• N'imite pas le mal, mais le bien. Celui qui fait le bien est de Dieu ; celui qui fait le mal n'a pas vu Dieu. 3 Jean 11

     

    "L'Éternel hait ses six choses, et il y en à sept qui sont en abomination à son âme : les yeux hautains, la langue fausse, et les mains qui versent le sang innocent, le coeur qui machine des projets d'iniquité, les pieds qui se hâtent de courir au mal, le faux témoin qui profère des mensonges, et celui qui sème des querelles entre des frères" (Proverbes 6. 16-19).

    Dieu a donc en horreur tout ce qui remplit les faits divers à l'actualité (conflits, guerres, mensonges...). Mais, plus encore, l'homme, à cause de ce qu'il est au fond de lui-même, ne peut pas agir en accord avec la pensée de Dieu. Il est gouverné par son mauvais coeur, par la bonne opinion qu'il a de lui-même et par sa tendance à s'élever au-dessus des autres. Il est souvent le jouet de Satan. Il a montré ce dont il est capable en crucifiant Jésus-Christ, le seul juste.

    Les responsables de l'époque ont déclaré : "Rien n'a été fait par lui qui mérite la mort" (Luc 23. 15). Pourtant Pilate, sous la pression de la foule et pour préserver sa place de gouverneur, l'a fait crucifier. "Celui qui hait la justice gouvernera-t-il donc ? Et condamneras-tu le juste par excellence ?" (Job 34. 17). C'est pourtant ce qui est arrivé il y a plus de 2000 ans. Dieu a permis cela parce que Christ, le seul juste, devait aussi porter le châtiment que nous méritions. Jésus, sur la croix, a été identifié au péché pour nous (2 Corinthiens 5. 21). Il est "devenu malédiction pour nous" (Galates 3. 13). Tout cela pour que des êtres haïssables - ce que nous étions - deviennent, par la foi en l'amour de Christ, des enfants de Dieu, rendus capables de lui plaire (1 Jean 3. 1).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “L’âme de la chair est dans le sang ; car c’est le sang qui fait propitiation pour l’âme.” Lévitique 17. 11

    “Sans effusion de sang il n’y a pas de rémission.” Hébreux 9. 22

     

    « Ce que je n’aime pas, dans votre religion, c’est tout ce sang, tous ces sacrifices. Cela me dégoûte ! » disait un jour une femme à qui on présentait l’Évangile. Il est certain que le sang est très présent dans la Bible : le mot lui-même s’y retrouve environ 400 fois et son importance est mise en valeur dans l’Ancien Testament comme dans le Nouveau Testament. Alors pourquoi est-il autant question de sang ? Quel sens et quelle valeur a-t-il donc ?

    Une première réponse est fournie par le premier verset du jour. Dieu y établit une équivalence entre le sang et l’âme. Le sang est le support et le symbole de la vie qui anime un homme ou un animal (son “âme”). Dans la pensée biblique, le sang symbolise donc la vie et le sang versé indique la mort.

    Dès les premières pages de la Bible, le sang est versé en relation avec la culpabilité de l’homme. Dieu a tué un animal pour confectionner des vêtements de peau à Adam et Ève, coupables d’avoir écouté le serpent. La première mention du mot sang suit immédiatement : c’est celui d’Abel, tué par son frère Caïn.

    La suite du verset du Lévitique donne un second principe important : l’homme coupable peut retrouver la faveur de Dieu parce que Dieu, dans sa grâce souveraine, accepte que la vie d’un autre (symbolisée par son “sang”) soit donnée : c’est le sens du mot “propitiation” (Dieu rendu propice ou favorable). Dans l’Ancien Testament, les sacrifices sanglants prescrits par la Loi, souvent répétés, n’avaient pas, en eux-mêmes, de valeur spécifique ; en fait, ils anticipaient le seul sacrifice que Dieu peut accepter : celui de Jésus, la victime parfaite, Dieu fait homme, qui donne sa vie pour l’homme pécheur. Le sang qui a coulé à la croix de Golgotha a témoigné que Jésus est bien mort et qu’il a donné volontairement sa vie en sacrifice à ma place (Jean 19. 34, 35).

    Tout ce sang, désormais, ne me répugne plus, car il évoque pour moi “le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache” (1 Pi. 1. 19). Par son sang versé, j’ai la paix avec Dieu et le plein pardon de mes péchés pour l’éternité.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Saül fit enfiler sa tenue à David. (…) Mais il dit à Saül : "Je ne peux pas marcher avec cette armure, je n'y suis pas habitué." Et il s'en débarrassa. Il prit en main son bâton, puis il choisit dans le torrent cinq pierres lisses et les mit dans sa gibecière de berger et dans sa poche. Enfin, sa fronde à la main, il s'avança contre le Philistin." 1 Samuel 17.38-40

     

    David, un jeune berger, se fit connaître pour aller combattre le Philistin. Le plus naturellement du monde, le roi Saül voulut le revêtir de son armure et lui donner ses armes. C’était sa technique, sa perspective de combat. David les essaya, certainement par politesse, mais il réalisa très vite que ça ne lui correspondait pas. Il préféra sa méthode, celle qui lui était familière : une fronde et puis des pierres.

    "Vous êtes unique, avec vos dons et vos talents."

