• Voilà ce qui est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur, lui qui désire que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité. 1 Timothée 2. 3, 4

     

    Il y a dans la société beaucoup de gens qui ne se font pas entendre. Comme ils ne font pas de bruit, on ne se préoccupe guère de leur opinion ou de leurs aspirations. Mais s'ils passent inaperçus des hommes, une chose est certaine : Dieu les voit et connaît les circonstances de leur vie : “L'Éternel regarde du haut du ciel, il voit tout les hommes” (Psaume 33. 13). “Tu sais quand je marche et quand je me couche, et toutes mes voies te sont familières” (Psaume 139. 3). “Quand ont fait du tort  un être humain alors qu'il défend sa cause, le Seigneur ne le voit-il pas ?” (Lamentations de Jérémie 3. 36).

    Dans l'évangile, Zachée, un homme de petite taille, méprisé par ses contemporains à cause de son métier, est monté sur un arbre pour voir Jésus passer (Luc 19. 1-10). Et le Seigneur l'a vu, comme il a vu la veuve offrir au trésor du temple “tout ce qu'elle avait” (Marc 12. 44).

    Vous sentez-vous isolé, ignoré, voire méprisé ? Allez à Jésus ! Il ne repousse personne : “Car devant Dieu il n'y a pas de favoritisme” (Romains 2. 11). “Devant lui il n'y a pas de favoritisme” (Éphésiens 6. 9).

    Quels que soient nos origines, notre couleur de peau, notre pays, notre position sociale, notre profession, Dieu déclare que nous sommes tous pécheurs, “il n'y a pas de différence” (Romains 3. 22). Et, chose merveilleuse, il offre son pardon à tous par l'œuvre de Jésus à la croix. Il nous dit : “je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi” (Jean 6. 37). Dès lors, rien “ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifestée en Jésus-Christ notre Seigneur” (Romains 8. 39).

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Au moment où l’on commençait les acclamations et les louanges, l’Éternel plaça des embuscades contre les Ammonites et les Moabites et ceux des monts de Séir qui étaient venus contre Juda, et ils furent battus." 2 Chroniques 20.22

     

    La guerre était imminente et la défaite semblait inévitable. L'armée assyrienne était en route ! Rempli de crainte, le roi Josaphat proclama un jeûne et ordonna à tout Juda de chercher Dieu. Dans sa prière, Josaphat reconnut la souveraineté de Dieu, sa puissance et son autorité sur toute la terre. Rien n'est impossible à l'Éternel. Il était leur seul espoir, car "nous sommes sans force devant cette multitude nombreuse qui s'avance contre nous".

    Rien n'est impossible à Dieu.

    Quand il eut prié, "l'esprit de l'Éternel saisit au milieu de l'assemblée Yahaziel", qui leur assura que Dieu avait entendu leurs prières. Il ne fallait pas qu'ils s'inquiètent du nombre de leurs ennemis, car l'Éternel avait le contrôle de la situation. En fait, dit Yahaziel, "ce n'est pas votre combat, mais celui de Dieu". Cette prophétie remplit chacun de paix et un esprit de louange souffla sur la nation. Les Lévites se levèrent pour louer l'Éternel "d'une voix forte et bien haut".

    Le lendemain matin, alors que l'armée ennemie approchait, Josaphat leur déclara : "Soyez fermes dans votre confiance en l'Éternel, votre Dieu, et vous serez affermis dans votre défense. Soyez fermes dans votre confiance en ses prophètes, et vous aurez du succès." Puis il désigna des chantres qui les précéderaient en célébrant l'Éternel, car "sa bienveillance dure à toujours".
    Alors qu'ils acclamaient et louaient Dieu, Dieu leur donna la victoire et l'armée ennemie fut entièrement détruite. Ils mirent trois jours pour emporter tout le butin, "car il était considérable".

    Peut-être vous sentez-vous submergé. Découragé. Vaincu. Effrayé. Mais le message que Dieu adressa à Juda est également vrai pour vous. Rien n'est impossible à Dieu. Mais vous devez le chercher, vous tourner vers lui, lui faire confiance. Puis entrer dans la louange et l'adoration, chanter en son honneur, le remercier pour ses bénédictions. Et vous attendre à lui pour la victoire !

