• Je devais à nouveau acheter une voiture pour EnseigneMoi. J’avais vendu le même modèle de voiture avec beaucoup de kilomètres, et celle-ci en avait 3 fois moins, pour presque le même prix. En parlant avec le couple de vendeurs, la femme me dit que son père était un fervent chrétien. Elle me parlait de tout ce qui n’allait pas sur la terre, de la pollution, me disant que la fin du monde arrivait. Mais, elle n’était pas sauvée, et cela se voyait. Je lui fis comprendre cette réalité, elle avait besoin de se livrer entièrement à Jésus ! Beaucoup de gens pensent être sauvés, mais ils tremblent et il faut leur annoncer clairement que s’ils n’ont pas l’assurance du salut, ils sont perdus !

    J’achetai une voiture à titre personnel, et en négociant avec la personne par mail, je lui dis que j’étais déjà allé dans sa région pour prêcher, étant pasteur, ce à quoi elle me répondit qu’elle aussi était chrétienne. En fait, elle ne l’était apparemment que de nom. Je l’encourageai à s’approcher de Dieu et à trouver une église locale. J’achetai finalement sa voiture et priai pour elle, lui offrant l’un de mes livres.

    Lors d’une autre occasion, entrant dans le bureau d’un garage automobile pour faire les papiers de vente, j’eus sur le coeur une partie d’un verset en voyant une femme assise derrière son bureau : « Pour donner aux habitants de Sion, en deuil une belle parure au lieu de la cendre, une huile de joie au lieu du deuil, un costume de louange au lieu d'un esprit abattu » (Ésaïe 61:3). Je lui parlai du Seigneur, oubliant complètement la voiture. Patricia était intéressée par les livres ésotériques, mais, ce jour-là, le Seigneur se révéla à elle par sa Parole. Dieu est si bon.

    Lorsque je parle du Seigneur, j’oublie complètement tout le reste. Il m’est même arrivé une fois de parler du Seigneur lors d’un achat, de payer la personne et de partir sans le bien acheté ! Je suis certain qu’il vous arrive aussi d’acheter des choses, alors, la prochaine fois, regardez si Dieu n’est pas derrière ce rendez-vous et qu’il vous a précédé !

    Jérémy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Elle était dans le monde et le monde a été faite par elle, pourtant le monde ne l'a pas reconnue. Elle est venue chez les siens, mais les siens ne n'ont pas accueillie. Mais à tous ceux qui acceptée, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le droit de devenir enfants de Dieu. Jean 1. 10-12

     

    La "Déclaration des droits de l'homme" est un document capital dans l'histoire de la France et du monde. Les grandes notions de liberté, de respect des opinions différentes, d'égalité devant la loi, qui nous semblent aujourd'hui évidentes, étaient loin de l'être il y a plus de deux siècles.

    Son introduction affirme que "l'ignorance, l'oubli, ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics". Nous posons la question : est-ce qu'on oublie pas davantage encore les droits de Dieu ? Cette ignorance et ce mépris ne sont-ils pas justement la cause première des malheurs de l'humanité ?

    Oui, Dieu a des droits, ils sont souvent bafoués. Ce sont les droits de Celui qui a créé l'homme. Dieu a établi aussi des lois morales qu'il a fait écrire dans la Bible. Elles ont pour but de lier le bonheur de la créature à l'honneur dû au Créateur. Beaucoup de personnes ne voient dans ces lois que des atteintes à leur liberté. Pour n'en citer que quelques-unes, celles qui concernent le mariage et la famille sont contournés aujourd'hui de tant de manières ! Mais Dieu a aussi des droits liés à son amour. Pour sauver les hommes asservis au pouvoir du diable, il n'a pas épargné son propre Fils, il l'a livré pour nous tous (Romains 8. 32). Est-ce qu'un don pareil ne donne pas à Dieu des droits sur ceux qu'il a aimé, c'est-à-dire sur vous et sur moi ?

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Je vous ai accordé toute mon attention, et je constate qu'aucun de vous ne l'a convaincu, pas un de vous n'a répondu à ses propos. Ne dites pas cependant : Nous avons trouvé la sagesse : c'est Dieu qui peut le confondre, et non un homme !” Job 32. 12, 13

    “Si quelqu'un parle, qu'il annonce les paroles révélées de Dieu ; si quelqu'un accomplit un service, qu'il le fasse avec la force que Dieu communique, afin qu'en tout Dieu reçoive la gloire qui lui est due à travers Jésus-Christ. C'est à lui qu'appartiennent la gloire et la puissance, aux siècles des siècles. Amen !” 1 Pierre 4. 11

     

    Aux chapitres 23 et 24 de son livre, Josué est à la fin de son service. Il a un dernier message à communiquer : le peuple doit ôter les idoles qui sont au milieu de lui, sinon il ne pourra ni achever la conquête de Canaan ni s’y maintenir.

    Malgré son plaidoyer répété, Josué n’est pas écouté et il ne peut que laisser le peuple devant sa responsabilité (Jos. 24. 27). Pour autant, il engage sa propre responsabilité : “Quand à moi et ma famille, nous servirons l’Éternel” (Jos. 24. 15).

    Israël se laissera malheureusement aller à l’idolâtrie ensuite ; et il subira les jugements de l’Éternel (livre des Juges) dont il avait été pourtant averti par Josué.

    Samuel était prophète de l’Éternel depuis sa jeunesse. Quand il devient âgé, le peuple veut le remplacer par un roi. Samuel n’approuve pas ce désir qui exprime en fait le rejet de l’autorité de Dieu. Il va cependant communiquer fidèlement la parole de Dieu à ce sujet : au peuple d’abord (1 Sam. 7. 10), puis à Saül lui-même (1 Sam. 9. 27).

