• "Ma parole n'est-elle pas comme un feu, dit l'Éternel, et comme un marteau qui brise le roc ?” Jérémie 23.29

     

    Il y a quelques mois en arrière, en faisant du sport, je ressentis soudain une forte douleur dans le muscle de mon avant-bras. Je pensai alors à une déchirure musculaire classique. Pourtant, après deux mois d’arrêt, la douleur était toujours intense. Un médecin diagnostiqua une épicondylite, et me prescrivit des séances de kinésithérapie car mes fibres musculaires étaient abîmées.

    "Même si vous avez mal, sa Parole est un marteau agissant comme une onde de choc : elle vient briser les mauvaises croyances."

    Le kiné m’expliqua qu’il allait me soigner par une thérapie d’ondes de chocs. On utilise un générateur d’ondes acoustiques en forme de pistolet qui envoie des impulsions répétées comme le ferait un marteau piqueur, dans le but de détruire les calcifications et les tissus fibreux, de favoriser la cicatrisation et permettre au muscle de se régénérer. L’idée est simple : tant que les anciennes fibres abîmées n’ont pas été détruites, les nouvelles ne peuvent émerger.

    Je me dis alors qu’il en était de même pour nos pensées : tant que nous entretenons des croyances douloureuses, abîmées, défectueuses, nous sommes bloqués et nous avons mal. Nous sommes totalement incapables d’avoir l’amplitude nécessaire pour fonctionner.

    Peut-être entretenez-vous ce type de pensées. Vous dîtes : "C’est fini, le Seigneur ne peut rien faire pour moi… ma situation ne changera jamais… Dieu peut agir pour les autres mais pas pour moi…" Vous dîtes: "ce n’est pas grave, ça toujours été ainsi, je vais faire avec… Je ne crois pas vraiment que l’Éternel désire agir en ma faveur…" etc.

    Croyez qu’il n’y a pas de situation désespérée, mais seulement des gens désespérés. Même si vous avez mal, sa Parole est un marteau agissant comme une onde de choc : elle vient briser les mauvaises croyances.

    Oui, avec Dieu tout est possible. Il est le Dieu des miracles, c’est pourquoi nous croyons en Lui. Même quand nous sommes entourés d’impossibilités, Il est capable de tout changer. La seule chose immuable, c’est son amour.

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, viens briser en moi toutes les fausses croyances qui m’empêchent d’avancer et me qui me font souffrir. Oui, je crois que tu es le Dieu des miracles.

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

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  • En sortant d’une réunion d’église un soir, je passais dans le couloir de l’université et j’y trouvais quelques jeunes en train d’étudier. Ils étudiaient les sciences en vue d’un prochain examen. J’avais avec moi un évangile et je leur demandais s’ils l’avaient déjà lu. Un jeune homme était très ouvert, mais une autre fille paraissait vraiment fermée et un peu virulente. Je leur parlais un peu et leur proposais un évangile qu’ils refusèrent. De façon calme, je leur dis que les théories des scientifiques restaient des théories, mais que c’est Dieu qui possédait toute la science. Oui, la science est une bonne chose, lorsqu’elle est abordée avec intelligence divine.

    J’ai plusieurs fois fait face dans l’annonce de l’Évangile à des gens qui aimaient les sciences. Pour eux, la science était vérité absolue et la Bible était un tissu d’inventions humaines, alors ils essayaient de débattre avec moi en me montrant que j’étais dans l’erreur. Au début, il est clair que j’en ressortais parfois fâché, mais j’ai appris avec le temps à ne pas débattre en ce qui concerne la science. Il faut agir dans l’amour, cet amour qui perce et fait fondre les cœurs les plus durs.

    Ray Comfort est un évangéliste dont le ministère s’appelle « Living Waters Publications ». Il travaille avec Kirk Cameron, qui fut un acteur connu mondialement pour la série : « Quoi de neuf docteur ? » dans laquelle il jouait.

    Leur ministère, très intéressant et encourageant à observer, a pour grande mission l’évangélisation par des débats dans les rues et en réunion avec des gens qui s’intéressent de près ou de loin au darwinisme, aux sciences et à la philosophie. C’est la façon dont Dieu les utilise, et j’aimerais beaucoup connaître autant de choses qu’eux ! Cependant (et ils l’ont compris), même si nos arguments peuvent être excellents, posséder la science de tous les mystères n’amènera personne au Seigneur si nous ne nous laissons pas remplir de l’amour de Dieu pour ces gens.

    Jérémy Sourdril

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  • L’insensé dit en son cœur : Il n’y a point de Dieu ! Psaume 14.1

     

    Qu’est-ce qui peut bien amener un homme à nier l’existence de son Créateur ? Des expériences douloureuses dans sa vie ? Des déceptions en voyant vivre ceux qui se disent chrétiens ? Parfois, c’est le refus d’accepter que Dieu soit le Seigneur de sa vie qui se passe de toute autre réflexion.

    Une encyclopédie de l’athéisme affirme :

    « L’athée est insensible, imperméable au concept de Dieu. L’idée de Dieu glisse sur lui comme une goutte d’eau sur une paroi de verre. Il est réfractaire à toutes les histoires de paradis, de Dieu amour ou vengeur, que l’on voudrait lui faire croire. »

    Cet athéisme fermé était celui du poète Jacques Prévert qui se disait « Absolument, Totalement, Hermétiquement, Étonnamment, Entièrement athée. » Pourtant, dans « Pater Noster », il narguait ainsi ce Dieu censé ne pas exister : « Notre Père qui êtes aux Cieux, restez-y ! Et nous, nous resterons sur la Terre… »

    Mais le poète n’est plus de ce monde et nous le quitterons aussi. Et après ? Serons-nous prêts à faire face à ce Dieu saint qui n’a nullement besoin de notre foi pour exister et régner (Amos 4.12) ? Cherchons-le donc honnêtement pendant qu’il se trouve ! (Ésaïe 55.6) Préférons le connaître comme notre Sauveur ici-bas plutôt que comme notre Juge dans l’au-delà ! D’autant plus que c’est lui qui nous cherche, dans une attente patiente et passionnée. (Ésaïe 30.18)

    Claude Schneider

    __________________

    Lecture proposée : Psaume 100.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Si vous vous livrez vous-mêmes à quelqu'un pour lui obéir comme des esclaves, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez. Romains 6. 16

    Si donc le Fils [de Dieu] vous affranchit, vous serez réellement libres. Jean 8. 36

     

    Ma profession m'obligeait à être souvent en déplacement. Mes absences pesaient à ma famille. Un jour, à mon retour, ma fillette eut l'idée de me ligoter, afin que je ne puisse plus m'en aller. S'emparant d'une bobine de fil, elle se mit à la dévider en tournant autour de moi. Après quelques tours, elle s'arrêta triomphante : "Papa, essaie si tu peux te délivrer !" J'aurais pu casser les quelques fils avec la plus grande facilité, mais je ne voulais pas gâter le plaisir de l'enfant. Elle sautilla à nouveau autour de moi, la bobine à la main. "Peux-tu t'évader ?" Je fis mine d'essayer en vain, ce qui la ravit. Et elle continua de m'emprisonner, tout heureuse. Enfin, je voulus briser mes liens, mais c'était trop tard. Ce qui aurait été un jeu d'enfant au début m'était devenu impossible, le nombre de fils qui m'entouraient à présent étant trop grand. "Te voilà prisonnier !" jubilait la petite en battant des mains. Je dus bon gré, mal gré, appeler ma femme à la rescousse.

    Cette anecdote rappelle la technique de l'araignée qui, pour neutraliser sa proie, l'entortille dans un fil très fin mais très résistant, et assez long pour la paralyser complètement.

    La diable utilise aussi cette technique, amenant peu à peu sa proie  prendre des habitudes dont elle ne peut plus se débarrasser et  tomber dans des addictions fatales. Mais il n'est jamais trop tard pour crier à Dieu et obtenir la libération. "Invoque-moi au jour de la détresse : je te délivrerai" (Psaume 50. 15).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Voici, mes serviteurs chanteront de joie à cause du bonheur de leur cœur.” Ésaïe 65. 14

     

    Quand un croyant est rempli de joie, son cœur déborde. Il est comme un récipient plein, sous l’écoulement ininterrompu d’une fontaine.

    Son premier élan est de partager son bonheur avec d’autres personnes, à l’exemple de Dieu qui partage sa joie quand il sauve un homme perdu. Les trois paraboles successives de Luc 15 en apportent des images saisissantes :

    – Quand le berger trouve sa brebis perdue, “il la met sur ses épaules, tout joyeux ; puis, de retour à la maison, il assemble les amis et les voisins et leur dit : Réjouissez- vous avec moi, car j’ai trouvé ma brebis, celle qui était perdue” (Luc 15. 5, 6).

    – Dans la deuxième parabole, une femme retrouve une petite pièce de monnaie perdue dans sa maison. Pour quelque chose qui paraît peu important, elle “assemble les amies et les voisines et leur dit : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé la drachme que j’avais perdue” (v. 9).

    – Dans la troisième parabole, lorsque le fils prodigue revient à la maison après avoir gaspillé son héritage, son père organise un festin. Il veut se réjouir avec toute sa famille, parce que son fils perdu est maintenant retrouvé (v. 32).

    La joie est le fruit de la lumière de Dieu : “Bienheureux le peuple qui connaît le cri de joie ! Ils marchent, ô Éternel ! à la lumière de ta face” (Ps. 89. 15). Et voici deux effets de la joie :

    – La joie communique la joie chez d’autres croyants : Paul et Timothée se sont “abondamment réjouis de la joie de Tite” à son retour de Corinthe (2 Cor. 7. 13).

    – La joie nous pousse à la reconnaissance envers Dieu, l’auteur de notre salut et la source de toute joie : “Venez, chantons à haute voix à l’Éternel : poussons des cris de joie vers le rocher de notre salut !” (Ps. 95. 1).

    – La joie dont le Dieu d’espérance nous remplit nous fait abonder en espérance par la puissance de l’Esprit Saint (Rom. 15. 13). Abonder en espérance, c'est avoir les yeux tournés vers la réalisation future des plans de Dieu dans la pleine assurance qu'il accomplira tout ce qu'il s'est proposé.

    La joie n’est pas muette. Partageons nos joies, grandes ou petites.

    Source (Plaire au Seigneur)

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