• Ainsi en est-il de la parole qui sort de ma bouche, elle ne retourne point à moi sans effets, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins. Ésaïe 55.11

     

    J’avais été invité à présenter ma foi dans le cadre d’un cours de catéchèse d’un lycée privé. À la fin, j’avais remis un Nouveau Testament à chaque élève en souvenir de mon intervention. Très polis, parfois même émus, ils l’avaient tous accepté.

    Deux ans plus tard, le responsable de l’école m’a transmis la lettre du père d’un de ces élèves. Il souhaitait me rencontrer. Son fils, victime d’un anévrisme, était décédé subitement à l’âge de 17 ans.

    Le père avait conservé, un peu comme une relique, le Nouveau Testament de son fils. Il le feuilletait régulièrement. Sur la dernière page de la couverture, il découvrit cet engagement de son fils : « Jésus est mon Sauveur et Seigneur ».

    Alors, souhaitant saisir ce que signifiaient ces paroles, le père se mit à lire les Évangiles. Plus tard, il les expliqua à son épouse. Je les rencontrais six mois après. Les parents avaient déjà partagé leur merveilleuse découverte à onze de leurs amis ! Chaque semaine, ils lisaient tous ensemble la Bible pour mieux la connaître et comprendre l’amour de Dieu. Ceux-ci, à leur tour, décidèrent d’en parler autour d’eux, là où ils étaient…

    La Bible change les vies. Son message, l’Évangile de Jésus-Christ, est la puissance de Dieu par laquelle il sauve tous ceux qui croient. (Romains 1.16)

    Bernard Doise

    __________________

    Lecture proposée : Psaume 119, versets 128 à 133.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Que ferez-vous à la fin ? Jérémie 5. 31

    Aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos cœurs. Hébreux 3. 15

     

    Ce verset se trouve au milieu d'un long réquisitoire de Dieu contre Jérusalem, écrit il y a 2600 ans par le prophète Jérémie. Depuis longtemps, les habitants de cette ville s'étaient rebellés contre l'Éternel et n'avaient pas voulu tenir compte de ses avertissements. C'est pourquoi l'heure du jugement avait sonné, une nation lointaine allait envahir la ville et déporter sa population (Jérémie 5. 15-19). "Que ferez-vous à la fin ?" Cette question sonne comme un ultime appel, une dernière invitation à réfléchir et à revenir à Dieu. Mais elle restera sans réponse et, quelques années plus tard, le roi de Babylone exécutera le jugement annoncé (2 Rois 25 ; vers 588 av. J-C).

    Notre civilisation occidentale est en train de sombrer dans le chaos moral. Tous les jours ont découvre de nouveaux scandales, la corruption touche tous les domaines de la société. Or "on ne se moque pas de Dieu" (Galates 6. 7). Il est patient, mais la Bible nous dit "qu'il a fixé un jour où il doit juger avec justice la terre habitée, par l'Homme qu'il a destiné  cela, ce dont il a donné une preuve certaine à tous, en le ressuscitant d'entre les morts" (Actes 17. 31). Cet homme, c'est Jésus Christ. Il ne souhaite pourtant pas à être un jour notre juge ; au contraire il veut nous mettre à l'abri du jugement. Il a même subi a colère du Dieu saint pour que cette colère ne tombe jamais sur nous. Il ne tient qu'à nous de lui confesser nos fautes, de croire en lui, et d'accepter sa grâce.

    N'attendez pas plus, sinon que ferez-vous à la fin ?

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Je vous ai aimés, dit l’Éternel… j’ai aimé Jacob.” Malachie 1. 2

    “Moi, l’Éternel, je ne change pas ; et vous, fils de Jacob, vous n’êtes pas consumés. Dès les jours de vos pères, vous vous êtes détournés de mes statuts, et vous ne les avez pas gardés. Revenez à moi, et je reviendrai à vous, dit l’Éternel des armées.” Malachie 3. 6, 7

     

    Un siècle après avoir parlé par Aggée et Zacharie, l’Éternel adresse un oracle solennel à Israël par la bouche de Malachie. Ce sera son dernier réquisitoire et son ultime appel à la repentance avant la naissance du Messie promis.

    Remontant à la lointaine origine de sa relation avec Israël, Dieu commence par lui rappeler son amour : “Je vous ai aimés”, et il le réitère, “j’ai aimé Jacob” (Mal. 1. 2). Être aimé de Dieu, a été le privilège d’Israël et le fondement de sa relation avec Celui qui Lui-même s’intitule “le Dieu de Jacob” et “l’Éternel, le Dieu d’Israël” (Ex. 3. 6 ; 34. 23). Pendant des siècles cet amour s’est confirmé.

    Certes, la rébellion du peuple et son idolâtrie ont souvent contraint Dieu de sévir pour ramener à Lui le peuple coupable. Les épreuves domestiques telles que sécheresse et famine, ou provenant de l’extérieur comme assujettissement ou déportation n’ont que temporairement rétabli les relations. Cependant le peuple n’a pas été exterminé : Dieu, fidèle à ses promesses à Jacob en particulier, “ne change pas”. Il n’a jamais cessé de les considérer comme les fils de la promesse. Dieu est immuable dans son amour toujours actif, dans ses promesses comme aussi dans sa sainteté. Tout cela donne une sécurité absolue à son engagement : “Revenez à moi, et je reviendrai à vous”.

    Cette promesse conditionnelle est aujourd’hui vieille de vingt-quatre siècles. Elle n’en est pas moins toujours d’actualité car Dieu ne change pas. En celui qui est un Père pour le chrétien, “il n’y a pas de variation ni d’ombre de changement” (Jac. 1. 17). Aussi, lorsque la grâce de Dieu produit dans la conscience d’un chrétien qui a péché “une repentance salutaire dont on n’a pas de regret” (2 Cor. 7. 10), celui-ci revient à Dieu en confessant sa faute. La réponse de Dieu, fidèle et juste, est le pardon du péché (1 Jean 1. 9). C’est alors la joie du retour, conséquence du rétablissement d’une heureuse communion semblable à celle vécue par un certain « fils prodigue » (Luc 15. 32).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Et Dieu peut vous combler de toutes ses grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre…" 2 Corinthiens 9.8

     

    L’un des slogans des plus utilisés par les politiques et les syndicats, c’est : "Il faut augmenter le pouvoir d’achat".

    "Dieu désire augmenter, non seulement notre pouvoir d’achat, mais également notre pouvoir de donner.."

    Il m’est arrivé d’être en discussion avec l’un de ces syndicalistes qui me disait : "Nous, nous nous battons pour les ouvriers, nous œuvrons pour que leur pouvoir d’achat augmente, mais vous, avec vos quêtes vous ne faites que ramasser l’argent de ces pauvres ouvriers !"

    Voici ce que j’ai déclaré à cet ami syndicaliste : "Vous, vous vous battez pour augmenter le pouvoir d’achat des ouvriers en essayant d’arracher un ou deux pour cent d’augmentation du salaire, nous, nous augmentons leur pouvoir d’achat d’au moins 10% !"

    Quelque peu étonné par ma réponse, il m’a demandé des explications. Voici ce que je lui ai dit : "Monsieur X buvait trois litres de vin par jour, il fumait un à deux paquets de tabac par jour. Lorsqu’il a décidé de confier sa vie au Seigneur, il a été libéré de ces mauvaises habitudes. Il fait plus de dix pour cent d’économies chaque mois, son pouvoir d’achat a augmenté d’autant."

    Lorsque quelqu’un est libéré du besoin immodéré d’alcool ou de tabac, lorsqu’il délaisse la drogue, ou sort de la passion des jeux de hasard… il augmente son pouvoir d’achat. Il peut acquérir ce qui lui est nécessaire, et il a encore de quoi être généreux pour bénir ses proches et servir Dieu.

    Oui, Dieu désire augmenter, non seulement notre pouvoir d’achat, mais également notre pouvoir de donner, et pas uniquement notre pouvoir de consommer. Certes le slogan : "Gagner plus, pour consommer plus", même s’il est attractif, ne saurait donner un sens profond à votre existence.

    Un encouragement pour aujourd’hui

    Augmentez votre pouvoir d’achat en demandant à Dieu de vous aider à abandonner certaines passions ruineuses et destructrices. Dieu a le pouvoir de le faire, si vous le désirez de tout votre cœur. Libéré de ces antécédents, vous aurez en même temps la possibilité de bénir bien d’autres personnes.

    Paul Calzada

    Source (La Pensée du Jour)

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  • « Il m’a dit : Fils de l’homme, je t’envoie vers les Israélites, vers des nations rebelles qui se sont rebellées contre moi. Eux et leurs ancêtres se sont révoltés contre moi jusqu’à aujourd’hui. Ce sont des enfants à la tête dure et au coeur endurci. Je t’envoie vers eux et tu leur diras : Voici ce que dit le Seigneur, l’Éternel. Qu’ils écoutent ou qu’ils n’écoutent pas - en effet, c’est une communauté de rebelles - ils sauront ainsi qu’il y a un prophète au milieu d’eux. Quant à toi, fils de l’homme, n’aie pas peur d’eux, n’aie pas peur de leurs discours, même si tu as pour compagnie des ronces et des épines et que tu habites avec des scorpions. N’aie pas peur de leurs discours et ne te laisse pas effrayer par eux, même si c’est une communauté de rebelles. Tu leur diras mes paroles, qu’ils écoutent ou qu’ils n’écoutent pas. En effet, ce sont des rebelles. Quant à toi, fils de l’homme, écoute ce que je vais te dire ! Ne te montre pas rebelle comme cette communauté de rebelles ! Ouvre ta bouche et mange ce que je vais te donner ! » (Ézéchiel 2:3-8).

     

    Depuis plus de 10 ans, j’ai lu et relu ce passage à maintes reprises. Mais c’est seulement dernièrement que j’ai compris que si je n’annonçais pas l’Évangile, si je résistais lorsque Dieu me demande de parler, je devenais moi aussi rebelle à Dieu. Le Seigneur m’a montré que j’avais parfois résisté au Saint-Esprit. Je craignais alors de m’être même opposé au Saint-Esprit ! Nous pouvons attrister le Saint-Esprit par l’une ou l’autre de ces choses.

    Je ne veux pas être un rebelle. Je ne veux pas être rebelle envers Dieu ! Je veux me soumettre à sa douce voix, à son coeur, à son amour, à ses paroles. Je veux obéir et continuer de me débarrasser du vieil homme, crucifié qu’il est (Colossiens 3:9, Éphésiens 4:22, Romains 6:6) !

    Seigneur, aide-moi. Aide-moi à obéir et partager ta Parole sans crainte. Je ne veux pas t’attrister. Je ne veux pas endurcir mon coeur. Je veux t’obéir et accomplir toute ta volonté. Je t’aime Seigneur.

    Jérémy Sourdril

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