarde, vous diriez à cette montagne : 'Déplace-toi d'ici jusque-là' et elle se déplacerait ; rien ne vous serez impossible. Matthieu 17.20

     

    Une objection courante pour ne pas prier pour les malades est le sentiment d’indignité :

    . Qui suis-je pour guérir les malades ?

    . Je ne me sens pas digne, je ne suis pas assez saint(e).

    . Je n’ai pas assez de foi.

    . Je ne suis pas un pasteur.

    . J’ai tellement de problèmes.

    . Etc.

    Laissez-moi vous poser une question : si vous expliquez le plan du salut à quelqu’un et que cette personne décide d’obéir à Jésus, de renoncer au péché et de saisir le salut par la foi, est-ce que votre vie personnelle ou votre sentiment d’indignité pourrait empêcher cette personne d’être sauvée ? 

    Bien sûr que non ! Et heureusement !

    "Voici la seule qualification requise pour guérir les malades : croire en Jésus."

    Jésus a confié la mission d’annoncer l’Évangile aux hommes et pas aux anges. Paul dit aussi que si l’Évangile est annoncé avec de mauvais motifs, les auditeurs peuvent être sauvés quand même. (Philippiens 1.15-18)

    La raison est que ce n’est pas le messager qui sauve, mais le sauveur. De la même façon, ce n’est pas celui qui impose les mains ou celle qui prie qui sont importants, mais c'est Jésus, le guérisseur. 

    Dieu veut juste que vous croyiez qu’il vous fait confiance. Sa foi en vous est plus grande que vous ne le pensez. 

    Voici la seule qualification requise pour guérir les malades : croire en Jésus.

    Jésus n’a pas dit : "Ceux qui sont saints", ou "ceux qui sont anciens dans la foi", ou encore "ceux qui connaissent la Bible par cœur". Non, il a dit : "Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils pourront chasser les démons, parler de nouvelles langues, attraper des serpents, et s'ils boivent un breuvage mortel, celui-ci ne leur fera aucun mal ; ils poseront les mains sur les malades et ceux-ci seront guéris." (Marc 16.17-18)

    Aujourd’hui, c’est le temps de faire taire votre cœur qui vous accuse, de museler l’ennemi qui vous rabaisse et de simplement croire que Dieu vous fait confiance.

    Imaginez que je programme une action très importante et très complexe sur un ordinateur. À la fin de mon travail d’expert, j’affiche à l’écran l’indication suivante : "Appuyez sur n’importe quelle touche pour activer le programme." Pensez-vous que vous en seriez capable ? C’est ce que Jésus a fait, il a tout accompli, tout préparé et il vous demande simplement de le croire et de lui obéir. C’est pour cela que le royaume de Dieu est pour ceux qui sont comme des enfants. (Luc 18.16) Ce ne sont pas les mots que vous prononcerez qui comptent, mais votre foi obéissante.

    Un engagement pour aujourd’hui

    Je veux obéir à ta Parole qui dit que ceux qui croiront en toi, ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris. Que ma foi s’appuie uniquement sur Jésus et non sur mes capacités

    David Théry

    Source (La Pensée du jour)

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  • Le secours me vient de l'Éternel, qui a fait le ciel et la terre. Qu'il ne permette pas à ton pied de trébucher, qu'il ne somnole pas, celui qui te garde ! Psaume 121. 2, 3

     

    "j'ai longtemps habité dans le sud de la France, près des calanques de Marseille, et je me souviens des promenades en mer que nous faisions parfois au printemps. Le bateau n'était pas large mais nous étions nombreux à nous entasser en faisant confiance au capitaine. Lors d'une traversée, de forte vagues, des courants contraires nous ont surpris. Pour moi qui ne savait pas nager, qu'elle angoisse ! Le capitaine voyait sur nos visages notre trouble et nous a crié : "Regardez en haut, regardez le ciel. Oubliez les vagues !" Nous avons repris confiance.

    Cette phrase m'est restée. Ne serait-ce pas le secret pour ma vie ? Dans les moments de trouble ou sur la mer parfois agitée de la vie, quand je perds pied, je lève alors les yeux vers Dieu car il est tout-puissant.

    Dieu m'aime et a tout fait pour me sauver. Il veut d'abord donner la vie éternelle et cette vie est dans son Fils, Jésus, qui est mort pour effacer les péchés de ceux qui croient en lui. Cette vie nouvelle nous permet de regarder en haut, nous ouvre le ciel où nous voyons Jésus, Sauveur et garant de notre vie avec lui pour toujours.

    Mais Dieu est aussi là tous les jours avec nous, même si nous ne le voyons pas. Il connaît nos soucis, nos angoisses mêmes, il les traverse avec nous. Il les porte pour nous. Il veut nous apprendre à nous confier pleinement en lui."