    Pas besoin de jouer à être un autre, se "déguiser" pour faire croire qu’il était compétent. Avec tact, David eut cette maturité d’affirmer sa personnalité.

    Régulièrement, en situation de crise, les gens voudront vous voir réagir comme eux. Cependant, ce n’est pas en essayant d’être un autre que vous ferez tomber vos obstacles. Le Seigneur désire juste que vous vous serviez de ce qui est à vous pour vaincre vos géants. Chacun avec vos propres capacités, vos propres dons.

    Notre système cherche tellement à nous uniformiser qu’il en oublie nos différences. Imaginez que vous ayez devant vous : un singe, un poisson, un pingouin, un éléphant, une otarie et un chien. Et que vous leur disiez : "On va vous faire passer un concours et pour une juste sélection, vous devez tous faire le même examen : vous allez devoir grimper à un arbre…" Pensez-vous que cela soit juste ? Absolument pas.

    Albert Einstein disait : "Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson sur sa capacité à grimper dans un arbre, il passera sa vie entière à croire qu’il est stupide."

    Ne cherchez pas à vous comparer mais trouvez plutôt l’inspiration auprès de ceux qui ont réussi à faire une différence pour le Royaume de Dieu. Vous êtes unique, avec vos dons et vos talents. Développez ce que Dieu vous a donné et vous serez capable de vous dépasser.

    Une réflexion pour aujourd’hui

    Est-ce que je développe mes propres dons ou bien est-ce que j’essaie d’être quelqu’un d’autre ?

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Que feriez-vous si vous saviez que votre voisin était un meurtrier ? Laisseriez-vous vos enfants jouer tranquillement chez lui ? Je ne crois pas, je pense plutôt que vous seriez avisé et que vous agiriez avec sagesse et prudence. Mon épouse Annabelle m’a déjà dit : « Tu imagines que nous avons certainement déjà croisé un meurtrier ! ». Certainement ! Jésus a bien averti ses disciples en leur disant : « Voici que je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents et purs comme les colombes » (Matthieu 10:16). Si nous sommes ses disciples, nous devrions nous aussi être avisés concernant les gens de ce monde. Par prudence, mais également par vision et amour, afin de pouvoir les amener au salut avec l’aide du Saint-Esprit.

    La pornographie est un véritable fléau. 12% des sites qui existent dans le monde sont des sites à caractère pornographique. 25% des requêtes dans les moteurs de recherche concernent le sexe, ce qui représente 68 millions de requêtes par jour. 35% des téléchargements sont pornographiques. C’est le cas pour 8% des emails, soit 2,5 milliards par jour. Rien qu’aux États-Unis, 40 millions d’adultes affirment visiter régulièrement des sites pornographiques. Comme le disait ma femme, nous avons certainement déjà croisé un meurtrier. J’ajouterais que nous avons certainement serré bien des mains qui usaient de la pornographie…

    Si près de 40% des gens « consomment » de la pornographie, c’est que 40% des gens que nous croisons tous les jours le font. 40% des gens que nous croisons tous les jours seraient donc des pervers. Dieu ferme t-il les yeux à cette réalité, ou Dieu a-t-il un message pour eux ? Il en a bien un ! « Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés » (Actes 3:19). Jésus dira : « Tout homme qui regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur » (Matthieu 5:28). Dieu veut pardonner cette perversité. Nous devons prêcher l’Évangile.

    Jérémy Sourdril

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  • Étant affligés... si cela est nécessaire, afin que la mise à l'épreuve de votre foi... se trouve être un sujet de louange, de gloire et d'honneur, dans la révélation de Jésus Christ. 1 Pierre 1. 6, 7

     

    Dans la banlieue du Caire, nous visitons un atelier d'artisanat où de jeunes ouvriers fabriquent des tapis tissés. Assis devant un cadre tendu de fils tendus, chacun s'applique à suivre un dessin qu'il à sous les yeux. Mais le travail nous paraît mal fait : entrecroisement de fils de toutes couleurs plus ou moins bien noués, de longueur inégale.

    Le chef d'atelier voit notre étonnement et nous fait faire le tour du métier à tisser, et là tout s'explique. Ce que nous avions vus c'était l'envers. Mais à l'endroit, le dessin apparaît ; les fils y sont soigneusement séparés ; pas de nœuds, pas de bouts de fils qui dépassent.

    Nous, les humains, n'avons qu'une vision imparfaite et limitée de notre existence terrestre. Je ne vois de la mienne que "l'envers" : chagrins, difficultés, soucis ne manquent pas. Dieu, lui, voit "l'endroit". Il est à l'oeuvre dans ma vie et il sait ce qu'il fait.

    Comme à son disciple Pierre, qui ne comprenait pas ses intentions, Jésus nous dit : "Ce que je fais, tu ne le sais pas maintenant, mais tu le comprendras par la suite" (Jean 13. 7).

    Nous nous posons des questions sur le sens de telle ou telle épreuve. Soyons certains qu'elle correspond au plan de Dieu qui veut façonner chacune de nos vies pour sa gloire. Peut-être faudra-t-il attendre le ciel pour comprendre quel était le but de Dieu et avoir les réponses à nos nombreux "Pourquoi ?". Jusque-là, faisons confiance à sa sagesse et à son amour.

    Source (La Bonne Semence)

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