    Le peuple et Saül n’écouteront pas la Parole de Dieu. Cependant Samuel n’interrompra pas son service de juge, il sera l’instrument de Dieu dans l’introduction du roi Saül dont Dieu dira plus tard : “Je t'ai donné un roi dans ma colère, je le reprendrai dans ma fureur” (Osée 13. 11). Quand Saül sera rejeté par l’Éternel, Samuel oindra David, un roi selon le cœur de Dieu. Il poursuivra ensuite son service de prophète dans son ministère d’intercession (1 Sam. 12. 23).

    L’échec des trois premiers amis de Job pour l’aider dans ses souffrances convainc Elihu (dont le nom signifie « Dieu parle ») que Dieu seul peut répondre à Job dans sa détresse. Mais il ne lui cache pas les paroles de Dieu qu’il a reçues pour lui. Dieu prendra sa suite et Job trouvera le repos en lui.

    La Parole de Dieu, annoncée à bon escient, ne trouve pas toujours un écho chez ceux qui l’entendent. Celui qui la communique n’est pas pour autant privé du privilège de vivre par elle et de glorifier Dieu ainsi.

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Or il y avait là une femme habitée par un esprit qui la rendait infirme depuis 18 ans ; elle était courbée et ne pouvait pas du tout se redresser. Lorsqu'il la vit, Jésus lui adressa la parole et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité. Il posa les mains sur elle ; immédiatement, elle se redressa et se mit à célébrer la gloire de Dieu." Luc 13.11-13

     

    Avez-vous déjà essayé de compter tous les miracles relatés dans la Bible ? Les quatre évangiles en racontent à eux seuls plus de trente différents. Jésus-Christ intervenait de manière particulière pour mettre fin à des situations chaotiques là où humainement, il n’y avait plus rien à faire.

    Cela est bien le cas pour cette pauvre femme de notre introduction, qui vit dans la souffrance depuis dix-huit longues années, pliée en deux, incapable de se redresser. Nul doute que cette infirmité l'avait profondément usée et fragilisée sur le plan psychologique. Mais Jésus croise son chemin et s’arrête. Il ne faut rien de moins qu'un miracle pour relever cette femme et il va l’accomplir. En un instant, il la remet debout, et une nouvelle vie commence pour elle. Toute heureuse, elle se met à célébrer la gloire de Dieu !

    David a écrit : "Éternel, mon Dieu, tu as multiplié tes merveilles et tes plans en notre faveur. Personne n'est comparable à toi. Je voudrais les raconter et les proclamer, mais leur nombre est trop grand pour en faire le compte." (Psaume 40.6)

    Croyez-vous aux miracles ? Êtes-vous dans une situation qui vous semble irréversible ? Un homme qui est né sans bras ni jambes a dit : "Je garde toujours une paire de souliers dans mon placard, car je crois au miracle !" 

    Un miracle ne s’explique pas, il se vit et seul Dieu sait quand et comment le déclencher. La bonne nouvelle du jour, c’est que Dieu ne fait pas de favoritisme. (Romains 2.11) Alors, je crois qu’il n’est pas insensible à votre besoin et qu’il vous réserve un miracle particulier ! Aussi, ne désespérez pas ! Gardez dans le coin de votre cœur une dimension de foi pour le miraculeux !  

    Une proclamation pour aujourd'hui

    Père, merci pour le miracle que tu vas accomplir dans ma vie !  Amen.

    Yannis Gautier

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Je devais acheter une voiture et cela ne me passionnait vraiment pas. En fait, je n’aime pas trop faire des achats. Je priais dans la voiture en direction de Montréal, demandant au Seigneur de me donner une occasion d’annoncer sa Parole. En arrivant au garage, un jeune homme de mon âge m’accueillit et me présenta quelques voitures. L’une d’elles, se trouvant au beau milieu du garage vitré, paraissait intéressante, et nous nous sommes installés à l’avant, fermant les portes sur nous pendant près de 30 minutes. Cet homme avait des questions, il avait soif. Je lui exposais mon témoignage de conversion, et la façon dont Dieu était si réel, si bon, si merveilleux. La présence de Dieu était si forte dans cette voiture. Nous avons gardé contact et il m’appelait régulièrement, commençant à lire la Bible et me posant des questions sur ce qu’il lisait. Il avait déjà eu l’occasion d’entendre parler de Jésus.

    Un jour, un couple de personnes âgées qui cherchait une voiture lui firent parvenir une lettre d’encouragement à accepter Jésus. Il fit une prière pour recevoir Jésus, mais sans naître de nouveau. Il vint à l’église avec son amie et ses enfants, alors que je prêchais sur un thème dont ils avaient vraiment besoin. Pendant près de 3 ans, je n’avais pas vraiment de nouvelles, lui envoyant des messages à l’occasion. Un jour, il me contacta, en crise. Son amie fut glorieusement sauvée, et rejoint une église, et les deux furent baptisés. Et tout cela commença dans un garage, trois ans plus tôt… Cet homme fut baptisé mais ne démontra pas de signe réel d’une nouvelle naissance. Son amie le quitta. Il y a encore quelques jours, je lui parlai du Seigneur, l’encourageant une nouvelle fois à démontrer les signes d’une vraie repentance (un jour après la rédaction de cette pensée, j’appris que ce couple âgé lui firent parvenir une nouvelle lettre. Oh la puissance du Saint-Esprit par la prière !).

    Certaines personnes passent pour être vivantes, mais elles sont mortes. Elles pensent être sauvées parce qu’elles prient ou qu’elles ont été baptisées. Rien de cela ne sauve. « Et voici quel est ce jugement : la lumière est venu dans le monde et les hommes ont préférés les ténèbres à la lumière parce que leur manière d'agir était mauvaise » (Jean 3:19).

    Jérémy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire