• Et il a délivré Lot le juste, qui était profondément attristé de la conduite immorale de ces hommes débauchés. Ce juste, qui habitait au milieu d'eux, tourmentait en effet jour après jour son âme juste à cause de ce qu'il voyait et entendait de leurs agissement criminels. Ainsi donc, le Seigneur sait délivrer de l'épreuve les hommes pieux et garder les injustes pour le jour du jugement où ils seront punis. 2 Pierre 2. 7-9

     

    Lot, orphelin, et recueilli par son oncle Abraham, un homme de foi (Genèse 11. 27-31). Il a lui-même cru en Dieu, comme en témoigne l'apôtre Pierre qui le qualifie de juste. Pourtant sa vie est un éloignement progressif de Dieu.

    Il avait été ébloui par les richesses de l'Égypte, il se laisse influencer quand il s'agit de s'établir quelque part : "Lot leva les yeux, et vit que toute la plaine du Jourdain était entièrement arrosée... C'était comme un jardin de l'Éternel, comme l'Égypte". Il choisit donc de vivre dans la plaine, dans le confort du monde d'alors. Plus grave, il va s'installer près de Sodome, une ville connue pour sa corruption. Le voilà tout près de ces hommes "méchants, et grand pécheurs devant l'Éternel" (Genèse 13. 10, 12, 13). Peu après, il habite dans Sodome, et alors il est fait prisonnier avec tous les autres habitants, au cours d'une guerre (14, 12). Libéré grâce à l'intervention de son oncle, il ne change pas d'orientation. Il retourne vivre à Sodome et y devient un notable, administrant les affaires publiques à la porte de la cité. Et quand la patience de Dieu à l'égard de la ville corrompue prend fin, il faut que deux anges viennent l'en arracher avant de tout détruire. Il a touché le fond, il a tout perdu, sauf la vie et deux de ses filles (Genèse 19. 1-29).

    À quelle carrière aspirons-nous ? Le monde étincelant et rempli de péché a-t-il tant d'emprise sur nos cœurs de chrétiens, que nous y consacrions tout plutôt que de vivre pour Dieu et près de lui ? Un nouveau départ est possible. Saisissons la main tendue de notre Sauveur.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “À qui voulez-vous comparer Dieu ? À quelle représentation pourriez-vous le comparer ?… À qui me comparez-vous pour que je lui ressemble ? demande le Saint.” Ésaïe 40. 18, 25

     

    Au temps du prophète Ésaïe, les Israélites comparaient la puissance de Dieu à celle des idoles des peuples voisins. Quelle absurdité, leur déclare Dieu ! N’ai-je pas créé les cieux et la terre et les choses qui y sont ?

    S’ils traversaient des temps difficiles, c’était à cause de leurs péchés qui empêchaient l’Éternel de les bénir comme il aurait souhaité le faire. Les obstacles étaient de leur côté, non de celui de Dieu. Le principal d’entre eux, c’était l’idolâtrie, cet affreux mépris de Dieu.

    Quelle appréciation avons-nous nous-mêmes de la puissance de Dieu ? Certes, nous comprenons par notre intelligence, que Dieu est le Tout-puissant, le créateur des cieux et de la terre. Mais dans la pratique, nous fixons souvent des limites à sa capacité d’intervenir dans notre vie et de résoudre nos problèmes. Nous sommes si limités que nous pensons parfois que Dieu l’est aussi dans certains domaines !

    Aujourd’hui, à la différence des Israélites d’autrefois, nous ne sommes pas forcément attirés vers des idoles en métal, en pierre, ou en bois auprès desquelles nous chercherions de l’aide. Mais nous pouvons attribuer à certains objets une valeur superstitieuse ; ou, alors que nous avons un accès direct à Dieu par la prière, il nous arrive de privilégier nos habitudes incrédules, nos raisonnements, notre expérience ou l’aide d’autrui qui évitent le recours à l’intervention divine. Prenons garde, car en agissant ainsi, nous sous-estimons non seulement la puissance de Dieu mais aussi sa bonté envers nous, lui qui nous a sauvés et adoptés. Nous mésestimons de plus sa sagesse qui permet les circonstances dans lesquelles nous nous trouvons. Quel affront pour Dieu !

    Vivons près du Seigneur Jésus et prenons la bonne habitude de nous tourner vers lui, quelle que soit la situation à laquelle nous nous trouvons confrontés, qu’elle nous apparaisse facile ou pleine de difficultés. Dieu, si grand et si puissant, ne dédaigne pas de nous venir en aide dans les plus petits événements de notre vie quotidienne.

    Au contraire, plus nous nous confions en lui dans les détails de notre vie, plus nous l’honorons. Il nous fait alors expérimenter sa fidélité et sa puissance. Cela nous fortifie dans la certitude que notre Dieu est incomparable en puissance, en sagesse et en bonté.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Et de connaître cet amour qui surpasse toute connaissance, afin que vous soyez remplis de toute la plénitude de Dieu." Éphésiens 3.19

     

    Au début de notre mariage, Dave et moi sommes passés par des années difficiles, en grande partie à cause de mon passé, parce que j’ai été abusée sexuellement, émotionnellement et verbalement par mon père. J'avais besoin que Dieu vienne me guérir. Il m'a fait traverser ce processus de guérison par de nombreuses larmes et beaucoup de moments pénibles où j'ai dû choisir de pardonner au lieu de me venger.

    Dieu s'est également servi de mon témoignage pour apporter la guérison dans la vie des autres.

    Lorsque Dieu vous guérit de blessures passées, il ne veut pas simplement vous aider à vous en sortir, mais il veut également vous montrer comment devenir une passerelle par laquelle les autres peuvent passer pour expérimenter à leur tour la guérison.

