“Demandez et l'on vous donnera, cherchez et vous trouverez, frappez et l'on vous ouvrira. En effet, toute personne qui demande reçois, celui qui cherche trouve et l'on ouvre à celui qui frappe.” Matthieu 7. 7, 8

Cette parole de Jésus est rapportée par Matthieu et Luc. Par trois indications simples, concrètes, “demandez, cherchez, frappez”, Jésus nous encourage à prier. « Il veut nous entraîner à surmonter notre timidité, en dissipant nos doutes et nous voir aller de l’avant avec hardiesse et confiance » (Martin Luther).

“Demandez et l'on vous donnera”. Il y a beaucoup de choses que Dieu accorde à tous, méchants et bons, justes et injustes, sans qu’ils ne les lui demandent (Matt. 5. 45). Mais il y a aussi des bénédictions que Dieu donne en réponse aux demandes. Ces réponses de Dieu fortifient notre foi.

Pourtant, il nous est arrivé à chacun de demander… et nous n’avons pas reçu. Pourquoi ? Il se peut que les raisons de nos demandes n’étaient pas bonnes (Jac. 4. 3) ; mais parfois les raisons semblent bonnes et pourtant nous ne recevons pas la réponse espérée.

“Cherchez et vous trouverez”. L’absence de réponse ne supprime pas le besoin qui a suscité la demande. L’incitation du Seigneur Jésus à la recherche écarte la résignation mais nourrit l’espérance. Le Père a de bonnes choses à donner. Quelle est sa volonté, s’il les retient ? La demande insatisfaite engendre la recherche de la volonté du Père : il veut la révéler.

“Frappez et l'on vous ouvrira”. Celui qui frappe à la porte ne se satisfait pas de sa fermeture : il espère son ouverture par la personne qui est derrière. Parfois il semble que Dieu soit comme derrière une porte fermée. Le Seigneur Jésus nous assure que, sur notre insistance, la communication sera effective.

L’apôtre Paul a demandé d’être délivré d’un handicap dans son service. Il n’a pas eu de réponse. Il a supplié deux autres fois. La porte s’est ouverte et le Seigneur lui a dit : “Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse” (2 Cor. 12. 7-9). Gardons confiance et prions sans nous lasser jusqu’à ce que Dieu nous réponde ; soit par l’exaucement de notre demande initiale, soit en nous montrant qu’il a un autre but que ce que nous avions pensé. Dans ce cas, il veut nous donner la grâce de vivre avec une demande non exaucée.

Source (Plaire au Seigneur)

L'ange de l'Éternel lui apparut dans une flamme de feu, au milieu d'un buisson. Exode 3.2

Moïse a vécu au fin fond du désert pendant quatre décennies, soit plus de 21 millions de minutes ! C’était une vie bien monotone, jusqu’à sa révélation. Lors d’une journée qui avait débuté comme les 4 600 jours précédents, Moïse aperçoit soudain un buisson ardent. Puis il entend une voix qui sort de ce buisson et qui l’appelle par son nom. 

"Ne ratez pas ce que Dieu vous réserve."

Il dit : "En effet, vos pensées ne sont pas mes pensées et mes voies ne sont pas vos voies, déclare l'Éternel. Le ciel est bien plus haut que la terre. De même, mes voies sont bien au-dessus de vos voies, et mes pensées bien au-dessus de vos pensées." (Ésaïe 55.8-9) Parfois Dieu vous surprendra ! Un buisson qui brûle est aussi absurde qu’un âne qui parle. Oh, attendez, Dieu a fait cela aussi ! Le danger qui nous guette, si nous marchons avec Dieu depuis longtemps, est de penser que nous en avons fait le tour. Nous cherchons à le mettre en boîte, mais aucune n’est assez grande pour le contenir. 

Plutôt que d’errer sans but dans la vie et laisser se perdre vos jours, il vous faut prier chaque matin : "Père, merci pour cette nouvelle journée. Accorde-moi de trouver dans ta Parole de nouveaux aspects de ta personnalité afin que je puisse faire ta volonté et te glorifier."

Montrez plus de conscience et d’attention, ne ratez pas ce que Dieu vous réserve. Faites comme Moïse : "Moïse dit : Je vais faire un détour pour voir quel est cette grande vision, et pourquoi le buisson ne brûle pas." (Exode 3.3)

Un conseil pour aujourd’hui

Cherchez à "voir" ce que Dieu fait dans votre vie !

Bob Gass

Source (La Pensée du Jour)

Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s'y trouve est le Seigneur du ciel et de la terre, et il n'habite pas dans des temples fait par la main de l'homme. Il n'est pas servir par des mains humaines, comme s'il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, le souffle et toute chose. Actes 17. 24, 25

Le Dieu que Jésus Christ est venu nous faire connaître n'a aucune ressemblance avec les divinités et es idoles païennes. Dieu est esprit, il n'habite pas dans les temples construits par les hommes. Il ne demande pas des sacrifices, mais la louange de la part de ses créatures. Jésus a déclaré que "les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité" (Jean 4. 23). Le désir de Dieu est de sauver des pécheurs et d'en faire ses propres enfants ; ceux-ci peuvent alors l'aimer et lui rendre l'honneur qui lui est dû. Il n'a que faire d'une religion de formes et de rites, il attend un élan du coeur de ceux qu'il a sauvés.

