• "Prenez maintenant 7 taureaux et 7 béliers, allez trouver mon serviteur Job et offrez un holocauste pour vous. Mon serviteur Job priera pour vous, et c'est parce que j'ai de la considération pour lui que je ne vous traiterai pas conformément à votre folie. En effet, vous n'avez pas parlé de moi correctement comme l'a fait mon serviteur Job. Éliphaz de Théman, Bildad de Shuach et Tsophar de Naama allèrent faire comme l'Éternel leur avait dit, et l'Éternel eut de la considération pour Job." Job 42.8-9

     

    Job venait de passer par une terrifiante série d’épreuves dans sa vie. Il avait perdu ses enfants, sa richesse, ses serviteurs, sa santé et même sa réputation ! Pour couronner le tout, ses amis s’étaient mal comportés envers lui et Dieu était irrité par leurs paroles. Il demanda donc à Job de leur pardonner et de prier pour eux. C’est ce qu’il fit.

    Dieu fut si admiratif de son attitude qu’il eut de la considération pour Job. D’autres versions traduisent que la prière de Job lui fut agréable, ou qu’il eut égard à sa prière. Il consola Job et lui accorda le double tout ce qu’il avait perdu. 

    Savez-vous que Dieu éprouve toutes sortes de sentiments ? Il peut être joyeux, déçu, réjoui ou blessé, selon les actions de chaque homme.

    "Vous avez la capacité de remplir son cœur de Père de plaisir, de fierté."

    Bien sûr, Dieu est amour et il aime chaque personne, peu importe qui elle est ou ce qu’elle fait. Oui, c’est certain ! Dieu n’a pas seulement de l’amour mais Dieu est amour. C’est son identité, sa nature que d’aimer infiniment et absolument chaque être humain. Et son amour gratuit ne dépend pas de chacune de leurs actions. Il est le Père céleste qui chérit ses enfants.

    Mais si son amour est inconditionnel, son cœur de Père peut se trouver comblé ou attristé par ce que vous choisissez. Lorsque vous décidez de pardonner, de ne pas médire, d’aider votre prochain, de garder un cœur pur, bref de faire ce qui est juste, vous avez la capacité de remplir son cœur de Père de plaisir, de fierté.

    Alors, aimez, encouragez, pardonnez, soyez généreux(se) ! Vous ferez sa joie et son ravissement, et sa bénédiction ne vous quittera pas.

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, je veux faire toute ta joie. Donne-moi la force d’aimer comme tu aimes et de pratiquer le bien pour combler ton cœur de Père.

    Solange Raby

    Source (La Pensée du Jour)

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  • « Donne-nous chaque jour notre pain quotidien » (Luc 11:3).

     

    Lorsque Jésus priait pour recevoir le pain du jour, il ne s’agissait pas de s’inquiéter au sujet de la nourriture et du vêtement. Il savait que Dieu pourvoyait et qu’il était capable d’ordonner à un poisson d’ouvrir la bouche pour lui donner de quoi payer une taxe. Il savait que Dieu est le Dieu qui pourvoit. Bien sûr cette prière nous parle avant tout du pain naturel, mais je crois que ce pain dont Jésus parlait était plus qu’un pain naturel. Je crois que c’était plus qu’une révélation dans la Parole. Je crois qu’il s’agissait d’une âme. Jésus voulait une âme. Jésus voulait recevoir « l’âme du jour ». Il voulait son âme, sa brebis perdue.

    Nous devrions prier pour obtenir « notre âme de ce jour ». Je rentrai ce soir du travail avec des amis, et l’un d’eux me raconta qu’il était allé se promener la veille un moment au bord d’un lac, lorsqu’il vit une femme de loin qui boitait. Le Saint-Esprit lui disait : « Elle est là pour toi ! ». En parlant avec elle, il ressentit qu’elle avait un problème de pardon avec quelqu’un contre qui elle était grandement en colère, et que cela l’empêchait de bénéficier d’une guérison complète. Elle pleura directement en disant que cette personne, c’était elle. Elle ne s’était jamais pardonnée d’une grande erreur qu’elle avait faite. Elle pleura et pleura encore, et eut la joie d’entendre la merveilleuse nouvelle de Jésus, celui qui peut nous amener dans son pardon, à l’endroit où « il n’y a plus de condamnation » (Romains 8:1).

    Combien de gens se sont trouvés sur notre chemin, pour nous rencontrer ? Les avons-nous vus, ou étions-nous trop préoccupés par nos activités ? Un ami me raconta l’histoire d’un chrétien qui était en route pour une réunion d’église, et une personne réclamait son aide. Il s’excusa plusieurs fois de ce qu’il était trop pressé parce qu’il devait aller à l’église. Ce fut, je crois, le dernier soir pour cette personne, qui avait vraiment besoin d’aide ce jour-là. Mais lui avait été trop occupé... Seigneur, donne-moi mon âme de ce jour.

    Jérémy Sourdril

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  • En effet, vous tous qui avez été baptisé en Christ, vous vous êtes revêtus de Christ. Il n'y a plus ni Juif, ni non-Juif, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme, car vous êtes tous un en Jésus-Christ. Galates 3. 27, 28

     

    Dans sa lettre aux chrétiens de Galates, l'apôtre Paul illustre le baptême chrétien par un changement de tenue. Notre nouveau vêtement, c'est Jésus. Dans une autre lettre, Paul écrit : "Ainsi donc, en tant qu'êtres choisis par Dieu, saints et bien-aimés, revêtez-vous de sentiments de compassion, de bonté, d'humilité, de douceur, de patience" (Colossiens 3. 12). Tous ces caractères, ceux-là mêmes que le Seigneur Jésus a manifestés, forment la trame du tissu.

    Le vêtement nous parle de ce qui se voit, de notre manière de vivre au quotidien. Un changement vital s'opère lorsque nous croyons au Seigneur Jésus. Nous changeons de comportement parce que nous avons une nouvelle vie, même si ce changement est souvent progressif, avec des hauts et des bas. Dieu veut pour nous que nous manifestions, que nous reflétions les qualités morales de Jésus.

    Une autre pensée induite par le vêtement, c'est celle de l'appartenance. Lorsque j'était au service militaire, j'avais un uniforme : quand les gens me voyaient, ils voyaient mon uniforme et ils savaient que j'étais à l'armée. Mon uniforme montrait à quel régiment j'appartenais. De même, le baptême nous identifie publiquement à Jésus. Il abolit les barrières sociales, culturelles ou identitaires ; il est le signe que nous sommes à Christ, et que, en conséquence, nous sommes liés avec tous ceux qui, par la foi, sont venus à lui pour avoir la vie.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Il dit encore : Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : Mon père, donne-moi la part de l'héritage qui doit me revenir. Le père leur partagea alors ses biens.” Luc 15. 11, 12

     

    Ces deux fils de Luc 15 sont à la fois semblables et très différents.

    Semblables parce qu’ils sont fils du même père et qu’ils vivent sur le même domaine.

    Semblables aussi parce qu’ils ont tous les deux une fausse image de leur père. Le plus jeune, égoïste et insouciant, ne peut pas attendre la mort de son père et lui réclame d’avance sa part d’héritage : mieux vaut partir que s’ennuyer à la maison ! L’aîné trouve son père ingrat et injuste : mieux vaut rester et obéir… et garder le statut de fils et ses privilèges !

    Ces deux frères se ressemblent encore parce qu’ils aiment faire la fête : le cadet, à l’étranger, avec ses copains de débauche, qui lui soutirent jusqu’au dernier sou ; l’aîné, sur place, avec ses amis, mais à ses propres frais.