    Une prière pour aujourd'hui

    Père, je te confie les problèmes suivants... Merci de me donner la victoire. Je te loue et t'adore. Au nom de Jésus. Amen.

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Bonne lecture et bonne écoute sur la radio CJQS à cette adresse : http://cjqsradio.blogspot.be/p/radio.html

    “Tu es mon serviteur, Israël, en qui je me glorifierai… Je serai glorifié aux yeux de l’Éternel.” Ésaïe 49. 3, 5

     

    Dans une section du livre d’Ésaïe où Dieu reproche à son peuple le rejet du Messie qu’il lui enverra, le chapitre 49 met en évidence le caractère de ce Messie comme serviteur de Dieu.
    Le serviteur de l’Éternel aurait pu être la nation d’Israël, mais seul le “saint Serviteur Jésus” (Act. 4. 27), répond parfaitement à la description donnée dans les versets 1-13 du chapitre du jour. Lui seul, ramènera son peuple à Dieu, lorsque les Juifs regarderont à celui qu’ils ont percé (Zach. 12. 10). C’est également Jésus seul dont il peut être dit qu’il a été appelé “pour être une lumière des nations” et pour être le salut de Dieu “jusqu’au bout de la terre” (Es. 49. 6). Et dans quel but a-t-il répondu à l’appel de Dieu ? Pour la bénédiction éternelle des nations, et nous nous en réjouissons chaque jour. Mais Jésus, le parfait Serviteur, n’avait-il aucun autre but ?
    La réponse est dans les deux versets du jour. La prophétie atteint là une élévation de pensée très proche des paroles exprimées par le Seigneur lui-même quand il s’adresse à son Père devant l’imminence de la croix : “Père… glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie” (Jean 17. 1). Certes, le Fils a glorifié le Père durant sa vie par ses actes (Jean 11. 4) et le Père a également glorifié son Fils durant son ministère (Jean 8. 54). Cependant c’est à la croix que toute la dimension de cette glorification réciproque a son accomplissement absolu : “Maintenant, (dit Jésus), le fils de l’homme est glorifié et Dieu est glorifié en lui” (Jean 13. 31).
    Par cette parole, le Seigneur anticipe sur l’œuvre de rédemption qu’il va accomplir pour la gloire de Dieu. Il voit la gloire qui résultera de sa mort. À Golgotha, tous les attributs divins (puissance, justice, sainteté, amour) sont révélés de manière éclatante, si bien que Dieu est glorifié lui-même par l’œuvre de son Fils. Mais Dieu n’attend pas le déploiement de la puissance de son Fils dans l’avenir pour que sa gloire rayonne au plus haut point : sans tarder, il le ressuscite d’entre les morts, le fait asseoir à sa droite dans les cieux et le couronne de gloire et d’honneur.
    Devant le déploiement d’une telle gloire, adorons !
     
    Source (Plaire au Seigneur)
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Voyez quel amour le Père nous a témoigné pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes ! Si le monde ne vous connais pas c'est qu'il ne l'a pas connu, lui. Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que seront un jour n'a pas encore été révélé. Mais nous savons que, lorsque Christ apparaîtra, nous serons semblables à lui parce que nous le verrons tel qu'il est. 1 Jean 3. 1, 2

     

    En 1973, le philosophe polonais L. Kolakowski (1927-2009) décrivait ainsi l'évolution de la chrétienté :

    “La chrétienté semble être en proie à une peur panique, celle de se trouver toujours plus dans la position d'une secte isolée. Elle effectue des essais d'adaptation insensés, afin de ne pas être engloutie par ses ennemis. Elle cherche à adopter les couleurs de son entourage, dans l'espoir de sauver sa vie de cette manière ; en réalité, elle perd ainsi son identité qui consiste justement dans la séparation entre ce qui est saint et ce qui est profane.”

    Cette critique est juste : la chrétienté perd son identité, parce que beaucoup de ceux qui se disent chrétiens n'en ont que le nom.

    Et la grande ruse du diable consiste à effacer la ligne de démarcation entre le bien et le mal, comme entre ce qui est saint et ce qui est profane.

    Chez les disciples de Jésus Christ, au contraire, cette identité était clairement visible : on les reconnaissait “pour avoir été avec Jésus” (Actes 4. 13). Alors qu'il venait d'être crucifié par les hommes, ses disciples montraient, par leur attitude et leurs paroles, leur attachement à leur Sauveur, et leur ressemblance avec lui.

    Chrétiens, rachetés de Christ, réveillons-nous. Tout disciple du Seigneur Jésus a dans sa vie d'autres motivations, d'autres buts et d'autres moyens que les incroyants. Il est né de Dieu, et sa vie est celle d'un enfant de Dieu. C'est pourquoi il ne devrait y avoir pour lui qu'une voix qui fasse autorité : la voix de Dieu. Ouvrons la Bible et lisons-la, écoutons-la. Ce n'est pas une parole d'homme, c'est la Parole de Dieu.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler..." Jacques 1.19

     

    "Attention à ce que tu dis !" Vous est-il déjà arrivé de lancer cet avertissement à quelqu'un ? Ou de l'entendre vous-même ? Nous sommes pour la plupart d'accord pour estimer que nous devrions davantage réfléchir avant de parler. Jacques 1.19 nous dit : "que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler".

    Notre langue détermine le cours de notre vie.

    Pourquoi ? Parce que nos paroles ont un pouvoir. La Bible dit que la mort et la vie sont au pouvoir de la langue (Proverbes 18.21). Nos paroles révèlent ce qui est au fond de notre cœur. Elles montrent le véritable caractère et le niveau de maturité spirituelle d'une personne. Si vous prêtez attention à ce que vous dites, vous découvrirez certaines vérités vous concernant.

    L'épître de Jacques a beaucoup à dire sur les paroles qui sortent de notre bouche. Nous lisons dans Jacques 3.2 que celui qui est capable de maîtriser sa langue et de ne jamais commettre d'écart de langage est capable de contrôler toute sa vie. Cela veut dire que ce que nous disons détermine notre direction dans la vie – nos paroles sont soit en accord, soit en contradiction avec la Parole de Dieu et son plan.

    Dans les versets 4 à 10, Jacques développe son argumentation. Il compare la langue au mors dans la bouche d'un cheval. Ce petit bout de métal dirige l'animal tout entier. De même, le gouvernail d'un navire, qui est un gros bâtiment, détermine sa course. Le mors et le gouvernail sont tous deux petits comparés au cheval et au navire qu'ils contrôlent.

    Il en va de même pour notre langue. Et de ce fait, c'est elle qui représente notre principal problème dans la vie – et non les finances, les autres, le travail ou encore le monde.

    Ce que veut montrer Jacques dans ces versets, c'est que notre langue détermine le cours de notre vie. Toute petite qu'elle soit, elle peut causer d'énormes dégâts. Satan s'en sert souvent pour faire beaucoup de mal. Et aucun homme n'est capable de la dompter ; c'est pourquoi nous avons besoin de l'aide de Dieu.

    Je suis convaincue que le Saint-Esprit essaie de nous aider et de nous diriger. C'est ce qui explique ce sentiment désagréable que nous éprouvons au moment de dire quelque chose que nous ne devrions pas. Lorsqu'il m'arrive de déraper dans mes paroles, je le sens immédiatement.

    Le Saint-Esprit ne fera pas le bon choix à notre place, mais le moment venu, il nous rappellera ce qui est juste. Je veux vous encourager à invoquer certains passages de l'Écriture sur vous-même. Voici quelques-unes des prières de David :

    - Psaumes 19.15 : "Reçois favorablement les paroles de ma bouche et la méditation de mon cœur en ta présence, ô Éternel, mon rocher et mon rédempteur".

    - Psaumes 141.3 : "Éternel, veille sur ma bouche, garde la porte de mes lèvres".

    - Psaumes 39.2 : "Je garderai mes voies de peur de pécher par ma langue ; je garderai un frein à ma bouche"

    Une action pour aujourd'hui

    Surveillez votre langue ! Elle a plus d'importance que vous ne le pensez. Demandez à Dieu de vous rendre responsable des paroles qui sortent de votre bouche. Lui seul a le pouvoir de dompter votre langue !

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire