• (Jésus a dit) : Lorsque j'étais tous les jours avec vous dans le temple, vous n'avez pas porté la main sur moi ; mais c'est maintenant votre heure et le pouvoir des ténèbres. Luc 22. 53

    N'est-ce rien pour vous tous qui passez par le chemin ? Contemplez, et voyez s'il est une douleur comme ma douleur. Lamentations de Jérémie 1. 12

     

    On comprend que de nos jours, lorsque quelqu'un est condamné à la peine capitale, dans les pays occidentaux où cela se pratique encore, la justice s'efforce de minimiser la durée de l'exécution et la souffrance qui en résulte pour le condamné.

    Pour notre Seigneur Jésus, c'est le contraire qui s'est produit. Dès avant sa comparution devant le tribunal religieux, il est lâchement frappé et il subit insultes et moqueries ; on lui crache au visage, et les chefs le livre à Ponce Pilate, le gouverneur romain.

    Celui-ci, après une parole de jugement, fait fouetter Jésus au grand complet pour se moquer de celui qu'ils ont déguiser en roi avec une couronne d'épines sur sa tête.

    Ne laissons pas s'émousser notre sensibilité et prenons conscience de l'horreur des souffrances physiques et morales qu'endure celui dont Pilate se demandait bien ce qu'il avait pu faire de mal. Représentons-nous ces scènes insoutenables où un homme seul et sans défense est attaqué de toutes parts avant d'être crucifié. Oui, Seigneur, c'est pour moi que tu as enduré cela ! Et, bien plus encore, Jésus a souffert de façon unique lorsque, abandonné par Dieu, il subissait à notre place le châtiment que nous avions mérité.

    Pour toi, Jésus, la souffrance,

    Les pleurs, la mort, l'abandon ;

    Et pour nous la délivrance,

    Le salut et le pardon.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Il n’est pas ici, mais il est ressuscité. Souvenez-vous de ce qu’il vous a dit quand il était encore en Galilée : Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié et qu’il ressuscite le troisième jour. Alors elles se souvinrent de ses paroles.” Luc 24. 6-8

    “Ayant pris un pain, ayant rendu grâces, il le rompit et le leur donna, en disant : Ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi.” Luc 22 19

     

    Un petit groupe de femmes fidèles avaient accompagné Jésus depuis la Galilée pour le servir, lui et ses disciples. Elles ont assisté à sa crucifixion et à son ensevelissement puis sont retournées chez elles, le temps d’un sabbat. Très tôt, le premier jour de la semaine, elles se rendent au sépulcre pour finir de préparer le corps du Seigneur Jésus pour l’inhumation avec les aromates qu’elles avaient préparés. Elles ne s’attendaient pas à trouver la tombe ouverte et vide ! Elles restent sous le choc, perplexes, épouvantées, les yeux rivés vers le sol. Deux anges, en vêtement éclatant de lumière, apparaissent et leur donnent l’assurance que Jésus est vivant (verset du jour). N’avait-il pas prévenu ses disciples qu’il fallait que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié et qu’il ressuscite le troisième jour (Luc 9. 22 ; 18. 33) ? Scène lumineuse, admirable ! Les anges du ciel sont les premiers hérauts du Prince de la vie brisant les liens de la mort, comme ils avaient été les premiers à annoncer sa naissance aux bergers que la gloire divine illuminait dans les champs de Bethléem (Luc 2. 13).

    Souvenez-vous de ce qu’il vous a dit…”. Est-ce un reproche ? Ah ! Si ce “Il faut” avait été cru, il serait resté gravé dans leur cœur et leur aurait apporté les certitudes de la foi.

    Le Seigneur a voulu laisser aux siens un souvenir tangible de son incarnation, du fait qu’il a pris, lui, personne divine, un corps d’homme pour venir sur la terre. Ainsi, quand nous prenons le pain de la cène, nous nous souvenons de ce que le Seigneur a été sur la terre, comment il a souffert dans ce corps d’homme qu’il a pris par amour et dans lequel il a parfaitement glorifié Dieu.

    Faites ceci en mémoire de moi” : nous ne nous souvenons pas seulement de sa vie toute à la gloire de Dieu, de sa mort rédemptrice, de son œuvre parfaite, mais par-dessus tout de lui-même, tel que les Écritures toutes entières nous le révèlent.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Car le règne de Dieu ne consiste pas en paroles, mais en puissance." 1 Corinthiens 4.20

     

    Le royaume de Dieu est le "système d’exploitation" de Dieu : c’est ce qui lui permet d’agir. Son royaume ne consiste pas en mots vides de sens et prononcés machinalement. Il n’est pas régi par quelque schéma de programmation. Il n’obéit pas à des graphiques ou des plans quinquennaux. Le royaume de Dieu opère par la puissance, et cette puissance est celle du Saint-Esprit qui vit en chaque croyant.