    "Avant de pouvoir pardonner aux autres, vous devez d'abord connaître l'amour de Dieu."

    Finalement, j'en suis arrivée à l'étape où Dieu nous a conduits, Dave et moi, à aider mes parents à emménager à Saint-Louis et à leur acheter une maison, ce qui était très difficile pour moi. Mais mon père a fini par s'excuser pour tout ce qu'il m'avait fait et il a même accepté Christ dans sa vie.

    J'ai pu alors vivre un nouveau stade de guérison émotionnelle parce que j'avais laissé Dieu me guérir par la puissance du pardon et que je lui avais permis d'utiliser ma restauration pour participer à la guérison de mon père.

    Nous pouvons souffrir de différentes manières.

    . La solitude

    . La déception

    . Le rejet

    . La crainte

    . Le manque d'assurance

    . Etc.

    ont la capacité de nous blesser profondément. 

    Je n'ai pas pu aller de l'avant concernant mes blessures du passé avant d'avoir reçu et expérimenté l'amour de Dieu et de lui avoir permis de renverser la situation.

    Avant de pouvoir dépasser votre souffrance, apprendre à aimer et à pardonner aux autres, vous devez d'abord connaître l'amour de Dieu. Quand il s'agit de votre passé, souvenez-vous que Dieu vous aime profondément.

    La Bible dit que nous ne sommes remplis que lorsque nous connaissons et faisons l'expérience de l'amour de Christ qui est si grand que nous ne pourrons jamais pleinement le comprendre. Alors que vous recevez son amour, la guérison va commencer à s'opérer dans votre cœur et sa vie va commencer à vous remplir.

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, je crois que tu peux m'aider à vaincre les blessures et les souffrances de mon passé. Je crois aussi que tu peux utiliser ma guérison pour aider les autres. Aide-moi à connaître l'amour de Christ et remplis-moi de la plénitude de ta vie et de ta puissance. Amen.

    Joyce Meyer

    Source (La Pensée du jour)

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  • « Vois, aujourd’hui je te confie une responsabilité sur les nations et sur les royaumes : celle d'arracher et de démolir, de faire disparaître et de détruire, de construire et de planter » (Jérémie 1:10).

     

    Le prophète Jérémie était appelé en faveur des nations et des royaumes. Un tel appel peut faire perdre de vue l’individu, cherchant toujours à aller plus loin et plus haut, vers les nations et les royaumes. Pourtant, le premier exercice que Dieu donna à Jérémie concernait une branche d’amandier. Dieu l’appelait vers les royaumes, et il lui montrait une simple branche ! Non pas une forêt, non pas un bois, non pas une allée d’arbres, pas même un arbre, mais une branche ! On peut facilement mépriser une partie du corps, s’imaginant qu’il est moins important.

    « Dieu a disposé le corps de manière à donner plus d’honneur à ce qui en manquait, afin qu’il n’y ait pas de division dans le corps, mais que tous les membres prennent également soin les uns des autres. Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui ; si un membre est honoré, tous les membres se réjouissent avec lui. Vous êtes le corps de Christ et vous êtes ses membres, chacun pour sa part » (1 Corinthiens 12:24-27).

    Jérémie devait comprendre l’importance de la branche. Lorsqu’une belle branche tomba d’un des deux pommiers de mon jardin, je trouvais cela dommage lorsque je vis le grand nombre de belles pommes qu’elle portait ! Certes il y avait sur l’arbre déjà bien plus de pommes que je ne pourrais en manger, mais je trouvai cela un peu triste. Si Dieu pouvait s’intéresser à l’individu Jérémie, ne s’intéresserait-il pas à tous les autres ? Ces autres « branches » n’étaient-elles pas aussi créées à son image et à sa ressemblance ?

    C’est parce que l’homme a de la valeur et qu’il forme un tout que Dieu ne veut « qu’aucun ne se perde » (Jean 6:39).

    Jérémy Sourdril

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  • En effet, la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante que tout épée à deux tranchants, pénétrante jusqu'à séparer âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du coeur. Hébreux 4. 12

    Ta parole est une lampe à mes pieds et une lumière sur mon sentier. Psaume 119. 105

     

    "Pour moi qui suis médecin, l'une des raison les plus convaincantes de la puissance de la Bible, c'est qu'elle fait un diagnostique très sûr de mon état spirituel ; aucun autre livre ne peut le faire. "Elle discerne les pensées et les intentions du coeur". Elle me montre clairement que je suis, par nature, condamné à cause de mes péchés, privé de toute relation avec un Dieu saint. Si j'ai fait cette découverte dans la Bible, j'y ai surtout trouvé une merveilleuse révélation de Dieu, un Dieu très différent de celui que je m'était imaginé. Plein d'amour et de pitié, il s'est approché de moi par Jésus Christ, son Fils, le créateur de l'univers, qui est devenu un homme pour pouvoir me racheter.

    Je crois la Bible car elle est adaptée à toutes les classes et à toutes les nationalités. Connaître la Bible et ne pas la croire, c'est un suicide spirituel !

    Et si la foi me met en rapport avec un tel Dieu, je vais partout où il me conduit, sans mettre en question sa volonté. Je sais qu'elle est meilleure que toute mes pensées, car il m'aime. Je veux abandonner mes plans les plus chers et considérer les arguments des hommes comme de la folie, quand ils s'opposent à ce qu'il dit. Il n'y a pas de limite à la foi en Dieu. La Bible chasse les doutes et remplit le coeur de certitude. "Ta parole a provoqué mon allégresse, elle a fait la joie de mon coeur" (Jérémie 15. 16).

    Source (La Bonne Semence)

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