    Dieu est là, vraiment là, bien plus proche qu'on ne croit.

    Sa bonté nous fait revivre, et sa grâce nous délivre.

    Dieu est là, vraiment là, lui qui était et qui est ;

    Il sera toujours le même, Dieu est là.

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Ne jugez pas afin de ne pas être jugés, car ont vous jugera de la même manière que vous avez jugés et on utilisera pour vous la mesure dont vous vous serez servis.” Matthieu 7. 1, 2

     

    Cette parole de Jésus — “ne jugez pas” — est peut-être l’une de ses paroles les plus souvent citées. Mais que signifie-t-elle au fond ?

    Est-ce qu’elle nous invite à penser que tout se vaut : l’honnêteté et le vol, la vérité et la tromperie, l’amour et la haine, etc. ? Bien sûr que non ! Affirmer cela irait à l’encontre de la révélation de la Bible qui nous dit que Dieu aime le bien et qu’il hait le mal. Nous avons la possibilité et même l’exigence de discerner entre le bien et le mal. C’est toute la raison d’être de la conscience.

    Dans une autre situation, Jésus dit à ses opposants : “Ne jugez pas d'après l'apparence, mais portez un jugement juste” (Jean 7. 24). En rapprochant ces deux paroles, j’ai l’impression que Jésus nous invite à porter un jugement juste sur les situations mais à ne pas juger les personnes. Si je juge les motivations de l’autre, j’usurpe illégitimement l'action de la Parole de Dieu qui seule, assimilée à Dieu lui-même, “juge les sentiments et les pensées du cœur” (Héb. 4. 12).

    Cet ordre de ne pas juger est inclus dans ce que l’on appelle le discours de Jésus sur la montagne (Matthieu 5 à 7). Jésus proclame un nouveau mode de relations entre ses disciples. Il nous appelle à passer de relations de compétition, de pouvoir, de mépris et de jugement à des relations d’humilité, de justice, de pureté, de miséricorde et de paix.

    Dans cette perspective nouvelle, nous comprenons que mon jugement sur l’autre, même inexprimé, met une barrière dans mon cœur et bloque toute liberté de communion. En le jugeant, je place mon prochain à distance, je l’observe, je le critique, je médis peut-être à son propos… au lieu de le recevoir comme confié par Dieu à mon amour et à mon service. Cet amour inconditionnel du prochain, qui vient de Dieu, obtient ce que ne pourrait jamais atteindre le jugement humain : la prise de conscience du mal et son rejet par celui même qui en est l’auteur.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • Que le sage écoute, et il augmentera son savoir ! Proverbe 1.5

     

    Pour grandir, il vous faut intégrer trois principes. 

    1- Plus vous donnez, plus vous évoluez. 

    Votre générosité va créer plus d’espace en vous pour grandir. Alors, donnez sans ménager votre peine. Efforcez-vous toujours de rendre les gens meilleurs et vous le serez à votre tour. Salomon a dit : "Celui qui répand la bénédiction sera dans l’abondance, et celui qui arrose sera lui-même arrosé." (Proverbe 11.25) Tout est résumé dans cette épitaphe gravée sur une pierre tombale : "Ce que j’ai donné, je l’ai. Ce que j’ai dépensé, je l’avais. Ce que j’ai gardé, je l’ai perdu."

    "Le couvercle de votre vie, c’est vous."

    2- Plus vous évoluez, plus vous accomplissez. 

    Êtes-vous dans une impasse spirituelle, relationnelle, professionnelle ou personnelle ? Vous ne débloquerez pas la situation par des changements de façade, comme trouver un autre emploi, quitter la maison ou changer d’église. Personne ne vous met la tête dans le sac, à part vous-même. Le couvercle de votre vie, c’est vous. Si vous voulez vraiment débloquer la situation :

    . Ne cherchez plus des remèdes de fortune

    . Regardez‐vous bien en face

    . Acceptez d’être responsable de ce que vous voyez

    . Priez et décidez de faire ce qu’il faut 

    3- Il ne suffit pas de rêver, il faut agir. 

    Les tribus tartares jetaient un sort particulier à leurs ennemis. Ils ne tiraient pas leurs épées, ne les laissaient pas mourir de faim. Ils disaient simplement : "Que vous restiez pour toujours à la même place."

    Si vous ne cherchez pas chaque jour à vous améliorer, vous subirez le même sort. Vous finirez coincé(e) au même endroit, à faire les mêmes choses, les mêmes rêves, et ne jamais aller nulle part. Alors, évoluez !

    Une prière pour aujourd’hui

    Jésus, permets-moi d’évoluer et d’acquérir sagesse et savoir. Amen.

    Bob Gass

    Source (La Pensée du Jour)

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