Le principe même de la plupart des religions est d'accomplir des oeuvres et des cérémonies pour apaiser un Dieu mal connu, et satisfaire sa justice. Quand quelqu'un se prosterne devant une idole et dépose une offrande devant elle, c'est pour se rendre favorable la puissance qu'elle représente pour lui, et éloigner le malheur dans sa vie. Ce n'est pas pour de telles raisons que le chrétien rend culte à Dieu le Père et à son Fils Jésus Christ. Il n'adore pas pour être sauvé, protégé ou délivré. Le culte qu'il rend à Dieu est tout simplement l'expression de sa reconnaissance, l'occasion de le remercier et de reconnaître sa grandeur.

Croyants, puisque Dieu nous a tout donné par amour, nous pouvons tout simplement le louer avec reconnaissance et sincérité pour ce qu'il est et pour ce qu'il a fait. "Je me prosterne dans ton saint temple et je célèbre ton nom à cause de ta bonté et de ta vérité" (Psaume 138. 2).

Source (La Bonne Semence)

“Il existe avant toutes choses et tout subsiste en lui. Il est la tête du corps qu'est l'Église ; il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en tout le premier.” Colossiens 1. 17, 18

Jésus Christ tient la première place dans la création actuelle : “Tout a été créé par lui et pour lui” (Col. 1. 16) ; c’est lui qui soutient l’univers et tout ce qu’il contient (Héb. 1. 3).

Jésus Christ tient la première place dans la nouvelle création issue de l’œuvre de la rédemption : il est le premier ressuscité d’entre les morts qui n’est pas mort par la suite, le premier glorifié dans le ciel ; le premier (la tête, le chef) de l’Église.

Jésus Christ tiendra la première place sur cette terre où il n’y en avait pas plus pour lui lors de sa naissance qu’à sa crucifixion : il sera le Roi des rois incontesté.

En fait Jésus Christ tient la première place dans toute la Bible. Tous les livres de l’Ancien Testament présentent des personnages ou des objets qui révèlent chacun un aspect de la personnalité de Christ. Par exemple, dans la Genèse, l’histoire de Joseph nous parle de Lui : aimé de son père, vendu par ses frères, élevé à la tête de l’Égypte immédiatement au-dessous du Pharaon, recevant une épouse étrangère, rejeté par les siens. Dans l’Exode, l’agneau de la pâque, chaque partie du tabernacle, les vêtements des sacrificateurs nous parlent de lui ; dans le Lévitique, ce sont les sacrifices et les offrandes ; dans les Nombres, il est le serpent d’airain comme il le dira lui-même (Jean 3. 14, 15) ; le Deutéronome l’annonce comme le prophète plus grand que Moïse.

La première place lui est donnée, bien entendu, dans le Nouveau Testament : il faut les quatre évangiles pour le présenter sous ses gloires variées ; les lettres exposent les conséquences de son œuvre pour lui-même et pour nous ; enfin l’Apocalypse révèle comment il prendra sur toutes choses la première place qui lui est déjà acquise.

Aujourd’hui, alors que le monde refuse de le reconnaître, Jésus notre Sauveur désire avoir la première place dans la vie de ses rachetés, être le Seigneur sur leurs pensées et leurs aspirations, sur leurs faits et gestes. Donnons-la-lui, pour sa joie… et la nôtre !

Source (Plaire au Seigneur)

La piété est pourtant une grande source de profit quand on se contente de ce que l'on a. 1 Timothée 6.6

La Bible dit que la piété accompagnée du contentement est une source de gain abondante. Je le comprends de cette façon : une personne qui marche avec Dieu et qui est dans le contentement se trouve dans la meilleure position possible. La joie ne provient pas de circonstances paisibles ou contrôlées mais de ce qu'il y a dans votre cœur. 

Le monde est rempli d'hommes et de femmes qui ont tout ce qu'ils veulent mais qui ne sont pas satisfaits pour autant. En réalité, parmi les personnes les plus insatisfaites du monde, se trouvent celles qui semblent pourtant "tout avoir". Le contentement ne provient pas de la gloire, de la renommée, de la richesse, de votre poste au travail ou de votre entourage social. Il ne se trouve pas non plus dans votre niveau d'étude ou dans votre arrière-plan social. Le contentement est une attitude de cœur. 

"La joie ne provient pas de circonstances paisibles ou contrôlées mais de ce qu'il y a dans votre cœur."

Personne n'est plus heureux que quelqu'un qui est réellement reconnaissant. Le mot contentement signifie : "être satisfait au point de ne pas être perturbé par les circonstances mais pas au point de ne jamais vouloir de changement". Nous voulons tous que les choses aillent mieux. Mais l'étape où vous en êtes à l'instant présent ne doit pas vous perturber. 

Vous pouvez choisir de croire que Dieu est à l'œuvre, que les choses changent et que vous allez en voir les résultats en temps voulu. La vie n'est qu'une question de choix... Choisissez donc le contentement et la satisfaction chaque jour de votre vie. Vous ne pourrez pas vous tromper en prenant cette décision.

Une prière pour aujourd'hui

Seigneur, je désire être satisfait(e) et heureux(se), là où j'en suis aujourd'hui, ici et maintenant. Donne-moi la force de choisir le contentement chaque jour de ma vie. Amen.

Joyce Meyer

Source (La Pensée du Jour)