• La vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. Jean 17. 3

    Le service religieux pur et sans tache devant Dieu le Père, le voici : visiter les orphelins et les veuves dans leur affliction, se conserver pur du monde. Jacques 1. 27

     

    “Le christianisme est une relation personnelle, ce n'est pas une religion”. Cette affirmation vous laisse peut-être perplexe, ou vous semble exagérée.

    De nombreuses personnes, il est vrai, considèrent le christianisme comme une religion, c'est-à­dire comme un “ensemble de croyances concernant Dieu et le monde qui nous entoure”. Alors pourquoi peut-on affirmer le contraire ?

    Parce qu'une religion se traduit le plus souvent par un ensemble de règles à suivre, de bonnes œuvres à accomplir pour être accepté par Dieu.

    Or la foi chrétienne est à l'opposé: elle s'appuie sur la certitude que Dieu a fait tout ce qui était nécessaire pour le salut des hommes. Elle croit que Dieu s'est approché lui-même de l'homme pour se faire connaître : il a donné “son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle” (Jean 3. 16). L'enseignement de la Bible est donc à l'opposé de cette notion de religion, où chacun cherche à assurer son salut par ses propres efforts. Pour être sauvé, il ne s'agit pas de faire, il faut croire.

    Bien sûr, cette vie spirituelle se manifeste ensuite dans l'activité du croyant. Il lit la Bible, il prie le Seigneur, il aime son prochain, il donne aux personnes démunies… : il a un modèle, Jésus Christ. En ce sens, le croyant a bien un “service religieux”, qui peut être “pur et sans tache devant Dieu”. Mais cette activité n'est pas l'origine d'une relation heureuse avec Dieu, elle en est la conséquence.

    Source (La Bonne Semence)

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  • C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu ; non pas sur la base des œuvres, afin que personne ne se glorifie. Éphésiens 2. 8, 9

     

    Joseph, un jeune homme, a été vendu comme esclave par ses frères jaloux de lui. Emmené en Égypte, emprisonné pour une faute qu'il n'a pas commise, il est finalement nommé à la tête du pays par le Pharaon, qui reconnaît en lui une sagesse et une intelligence données par Dieu (Genèse 41. 38, 39). Quelques années plus tard, ses frères affamés sont contraints d'aller chercher du blé en Égypte et ils ont affaire avec le gouverneur: Joseph lui-même! Ce sont alors des retrouvailles pleines d'émotion, de crainte et de pardon… Le Pharaon accueille favorablement ces hommes dont le passé est pourtant si lourd ; puis il leur attribuera les meilleures terres du pays.

    Pourquoi cet accueil si bienveillant ? Il ne vient pas de leurs mérites personnels, mais du fait qu'ils sont les frères de Joseph, l'homme dont le Pharaon est entièrement satisfait.

    Ce récit illustre une réalité actuelle pour nous, chrétiens : le Seigneur “n'a pas honte de nous appeler frères” (Hébreux 2. 11), nous sommes acceptés dans la présence de Dieu en raison de la satisfaction qu'il a trouvée dans son Fils bien-aimé. Ce n'est pas en raison de nos mérites, ou de quelque bonne œuvre ; c'est parce que Jésus est mort pour nos péchés.

    Les frères de Joseph ont dû reconnaître leur culpabilité pour être pardonnés et accueillis. Confesser nos péchés devant Dieu, c'est tout ce que nous avons à faire pour être acceptés par lui. Nous sommes ainsi réconciliés avec Dieu. Alors, les meilleures bénédictions spirituelles sont pour nous, comme tout ce qu'il y avait de meilleur en Égypte était pour la famille de Joseph.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Il sortit, portant sa croix, et alla au lieu dit le Crâne, appelé en hébreu Golgotha, où ils le crucifièrent, et avec lui deux autres, un de chaque côté, et Jésus au milieu. Jean 19. 17, 18

     

    Que se passe-t­il à Golgotha ? Jésus, lui qui a été déclaré innocent par son juge, est crucifié entre deux malfaiteurs. Ceux-ci sont condamnés à mort à cause de leurs crimes. Ils montrent leurs tristes dispositions en insultant leur compagnon de supplice. Ils représentent toute l'humanité, dans laquelle “il n'y a pas de différence, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu” (Romains 3. 23).

    Pourtant l'un d'entre eux est touché dans sa conscience et s'adresse à Jésus. Aux portes mêmes de la mort, il prend conscience que sa seule ressource est en celui qui est crucifié à côté de lui. Il dit à Jésus : “Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume” (Luc 23. 42).