    "Le royaume de Dieu opère par la puissance, et cette puissance est celle du Saint-Esprit qui vit en chaque croyant."

    La Bible désigne la puissance qui agit en vous par le mot grec dunamis, qui a donné le terme français "dynamite".

    La dynamite ne s’enflamme pas d’elle-même. C’est à vous d’allumer cette puissance du Saint-Esprit au dedans de vous par la lecture et la proclamation de la Parole de Dieu, la prière et la louange.

    Une action pour aujourd’hui

    Allumez chaque jour la dynamite de la puissance du Saint-Esprit qui demeure en vous en lisant et proclamant la Parole de Dieu, "en priant en langues" et en le louant !

    Keith Butler

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Les prédicateurs de réveil des siècles passés étaient approuvés par Dieu et le Saint-Esprit ne pouvait que confirmer la Parole de Dieu dans leur bouche. Ils n’avaient pas peur d’exposer les réalités du péché dans le coeur humain. Voici la première raison que donne Charles Finney sur l’affaiblissement des réveils modernes :

    « On sonde aujourd’hui beaucoup moins profondément le coeur humain. On n’expose pas de manière complète la dépravation de la nature humaine. On constate généralement que les pécheurs impénitents n’ont manifesté ces dernières années qu’une opposition très faible aux réveils. Ceci m’a été confirmé par un frère qui a exercé longtemps le ministère d’évangéliste. Je ne crois pas que les pensées charnelles des hommes ne soient plus en conflit avec Dieu. Mais je crains que l’on n’ait pas complètement mis en lumière dans les coeurs les raisons profondes de ce conflit. Je crains que l’on ne mette pas entièrement à nu l’indescriptible dépravation du coeur humain, comme on le faisait auparavant. On prêche bien quelques sermons dans chaque réveil sur le thème de la dépravation morale. Mais je crains que cela ne soit aucunement le grand thème de la prédication. Cela devrait l’être, si l’on veut profondément labourer la jachère du coeur du pécheur comme de celui du chrétien.

    D’après ma propre expérience et mes observations, comme d’après la Parole de Dieu, je suis pleinement convaincu que la nature des réveils dépend beaucoup de l’accent placé sur la dépravation du coeur humain. Son orgueil, son inimitié contre Dieu, son caractère tortueux, et tout ce que Dieu trouve haïssable, doivent être exposés à la lumière de Sa loi parfaite ».

    Ce texte de Charles Finney venait si bien confirmer la pensée que Dieu faisait briller dans mon coeur dernièrement, le fait que nous n’osons plus aujourd’hui parler au pécheur de son péché et l’exposer sous ses yeux. Je vous encourage à lire le Psaumes 50:16-23, et Ézéchiel 43:10-12.

    Jérémy Sourdril

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  • Quand je contemple le ciel que tes doigts ont façonné, les étoiles et la lune que tes mains ont disposées, je me dis : Qu’est-ce que l’homme pour que tu en prennes soin, et qu’est-ce qu’un être humain pour qu’à lui tu t’intéresses ? Psaume 8.4-5

     

    Ce matin, en contemplant la beauté du ciel, bleu d’une grande pureté, et sur la terre les arbres verdoyants, je ne pouvais pas m’empêcher de penser que Dieu avait fait toutes choses pour le bonheur de l’homme. C’est trop beau pour que ce soit l’œuvre du hasard. Quelqu’un – Dieu – avait pensé toutes ces splendeurs.

    Alors la louange a jailli de mon cœur, et j’ai chanté à pleine voix: « Je louerai l’Éternel de tout mon cœur, je raconterai toutes tes merveilles […] Je ferai de toi le sujet de ma joie. »

    Nous avons de nombreuses raisons de louer Dieu. Faisons-le à la contemplation du spectacle de la Création, mais aussi, plus fortement en réfléchissant aux merveilles du salut présent et éternel que Dieu nous offre. Car, quand le jour du Seigneur viendra, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les œuvres qu’elle renferme sera consumée. Mais subsistera l’œuvre de Jésus par laquelle il a acquis la vie éternelle aux croyants ! Il leur permet, par la présence de son Esprit Saint, de vivre autrement les choses de la terre dans l’attente de nouveaux cieux et d’une nouvelle terre où la justice habitera.

    Francis Bailet

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    Lecture proposée : 2ème lettre de Pierre, chapitre 3, versets 10 à 14.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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