    Mais ces deux frères diffèrent tellement qu’on se demande s’ils ont été élevés sous le même toit. Le cadet, après avoir tout perdu, revient chez son père, misérable mais repentant, au point de se sentir indigne d’en être le fils. L’aîné, alors qu’il peut jouir de tout chez son père, se drape dans sa propre justice. Il n’arrive pas à prononcer ce mot de « père », pas plus que celui de « frère » (“ton fils…” dit-il). Le premier est parti dans un pays éloigné et a connu la famine ; le second, resté à la maison, n’a manqué de rien. Le premier, sans travail, sinon la garde de porcs dans les champs, se souvient de la maison paternelle et retourne vers son père. Le second, parti travailler aux champs, refuse à son retour d’entrer dans la maison pour participer à la fête et méprise ses privilèges. La parabole se termine sans que nous sachions comment l’aîné a réagi à l’invitation de son père à se réjouir, avec son frère.

    Mais, dans leurs différences, ils ont encore en commun l’amour de leur père qui ne les traite pas différemment : il court à la rencontre du cadet pour l’accueillir à la maison et il sort à la rencontre de l’aîné pour le prier d’entrer dans la salle du festin et de prendre part aux réjouissances.

    Dieu trouve sa propre joie à faire grâce à qui il veut. Il nous invite à nous réjouir avec lui, d’autant que cela ne nous enlève rien !

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • Quand il a fini de parler, Jésus dit à Simon : "Avance là où l’eau est profonde et jetez vos filets pour pécher" Simon lui répond : "Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre ; mais sur ta parole, je jetterai les filets." Ils les jetèrent et prirent une grande quantité de poissons, et leur filets se déchiraient. Luc 5.4-6

     

    Le Top Chrétien n’était pas encore très connu à cette époque-là. Mon avion venait d’atterrir au Texas. Mes amis m’accueillirent en disant : "Éric, nous savons que tu es fatigué par le voyage mais est-ce que tu accepterais de nous accompagner à une soirée organisée en faveur d’un ministère qui construit des chapelles dans les prisons ?"

    "Attendez-vous à Dieu aujourd'hui. L'extraordinaire vous attend !"

    Tout mon corps avait envie de dire non. Mais depuis des années, Dieu m’avait appris à "faire le kilomètre supplémentaire", c’est-à-dire à faire un effort quand je n’en ai aucune envie. "Si quelqu’un te force à faire un kilomètre à pied, fais-en deux avec lui", nous enseigne Jésus dans Matthieu 5.41. J’ai donc accepté l’invitation de mes amis. Un pasteur dont j’avais vaguement entendu parler a été présenté. Je l’ai su plus tard : le Docteur Henry Blackaby est un homme de Dieu exceptionnel qui a écrit une trentaine de livres.

    Il parla de la pêche miraculeuse, en expliquant que Dieu utilise des gens ordinaires pour faire des choses extraordinaires. J’étais sur le point de décrocher quand M. Blackaby commença à répéter avec conviction cette phrase : "Cast the net." (Jette le filet.) "Cast the net ! Cast the net !" Le net... c’est aussi l’Internet ! Jeter le filet, c’est ce que Dieu m’a appelé à faire au travers d’Internet. Henry continua : "Si tu obéis à Jésus, si tu jettes le filet, tu vas faire la pêche la plus abondante et la plus extraordinaire de toute ta vie." Le message devenait tellement précis pour ma vie que les gens assis à notre table ont commencé à me regarder : "Éric, c’est pour toi !"

    Ce soir-là, j’ai su que Dieu me parlait. Mon cœur battait la chamade. Dieu était en train de m’apprendre quelque chose : il fait des choses extraordinaires avec des gens ordinaires. Je sentais que cette parole était pour moi. Et elle est aussi pour vous ! Avez-vous, comme moi, le sentiment d’entrer dans la catégorie des gens ordinaires ou peu capables ? Cela tombe bien ! Cela vous qualifie pour l’extraordinaire !

    Une action pour aujourd’hui

    Aujourd’hui, jetez le filet sur la parole de Jésus. Avancez en pleine eau. Allez à la rencontre de ceux que Dieu place sur votre route. Attendez-vous à lui aujourd’hui. L’extraordinaire vous attend !

    Éric Célérier

    Source (La Pensée du Jour)

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