    Comment aurions-nous réagi à la requête de quelqu'un qui nous insultait l'instant d'avant ? Mais les insultes n'ont pas altéré l'amour de Jésus pour ce malheureux; aussi répond-il à la demande du malfaiteur : “En vérité, je te dis : Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis” (Luc 23. 43).

    Ces deux brigands crucifiés de part et d'autre de Jésus mettent bien en évidence la situation des hommes par rapport au Christ. Les uns, rebelles et blasphémateurs, restent sous le poids de leurs péchés et devront en rendre compte au jour du jugement. Les autres reconnaissent leurs propres fautes et sont sensibles à l'amour de Jésus qui se donne en sacrifice sur la croix pour expier leurs péchés. Ils reçoivent alors son pardon et la certitude d'être avec lui dans le paradis.

    Source (La Bonne Semence)

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  • Il vous faut être nés de nouveau. Jean 3. 7

    Repentez-vous et croyez à l'évangile. Marc 1. 15

     

    “Il vous faut être nés de nouveau”. Ces paroles prononcées par Jésus Christ désignent une étape indispensable pour avoir une relation avec Dieu. On naît de nouveau par l'action de la Parole de Dieu et du Saint Esprit au plus profond de soi-même. Reçue avec foi, la Parole éclaire l'âme, l'Esprit la rend vivante et communique la vie de Christ. Quel que soit notre passé, que nous ayons vécu sans histoire, ou dans la débauche, ou même dans la dévotion religieuse, il nous faut tous passer par la nouvelle naissance pour échapper au jugement que nous méritons. La lumière divine entre dans l'âme consciente de l'amour de Dieu, et nous amène à nous repentir et à croire. L'évangile raconte l'histoire du fils rebelle qui a quitté la maison paternelle. Conscient de son état lamentable, il se dit : “Je péris ici de faim! Je me lèverai, je m'en irai vers mon père et je lui dirai: Père, j'ai péché… ; je ne suis plus digne d'être appelé ton fils” (Luc 15. 17-19).

    La conversion accompagne le repentir. Dans le langage du ski, un skieur fait une “conversion” quand, lancé dans une direction, il stoppe presque sur place et repart dans la direction opposée. Depuis ma naissance j'étais tourné naturellement vers le péché. Une fois né de nouveau, de la vie de Christ, je me tourne vers Dieu, ce qui change radicalement ma façon de vivre.

    Ne croyons pas pouvoir obtenir cette nouvelle naissance par nos propres efforts. Dans la langue originale, le mot traduit par “de nouveau” signifie aussi “d'en haut”. C'est Dieu, et lui seul, qui peut accomplir ce miracle. Et il veut le faire pour tous.

    Source (La Bonne Semence)

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  • J'ai été fait dans le secret, façonné comme une broderie. Psaume 139. 15

    Le Fils de Dieu… m'a aimé et… s'est livré lui-même pour moi. Galates 2. 20

     

    Ma naissance n'est pas une erreur ou un contretemps, et ma vie n'est pas un coup de chance. Que mes parents m'aient désiré ou pas, Dieu m'a formé. Bien avant d'être conçu, j'étais déjà dans sa pensée. Le fait que je respire en ce moment même n'est ni une fatalité, ni un hasard, ni une coïncidence. Dieu a voulu me créer. Il avait prévu tout mon être en prenant soin du plus petit détail et de chacune de mes caractéristiques. Il a permis ma naissance. Il connaît la durée de ma vie.

    “Il a fait d'un seul sang tous les peuples de l'humanité pour habiter sur toute la face de la terre” (Actes 17. 26). Et Dieu a arrangé l'environnement de cette planète pour que nous puissions y vivre. Sa Parole déclare : “J'ai fait la terre, et j'ai créé l'homme sur elle” (Ésaïe 45. 12). Pour lui, dans toute sa création, c'est l'homme qui a la plus grande importance.

    Dieu avait un plan en créant chacun de nous. Le motif pour lequel il nous a créés, c'est son amour. Et “Dieu met en évidence son amour à lui envers nous en ceci : lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous” (Romains 5. 8). Je sais ainsi que Dieu m'aime, malgré mes défauts, mes fautes et mes péchés. Il les pardonne par l'œuvre de Jésus à la croix, si je les reconnais devant lui. Personne n'est exclu, car Dieu veut que tous les hommes soient sauvés (1 Timothée 2. 4).

    Et son but – le savez-vous ? – c'est de faire de nous ses enfants, aimés par lui, et heureux avec lui.

    Source (La Bonne Semence)

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