"Si quelqu’un entre en communion vivante avec le Christ, il devient un homme nouveau, il est recréé. L’ancien état est dépassé. Ce qu’il était autrefois a disparu. La nouvelle création a déjà commencé ; voici : tout est devenu nouveau." 2 Corinthiens 5.17

Au moment où un être humain fait la paix avec Dieu et accepte Jésus comme sauveur, il devient une nouvelle création. Tout devient possible !

"Vous souvenez-vous de ce jour spécial où vous avez décidé de suivre Jésus ? Ce jour-là, vous êtes né de nouveau."

C’est un bon couscous suivi d'un gros quiproquo qui me permirent d’entrer pour la première fois dans une église et d’y entendre l’Évangile. Le pasteur y prêcha Jésus crucifié, avec passion. Je ressentis l’appel de Dieu, mais j’étais bien trop orgueilleux pour y répondre.

On me remit un petit Nouveau Testament Gédéon et je commençai à dévorer la Parole de Dieu. Je me rendis à nouveau dans cette toute petite église où j’étais l'un des rares jeunes, et la parole de Dieu travailla mon cœur à nouveau. Lorsque le pasteur fit l’appel au salut, je me revis dans l’ambulance où, trois ans plus tôt, je frôlai la mort. Dieu me rappela la promesse que je lui avais faite : “Garde-moi en vie, et je croirai en toi.”

C’était le moment de croire, d’accepter Jésus comme sauveur et de décider de le suivre. Je levai ainsi ma main pour indiquer que je voulais être sauvé. Je venais de faire la paix avec Dieu et j’allais commencer à faire la paix avec moi-même. Et ce n’était que le début !

Et vous, avez-vous fait la paix avec Dieu ? Vous souvenez-vous de ce jour spécial où vous avez décidé de suivre Jésus ? Ce jour-là, vous êtes né de nouveau.

Vous êtes un homme nouveau, une femme nouvelle. Une nouvelle création a commencé. Tout a été refait à neuf. Ce que Dieu va faire avec votre vie est extraordinaire !

Une prière pour aujourd’hui

Seigneur, merci d’être mon sauveur. Merci d’avoir fait de moi une nouvelle création. Merci d’être celui qui change tout ! Bienvenue dans mon coeur aujourd’hui, pour continuer ton oeuvre merveilleuse dans ma vie.

Éric Célérier

Source (La Pensée du Jour)

Rendez à l’Éternel la gloire due à son nom. […] La voix de l’Éternel retentit sur l’eau, le Dieu de gloire fait gronder le tonnerre. Psaume 29.2-3

En cette nuit d’été, la foudre est tombée à cent mètres en arrière de notre maison à Blaye. Même les murs d’une épaisseur de 60 cm ont tremblé tellement le coup de tonnerre était violent ! Le lendemain, j’ai constaté qu’un énorme saule avait été coupé en deux par la foudre.

David, l’auteur du psaume 29, rappelle que ces phénomènes naturels témoignent de la puissance du Créateur. C’est ce même Dieu qui déploie sa puissance lorsqu’il nous soutient dans nos difficultés. S’il ne les fait pas toujours disparaître, nous pouvons toutefois compter sur lui pour nous donner la force de les surmonter. Nous, nous sommes faibles, lui est le Tout-Puissant, comme cela se trouve souligné dans un autre psaume : Des cris de triomphe et de salut s’élèvent dans les tentes des justes : la main droite de l’Éternel manifeste sa puissance ! (Psaume 118.15)

En effet, la puissance de Dieu qui fait jaillir les éclairs n’est pas là pour nous effrayer. Au contraire ! Il la déploie pour offrir un triple bienfait à ceux qui ont choisi de lui appartenir : il leur donne la force, la bénédiction et la paix (Psaume 29.11).

Francis Praline

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Lecture proposée : Psaume 29.

Source (Vivre Aujourd'hui)

Priez par toutes sortes de prières et de supplications, en tout temps, par l'Esprit. Éphésiens 6. 18

“J'avais invité Malaï, une jeune mère thaïe, à venir à une réunion de prières des mamans. Après avoir été présentée à deux autres chrétiennes, elle dit : – Vous savez, je n'ai jamais prié. Je lui répondis : – Il n'y a aucun problème. Vous pouvez vous asseoir simplement et écouter, mais si vous voulez prier avec nous, c'est facile. La prière, c'est parler avec Jésus en utilisant des mots et des phrases simples.

Malaï se mit à prier pendant le temps de louange, pendant le temps de reconnaissance et pendant le temps d'intercession. Quand la réunion fut terminée, je lui demandai en souriant : – Vous disiez que vous ne saviez pas prier ? – Quand j'étais bouddhiste, me répondit-elle, je voulais prier et dire quelque chose à Bouddha mais les mots ne sortaient jamais de ma bouche. Je ne suis chrétienne que depuis quatre jours, et pendant cette heure passée ensemble, les paroles de louange, de reconnaissance et d'intercession me sont venues tout naturellement. Je n'ai jamais vécu une chose pareille auparavant.” (d'après Fern Nichols)

Prier Jésus, c'est lui parler comme vous parlez à un ami qui serait assis à côté de vous. Quand vous priez, ce n'est pas la beauté de votre langage qui compte, c'est de laisser votre cœur s'exprimer. Prier, c'est s'adresser en parole ou en pensée à Dieu. C'est peut-être crier, pleurer… C'est lui parler de vos problèmes quotidiens, mais aussi de vos joies. C'est aussi lui dire merci.

Source (La Bonne Semence)

“Enfants, obéissez à vos parents, dans le Seigneur, car cela est juste. […] Et vous, pères, n’irritez pas vos enfants, mais élevez-les dans la discipline et sous les avertissements du Seigneur.” Éphésiens 6. 1, 4 (lire Colossiens 3. 20, 21)

Paul envoie une lettre “aux saints et fidèles dans le Christ Jésus qui sont à Éphèse” (Eph. 1. 1). On s’imagine le moment où la lettre est lue dans l’église. Soudain les femmes sursautent : Paul les interpelle directement (5. 22-24) ! Aussitôt après, il s’adresse aux maris (5. 25-33). Puis il donne des messages spéciaux aux pères (6. 4), aux serviteurs (6. 5-8) et aux maîtres (6. 9). Mais il a aussi un message pour les enfants ! On aurait imaginé que Paul écrive : « Vos enfants sont peut-être à la maison ou à l’école du dimanche ; dites-leur de ma part qu’ils doivent être obéissants ». Mais non : il interpelle les enfants exactement comme les pères ! Pour Paul, l’assemblée est composée de personnes des deux sexes, de différentes générations, de différentes classes sociales.

Pour Paul, les enfants font partie de l’église d’Éphèse. Et pour nous, seront-ils l’église demain ou sont-ils déjà une partie de l’église d’aujourd’hui ?

Le deuxième verset du jour définit la responsabilité des pères envers les enfants. Mais il commence par un garde-fou, un avertissement : “n’irritez pas ou ne provoquez pas vos enfants”. Paul est conscient d’un grave danger : l’abus d’autorité. Il indique ensuite les limites à ne pas dépasser : l’autorité du père est juste quand elle contribue à former et à instruire selon le Seigneur. Si un père utilise l’autorité que Dieu lui a déléguée pour ce but, il remplit son rôle de père : formateur et instructeur, dans un esprit d’amour. S’il utilise cette autorité pour dominer, il commet un abus d’autorité. Des exemples : utiliser l’autorité pour se faire servir, pour donner des ordres irréfléchis ou injustes, pour se donner le droit de ne pas faire ce qu’il exige des autres, pour manquer d’amour et d’humilité. Tout ceci revient à irriter ou provoquer l’enfant : face à l’orgueil et à l’injustice, sa réaction normale sera l’agacement, la colère, la révolte ou au contraire l’écrasement de sa personnalité. Et cet enfant aura du mal à faire confiance à son père céleste, à croire qu’il est juste et bienveillant.

Suivons l’exemple de notre Père céleste envers chacun de ses enfants : il les forme, instruit, corrige si nécessaire, toujours avec beaucoup d’amour et de patience !

Source (Plaire au Seigneur)

"Si tu agis bien, tu relèveras ton visage. Mais si tu n'agis pas bien, le péché est tapi à ta porte : son désir se porte vers toi, mais toi, maîtrise-le !" Genèse 4.7

Lorsque nous rentrons chez nous, un confortable sentiment de bien-être et de sécurité nous enveloppe. Et pourtant !

"Soyez particulièrement vigilant sur ce que vous laissez pénétrer dans vos foyers."

Le plus sournois, c’est que le danger n’est plus seulement dehors, sur le seuil, dans la rue ou au travail à guetter notre sortie. Non, plus que jamais, un ennemi terriblement redoutable nous attend, dans la maison. Il se tapit en embuscade, attendant le moment favorable, couché derrière la porte, à l’intérieur de nos propres murs.

Certains parents, intransigeants envers leurs enfants au sujet du port du casque à vélo ou de l’utilisation des passages piétons, sont étonnamment permissifs quant à l’usage de la télévision, des jeux vidéo ou du web. Et pourtant c’est par ce biais que la violence, les jeux d’argent, la pornographie, les addictions s’invitent, sans bruit, dans le secret des chambres des jeunes. Quant aux adultes, ils ne sont pas plus épargnés par toutes sortes de tentations.

Pas question, bien entendu, de diaboliser les outils de communication et de loisirs modernes. Comme dans toute évolution technologique, ils apportent d’extraordinaires avantages, d’immenses progrès. Mais ils peuvent aussi devenir des monstres menaçants si on ne les maîtrise pas. Ils sont de bons serviteurs, mais de dangereux maîtres. L’apôtre Pierre nous met en garde : "Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera". Plus loin, il déclare que l’homme est esclave de ce qui a triomphé de lui (1 Pierre 5.8 & 2 Pierre 2.19).

Soyez particulièrement vigilant sur ce que vous laissez pénétrer dans vos foyers. Veillez comme des sentinelles sur les murailles de la ville ! Veillez sur vos actes (Marc 13.33) !

Dieu vous invite à la résistance contre votre ennemi juré, le diable également surnommé le serpent ancien, le dragon séducteur et meurtrier. Et l’unique façon de le vaincre est de se soumettre à Dieu, d’obéir à ses commandements. Par la victoire de la croix, vous êtes rendu capable de faire face à Satan et d’en triompher : "Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous". (Jacques 4.7).

Une action pour aujourd’hui

Un dragon est-il tapi derrière votre porte, chez vous ? Vous pouvez le faire fuir. Résistez-lui en face. Décidez de mettre Dieu toujours en premier, priez et attendez-vous à la victoire.

Solange Raby

Source (La Pensée du Jour)