• Mardi 26 Mars 2024

    Une femme qui souffrait d'hémorragies depuis 12 ans... s'approcha par-derrière et toucha le bord du vêtement de Jésus. Luc 8. 43, 44 Version Segond 21

    [Un aveugle] cria : «Jésus, Fils de David aie pitié de moi !»... Jésus s'arrêta. Luc 18. 38, 40 Version Segond 21

    Comment s'approcher de Jésus ?

    Ces textes évoquent deux personnes bien différentes. La femme est timide. Elle souffre depuis longtemps d'une hémorragie. Lorsque Jésus passe, elle aimerait bien qu'il la guérisse. Mais elle n'ose pas s'avancer. Elle éprouve sans doute une gêne à reconnaître devant tout le monde qu'elle à un problème de cette nature. Qu'importe ! Elle croit que Jésus peut la guérir, alors, au milieu de la cohue, elle ne peut que toucher le bord du vêtement de Jésus. Le Seigneur répond à sa foi et elle est guérie instantanément !

    L'homme, au contraire, faire preuve d'une certaine audace. Au milieu de l'agitation, il se met à appeler Jésus, de plus en plus fort. La foule cherche à le faire taire, s'interpose. Mais rien ne l'arrête. Il se débarrasse de son manteau, se lève et s'approche de Jésus, qui salue sa foi. Il est guéri instantanément !

    Ces deux récits sont à la fois proches et distincts. Proches, parce que la rencontre avec Jésus à lieu, malgré les nombreux obstacles ou résistances ; proches également, parce qu'ils se terminent par la guérison et par cette parole de Jésus : "Ta foi t'a guéri(e)". Distincts, parce que les obstacles ne sont pas de même nature, et les attentes et le tempérament de ces deux personne sont très différents.

    Chacun a besoin d'être guéri de cette maladie mortelle contractée par notre rejet de Dieu, par notre condition de pécheurs, Jésus, par son sacrifice, nous offre le pardon de Dieu et la guérison. Avec une foi discrète ou plus démonstrative, n'attendons pas pour nous approcher de lui.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Lundi 25 Mars 2024

    Jésus... a passé de lieu en lieu, faisant du bien et guérissant tous ceux que le diable avait asservis à sa puissance, car Dieu était avec lui. Actes 10. 38, 39 Version Darby

    Jésus vient à notre rencontre

    Si Jésus s'est parfois isolé, pour prier (Luc 6. 12), les ébangiles nous le présentent comme se mettant à la disposition des foules, inlassablement, mais sans forcer personne. Il ne les poursuit pas, ne les provoque pas et ne cherche pas la popularité. Mais il ne rejette pas ceux qui s'approchent de lui, et lui-même s'approche de celui qui ne va pas bien.

    Par exemple, il a rencontré un homme "qui a tout pour lui" : il est jeune, riche, cultivé, irréprochable... Mais il lui manque l'essentiel, la vie que Dieu donne ! Jésus le regarde avec bonté, ne le contredit pas, il lui propose au contraire de s'ouvrir aux autres. Le jeune homme refuse... et repart tout triste (Matthieu 19. 16-22).

    Il a aussi rencontré une femme sans ressources. Dans la foule, Jésus la voit, seule, très pauvre, qui offre à Dieu tout ce qui lui reste pour vivre. Il ne lui dit rien, mais relève avec force ce qu'elle fait. Elle a donné deux sous, comme d'autres n'ont qu'une vie brisée à "offrir" à Dieu, deux mots, un soupir... Jésus accueille favorablement le moindre signe vers lui (Marc 12. 41-44).

    Jésus vient aussi à la rencontre d'innombrables femmes et hommes englué dans leurs problèmes personnels : atteints de maladies incurables, porteurs de handicaps, tourmentés par de mauvais esprits, etc. Parfois, il les guérit tous (Matthieu 4. 23, 24), parfois quelques-uns seulement, à cause de leur incrédulité (Matthieu 13. 58). Mais il les accueille, il écoute avec attention, il tend la main et propose une guérison intérieure (Matthieu 9. 2).

    Source (La Bonne Semence)

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  • Dimanche 24 Mars 2024

    (Moïse dit à Dieu) : Fais-moi voir, je te prie, ta gloire... - Tu ne peux pas voir ma face, car l'homme ne peut pas me voir et vivre. Exode 33. 18, 20 Version Darby

    La Parole devint chair et habita au milieu de nous (et nous avons contemplé sa gloire...) pleine de grâce et de vérité. Jean 1. 14 Version Darby

    Voir la gloire de Dieu

    Moïse a demandé à voir la gloire de Dieu, mais la réponse divine est formelle : c'est impossible, car Dieu est saint, il ne peut supporter la vue du mal (Habakuk 1. 13). Ainsi l'homme, sa créature, ne peut supporter la vision de la majesté du Créateur.

    Pourtant, pendant des siècles, Dieu s'est révélé à des êtres humains, mais il demeurait invisible. Quelle émotion alors de lire la déclaration de Jean annonçant la venue de Jésus-Christ : "La Parole était Dieu... la Parole devint chair... et nous avons contemplé sa gloire" (Jean 1. 1, 14). Jésus-Christ est "Dieu manifesté en chair" (1 Timothée 3. 16). Lorsqu'un de ses disciples demande à voir le Père, il répond : "Celui qui l'a vu a vu le Père (Jean 14. 9).

    Ce Dieu resté su longtemps invisible, nous l'avons enfin vu quand il est apparu dans cet enfant saint (Luc 1. 35) : Jésus, le Fils de Dieu. En lui nous avons vu la gloire de Dieu. Quelle gloire ? direz-vous. Oui ! Mystère vertigineux... Le Dieu des cieux et de la terre s'abaisse jusqu'à nous, viens parmi les hommes, et en Jésus leur révèle ses caractères : amour et lumière, grâce et vérité, miséricorde et justice ; Jésus guérit leurs souffrances, porte le fardeau de leurs péchés sur la croix, les délivre de la mort, enfin donne la vie éternelle à tous ceux qui croient en lui.

    Aujourd'hui, vous et moi qui nous laissons interpeller par la parole de Dieu, avons la possibilité de contempler non seulement la majesté de notre Dieu, mais aussi la grandeur de sa grâce dont il veut nous faire hériter.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Samedi 23 Mars 2024

    Jésus leur répondit : En vérité, en vérité, je vous le dis, quiconque commet le péché est esclave du péché. Or, l'esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ; le fils y demeure pour toujours. Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres. Jean 8. 34-36 Version Nouvelle Segond Révisée

    Devoir de mémoire

    Les rues de nos villes portent parfois le nom de personnes connues pour leur engagement politique, militaire, scientifique, ou pour des actes de bravoure.

    Plusieurs villes de France ont voulu rendre hommage au colonel Beltrame qui, le 23 mars 2018, lors d'un attentat dans un supermarché, s'est offert en échange d'un otage. Il à perdu la vie quelques heures plus tard. Un journal local écrivait : "Ce gendarme est mort pour sauver une inconnue, parce qu'il était un homme de bien... Il est mort pour que nous puissions vivre aujourd'hui librement... Il est désormais de notre devoir d'honorer sa mémoire."

    Ce devoir de mémoire est légitime et il nous interpelle. Toutefois, pensons encore aujourd'hui à cet Homme, Jésus, qui a sacrifié sa vie pour les autres ! "Il s'est donné lui-même en rançon pour tous" (1 Timothée 2. 6). Lui seul, innocent, pouvait mourir à notre place pour que nous soyons aujourd'hui en liberté (Galates 5. 1).

    On dira peut-être : "Je ne suis pas concerné ! Je ne suis ni otage, ni privé de ma liberté !" Pourtant, de multiples chaînes, invisibles mais bien réelles, nous privent de la vraie liberté à laquelle nous aspirons au plus profond de notre être. Les principes qui gouvernent le monde actuel enchaînent l'homme. Les convoitises de notre coeur nous prennent en otage (Tite 3. 3). Nous sommes esclaves du péché (Romains 6. 17), du monde (Galates 4. 3) et du diable (Actes 10. 38). Admettons notre situation et recevons la liberté que Dieu nous offre, en croyant en Jésus-Christ, mort sur la croix de Golgotha, et ressuscité.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Vendredi 22 Mars 2024

    La Loi a été notre conducteur jusqu'à Christ, afin que nous soyons justifiés sur la base de la foi. Galates 3. 24

    Le sang de Jésus-Christ... nous purifie de tout péché. 1 Jean 1. 7

    Les dix commandements

    Bernard pensait que sa vie était conforme aux dix commandements de la Loi de Moïse. Il pensait être une personne respectable, était engagé dans l'église, allait régulièrement se confesser, et estimait que Dieu pouvait être satisfait de sa vie. Sa soeur lui a alors offert une Bible. Il a commencé à la lire. Arrivé au chapitre 20 de l'Exode, il est arrêté par le verset 15 : "Tu ne commettras pas de vol". N'y avait-il pas des choses qu'il s'était appropriée sans permission ? Peut-être... Ce n'était que des bricoles. Est-ce que c'était vraiment voler ? Puis il lit le verset 16 : "Tu ne diras pas de faux témoignages contre ton prochain". Devant la justice, il n'avait jamais fait de fausse déposition pour accabler quelqu'un. Mais dans son travail, n'avait-il pas souvent dénigré les autres pour se faire bien voir ?

    Il continue sa lecture : "Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni rien qui soit à ton prochain". N'avait-il jamais envié la belle voiture de son voisin, le talent musical de son camarade à la chapelle, le salaire de son collègue ?

    Bernard réalise qu'il a souvent désobéi à ces commandements ! Conscient que Dieu ne peut pas l'approuver, il est très mal à l'aise. Finalement il s'en ouvre à sa soeur qui lui parle de Jésus, mort sur une croix pour recevoir à notre place la punition méritée à cause de toutes nos désobéissances. Bernard accepte ce message de l'amour de Dieu, et reçoit avec bonheur le pardon de ses péchés.

    Source (La Bonne Semence)

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