• Tournez-vous vers moi, et vous serez sauvés, vous tous qui êtes aux extrémités de la terre ! Car je suis Dieu, et il n'y en a point d'autres. Ésaïe 45.22

     

    Dieu veut que tous les hommes soient sauvés. Cette déclaration n'est pas le fruit d'une imagination de l'homme, mais ce trouve en toutes lettres dans la sainte Parole de Dieu. C'est ce que nous lisons dans la première lettre que l'apôtre Paul écrivait à Timothée : Voilà ce qui est bon et agréable à Dieu notre Sauveur, qui veut que tous les humains soient sauvés et parviennent à connaître la vérité. Car il y a un seul Dieu, et un seul intermédiaire entre Dieu et l'humanité, l'homme Jésus-Christ qui s'est donné lui-même comme rançon pour la libération de tous. (1 Timothée 2.3-4)

    Par nature, nous sommes des êtres pécheurs, vivant loin du Seigneur. Si Dieu agissait envers nous comme nous agissons envers lui, il nous abandonnerait à notre triste sort.

    Inclinons-nous avec respect et reconnaissance devant notre Dieu. Il communique sa volonté à des gens comme nous ! Dieu est amour et il ne désire pas la mort du pécheur, mais le salut de son âme. (Ézéchiel 18.32)

    La condition naturelle de l'homme, c'est d'être perdu, Mais d'être sauvé sera votre condition si vous recevez Jésus comme votre Sauveur. Le voulez-vous ? Voulez-vous faire table rase de votre vie passée et vivre une vie nouvelle avec lui ?

    Albert Nouguier

    ------------------

    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 17, versets 1 à 5.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • (Jésus dit) : Priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton nom soit sanctifié ; que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite, comme dans le ciel, aussi sur la terre. Matthieu 6. 9, 10

    Jésus pria en disant : Mon Père, s'il n'est pas possible que ceci passe loin de moi sans que je le boive, que ta volonté soit faite. Matthieu 26. 42

     

    Dans la prière dite du "Notre Père" (Matthieu 6), Jésus nous invite à demander : "Que ta volonté soit faite". Prier ainsi, ce n'est pas attendre passivement la réalisation de ce que Dieu veut, c'est aussi répondre à l'invitation de Jésus de discerner cette volonté et de prier pour recevoir la force d'accomplir ce qu'il nous demande.

    En Matthieu 26, Jésus lui-même a exprimé cette même prière à Gethsémané, juste avant de mourir : "S'il n'est pas possible que ceci passe loin de loin de moi sans que je la boive, que ta volonté soit faite". Le désir suprême de Jésus était de faire la volonté du Père, au prix même des souffrances infinies qu'il a endurées pour expier nos péchés.

    Quand Jésus enseigne à prier : "Que ta volonté soit faite", il nous invite à ne pas être passifs, mais au contraire à nous associer à la réalisation du plan de Dieu sur la terre et dans nos vies. Le premier pas pour cela c'est de croire au Seigneur Jésus pour recevoir une nouvelle vie, qui trouve sa joie à accomplir la volonté de Dieu. Cela suppose de renoncer à notre volonté personnelle dans ce qu'elle a d'égoïste et de corrompu. Mais c'est aussi répondre à l'appel du Seigneur qui résonne dans notre conscience, et le suivre pour faire ce qu'il lui plaît.

    Accepter la volonté de Dieu, c'est avoir une vie d'écoute et de soumission à ses pensées, d'échanges avec lui. C'est très personnel, cela se vit au présent, dans une relation vivante avec Dieu.

    Que ta volonté soit faite ! Fruit d'une recherche qui ne cesse jamais, d'une quête toujours alimentée par l'Esprit Saint dans l'intimité de Jésus.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Que ce livre de la loi ne s’éloigne pas de ta bouche, et médite-le jour et nuit, afin que tu prennes garde à faire selon tout ce qui y est écrit, car alors tu feras réussir tes voies, et alors tu prospéreras.” Josué 1. 8

     

    Qu’est-ce que la réussite pour un chrétien ? L’apôtre Paul a été persécuté, puis abandonné de tous à la fin de sa vie, et finalement exécuté. Malgré cela, il affirme : “J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course” (2 Tim. 4. 7). Qui aurait dit que cet homme avait « réussi » ? Et pourtant, c’était le cas… “désormais, m’est réservée la couronne de justice” (2 Tim. 4. 8)

    À 23 ans, William-Joseph Lowe (1840-1927), un chrétien anglais, quitte un important poste d’ingénieur en Inde (il dirigeait plusieurs milliers de collaborateurs) pour se mettre au service de Dieu à plein temps ; même si ce n’est pas l’appréciation du monde, il a « réussi » ! C’est lui qui a écrit ces vers : « Si les biens de la vie prétendent m’arrêter, sa puissance infinie me les fait rejeter ».

    Mais réussir, pour un chrétien, est-ce avoir un service très visible ? Comme un autre l’a écrit : « Est-ce le nombre d’églises implantées, le nombre de convertis, la taille de notre assemblée, sa croissance, notre sphère d’influence, ou encore les signes et miracles obtenus qui déterminent la « réussite » de notre vie chrétienne ? D’où viennent ces critères de succès qui parfois nous maintiennent dans l’insatisfaction ? D’où vient ce besoin de recettes toutes faites pour s’assurer que nous aurons du « succès » ? Cette pression conduit malheureusement certains à jeter parfois un regard négatif sur l’œuvre que Dieu leur a confiée, quand celle-ci ne remplit pas ces notions modernes du « succès »…

    Au fait, réussir, n’est-ce pas humblement accomplir notre tâche quotidienne en obéissant à la volonté de Dieu ? Mais quelles sont les conditions pour réussir ? Voici quelques pistes bibliques où ce verbe, « réussir » est mentionné :

    − Lire et méditer la Parole de Dieu (Jos. 1. 7, 8).

    − Marcher dans les voies de Dieu (1 Rois 2. 3) − Avoir à cœur la maison de Dieu (2 Chr. 7. 11)

    − Intercéder (Néh. 1. 11)

    − Se laisser conseiller par des amis chrétiens avisés (Prov. 15. 22)

    − Répandre sans se lasser la Parole de Dieu (Ecc. 11. 6).

    Alors désirons une belle « réussite », mais selon les bons critères et avec les bons moyens !

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Josué, fils de Noun, envoya secrètement de Chittim deux espions, en disant : Allez voir le pays et Jéricho ! Ils partirent et entrèrent dans la maison d’une prostituée dont le nom était Rahab, et ils y couchèrent." Josué 2.1

     

    Jéricho. Pour les Israélites, c’était un obstacle insurmontable. Et ils ne pourraient pas prendre possession du Pays promis tant qu’ils ne se seraient pas emparés de cette ville protégée par des murailles imposantes. Que faire ? Nul n’aurait pu imaginer que la clé de la victoire serait Rahab, une prostituée apparemment insignifiante !

    "Nous devons décider si nous servons vraiment Dieu. Qu’est-ce qui compte le plus pour nous ?"

    Une fois entrés dans le Pays promis, les espions envoyés par Josué logèrent dans la maison de Rahab. Tout le monde à Jéricho semblait savoir qui ils étaient et pourquoi ils étaient là. Le roi envoya même des messagers pour les arrêter. Mais Rahab était prête à venir en aide à ces étrangers. Sans jamais paraître hésiter, elle les cacha et envoya les messagers du roi sur une fausse piste.

    Pourquoi a-t-elle agi ainsi ? Après tout, c’était trahir son propre peuple. Elle expliqua aux espions qu’elle reconnaissait que Dieu avait donné le pays à Israël. Les habitants de Jéricho savaient tout ce que l’Éternel avait fait pour son peuple et ils tremblaient de peur. Ils n’étaient pas de taille à lutter contre un tel Dieu. Que demandait-elle en échange de son aide ? Qu’elle et sa famille aient la vie sauve. Les espions acceptèrent, et ils tinrent parole.

    Rahab avait choisi. Sa priorité était d’aider le royaume de Dieu, et non le monde. Ultimement, nous sommes tous confrontés à de tels choix. Nous devons décider si nous servons vraiment Dieu. Qu’est-ce qui compte le plus pour nous : les plaisirs, le pouvoir, les richesses et la popularité, ou son royaume ? Comment employons-nous notre temps, nos talents et nos ressources ? Quels risques sommes-nous prêts à prendre par amour pour Dieu ?

    Votre consécration au royaume de Dieu est-elle totale ? Si vous étiez mis au pied du mur, que choisiriez-vous ?

    Une prière pour aujourd'hui

    Père, tu es plus important pour moi que n’importe quoi d’autre dans ce monde. Je veux chercher d’abord ton royaume et ta justice. Utilise-moi pour toucher d’autres vies. Au nom de Jésus. Amen.

    John Roos

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Beaucoup crurent en son nom, contemplant les miracles qu'il faisait. Mais Jésus lui-même ne se fiait pas à eux. Jean 2. 23, 24

    (Jésus dit) : Celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie. Jean 5. 24

     

    À travers la parabole de Lazare et du riche, Jésus lève le voile sur l'au-delà (Luc 16. 19-31). Le riche meurt, il est envoyé “dans les tourments”. Réalisant que son malheur est définitif, il voudrait qu'on envoie prévenir ses cinq frères, encore en vie sur terre, pour qu'ils ne viennent pas dans ce lieu terrible.

    La réponse est extrêmement sérieuse : “Ils ont Moïse et les prophètes, qu'ils les écoutent”. Le riche insiste, mais on lui répond que quelqu'un qui ne croit pas “Moïse et les prophètes” (c'est-à-dire, en ce temps-là, la Parole de Dieu) ne sera pas convaincu non plus par l'apparition d'un “revenant” !

    On entend dire parfois : “Personne n'est jamais revenu de l'au-delà…” C'est faux. Jésus a été mort, mais il est ressuscité, il est apparu vivant plusieurs fois à ceux qui l'avaient suivi (1 Corinthiens 15. 3-8). Leur témoignage a été largement répandu. Et pourtant, beaucoup rejettent ce fait extraordinaire que constitue la résurrection de Jésus. Depuis 2000 ans, malgré les preuves de cette résurrection, les hommes continuent à résister à la vérité. Ils démontrent ainsi combien la parabole de Luc 16 correspond à la réalité.

    N'attendons pas des preuves venues d'un autre monde, ou des miracles extraordinaires, pour croire la Parole de Dieu. La Bible est formelle : seule l'humble acceptation de ce que Dieu dit dans les Écritures saintes peut conduire au salut. Lisons donc cette Parole avec foi, et nous serons parfaitement au clair sur notre sort éternel.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire