• "Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivante qu’il a inaugurée pour nous au travers du voile, c’est-à-dire, de sa chair.. Approchons-nous avec un cœur sincère, dans la plénitude de la foi, les cœurs purifiés d’une mauvaise conscience... Car celui qui a fait la promesse est fidèle." Hébreux 10, 19-23

     

    Le peuple d'Israël, en route vers le pays promis, est appelé à construire un tabernacle, ou "habitation". C’était le lieu de la rencontre entre Dieu et les lévites. Ce lieu était divisé en trois zones.

    "Avant de pouvoir aller plus loin dans la connaissance de Dieu, il faut passer par la croix."

    Le parvis – Ce passage obligé était caractérisé par la présence incontournable de l'autel d'airain. C’est le symbole de la croix. Avant de pouvoir aller plus loin dans la connaissance de Dieu, il faut passer par la croix. La croix est incontournable. C'est là que nous sommes pardonnés, purifiés, sanctifiés. Le péché nous écarte de Dieu. Nous ne pouvons progresser dans la connaissance de Dieu, si la croix n'est pas au centre de nos vies.

    Le Lieu Saint - Dans ce lieu était allumé le chandelier à sept branches et il y avait la table des pains de proposition. Ces deux éléments nous rappellent la Parole de Dieu qui, à la fois, éclaire notre sentier et nourrit notre âme. "Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier." Psaumes 119.105

    "Et nous tenons pour d’autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu’à ce que le jour vienne à paraître et que l’étoile du matin se lève dans vos cœurs." 2 Pierre 1.19 L'autorité des Ecritures sur nos vies est indispensable pour que nous puissions progresser dans la connaissance de Dieu.

    Dans ce lieu se trouvait également l'autel des parfums. Cet élément symbolise la prière, la louange et l'adoration : "Celui qui offre pour sacrifice des actions de grâces me glorifie" (Psaume 50.23) ; celui qui est passé par la croix.

    Le Lieu Très Saint – Là se trouvait l'arche de l'alliance. Un voile épais séparait ce lieu Très Saint du lieu Saint. Seul, le souverain sacrificateur pouvait accéder une fois l’an dans ce lieu. C’est ce voile qui fut déchiré au moment de la mort de Jésus. Par son sacrifice, il n’y a plus de séparation entre Dieu et les hommes. Nous avons un libre accès auprès de Dieu. Au travers de quelques méditations, allons ensemble au-delà du voile.

    Une action pour aujourd’hui

    Après être passé par la repentance, marchez dans l’obéissance à sa Parole, et accédez à cette intimité avec Dieu à laquelle chacun est convié.

    Paul Calzada

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • L’apôtre Paul dira : « Car ce n’est pas pour baptiser que le Christ m’a envoyé, c’est pour proclamer la Bonne Nouvelle. Et cela, sans recourir aux arguments de la sagesse humaine, afin de ne pas vider de son sens la mort du Christ sur la croix » (1 Corinthiens 1:17). Il dira à ce sujet à Timothée : « Évite les discours creux et les arguments de ce que l’on appelle à tort la connaissance » (1 Timothée 6:20). Vous pouvez facilement vous perdre dans une évangélisation remplie d’arguments, qui n’apportera rien. J’ai longtemps vécu cela.

    Tout comme Ray Comfort, Paul savait réfuter les arguments : « car il réfutait avec vigueur, en public, les arguments des Juifs, et démontrait par les Écritures que Jésus est le Messie » (Actes 18:28). Pouvoir réfuter et démontrer est excellent, mais là encore, cela doit être fondé et inspiré par l’amour. Si nous ne savons pas nous maîtriser, nous transformerons la bonne nouvelle en dispute de mots. « C’est cela qu’il te faut rappeler sans cesse. Recommande solennellement devant Dieu d’éviter les disputes de mots : elles ne servent à rien si ce n’est à la ruine de ceux qui les écoutent » (2 Timothée 2:14). Je vis un jour un jeune qui voulut débattre concernant les sciences. J’avais mûri et je décidai de marcher dans l’amour en me laissant inspirer. Il accepta le Seigneur, fut sauvé, et rejoignit notre église.

    Certaines personnes prendront un malin plaisir à vous voir être fâché et à vous faire perdre votre calme, confirmant ainsi que vous n’êtes pas différent des gens de ce monde. Nous ne devons jamais entrer dans une argumentation charnelle et intellectuelle, car Dieu n’agit pas ainsi. Si nous utilisons des arguments, ceux-ci naissent dans l’Esprit qui est rendu agissant par l’amour.

    « Lequel d’entre vous est sage et intelligent ? Qu’il montre ses oeuvres par une bonne conduite avec la douceur de la sagesse » (Jacques 3:13).

    Jérémy Sourdril

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : « Venez, vous qui êtes bénis par mon Père […]. » Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : « Éloignez-vous de moi, maudits… » Matthieu 25. 34, 41

     

    C’était le titre à la une d’un journal au lendemain d’élections primaires en France en 2016. Son auteur ne songeait guère au retour effectif de Jésus sur terre comme il l’a promis il y a 2000 ans.

    Pourtant un jour, nous nous trouverons tous réunis devant lui. Entouré de tous ses anges, Jésus s’assiéra sur son trône de gloire (Voir la lecture proposée). Nos regards ne pourront qu’être attirés vers lui, pour ne plus voir que lui. Et alors, il s’adressera à chacun de nous…

    Sera-ce en ces extraordinaires paroles : « Vous qui êtes bénis par mon Père… qui m’avez donné… » ? Ou bien par ce terrible : « Vous, maudits… qui ne m’avez pas donné… » ?

    Il n’y a pas de fatalité. Jésus a prévenu qu’il reviendrait ; il a encouragé à s’y préparer et à rester vigilant, sans se laisser aller à l’indifférence ou à la pensée qu’il serait toujours temps de s’en préoccuper “plus tard”.

    Comment faire ? Notre relation avec lui est essentielle, notre attitude à son égard déterminante. Il le souligne bien : vous qui m’avez donné, qui m’avez accueilli. Croyons-nous qu’il est le Fils de Dieu venu pour nous sauver ? Lui, le roi, a-t-il pris la première place dans notre vie pour être aimé et servi ?

    Albert Lentz

    __________________

    Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 25, versets 31 à 46.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Quel profit a l'homme de tout le labeur dont il se tourmente sous le soleil ? Ecclésiaste 1. 3

    Faites-vous des bourses qui ne vieillissent pas, un trésor inépuisable, dans les cieux. Luc 12. 33

     

    "Génération après génération, les jeunes commencent leur activités, pleins de force, d'enthousiasme et de détermination... puis, les uns après les autres tombent dans la même indifférence et les mêmes travers que ceux qui les ont précédés.

    Après quelques années de ma vie, j'ai remarqué que tout ce qui fait notre vie sur la terre n'est souvent qu'apparence, faux brillant, passager... Jeune, je m'imaginait que le but principal de la vie était d'atteindre un bon niveau social, puis j'ai vu comment certaines personnes, parvenues  leur idéal, ont été déçu par leur vie.

    Après avoir découvert combien les offres de ce monde étaient creuses, quelque chose d'autre, d'infiniment plus précieux, quelque chose d'éternel s'est imposé à mes pensées. Par la foi en Jésus Christ, j'ai trouvé plus que tout ce que mon coeur pouvait désirer. La chose au monde qui mérite le plus d'être recherchée, c'est d'apprendre à connaître Dieu et son amour, par Jésus Christ son Fils. Connaître Jésus le Sauveur n'est pas une théorie ou une philosophie, c'est la vie, la vie éternelle (Jean 17. 3). J'ai fait l'expérience que Christ est un roc, sur lequel ma foi peut se construire. J'ai découvert que le Saint Esprit n'est pas seulement une influence, mais une Personne véritable, vivante, active. Autrefois mon intérêt allait aux choses qui passent trop rapidement, maintenant les affections profondes sont ancrées en Celui qui a créé toutes choses et qui m'aime."

    (Témoignage anonyme d'un médecin)

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Jésus prit les pains ; puis, après avoir rendu grâces, il les distribua à ceux qui étaient assis ; de même aussi les poissons, autant qu’ils en voulaient.” Jean 6. 11

    “Il arriva que, comme il était à table avec eux, il prit le pain et il bénit ; puis il le rompit et le leur distribua.” Luc 24. 30

     

    Le Seigneur prend

    Il se fait tard. La nuit tombe. Comment renvoyer cette foule de 5 000 hommes sans compter les femmes et les enfants (estimés à 10 000), sans les nourrir ? André remarque un petit garçon qui a cinq pains d'orge, la céréale du pauvre, et deux poissons séchés, mais il constate, bien évidemment, que ce casse-croûte est insuffisant pour nourrir tant de monde ! Lorsque le Seigneur veut se servir de nous, ne prétextons jamais l’insuffisance de nos ressources ; il saura, lui, comment les utiliser. Jésus prend les cinq pains et les deux poissons : c’est ainsi qu'il prend parfois le peu qui nous reste, mais pour le multiplier en bénédictions à nous-mêmes et à d'autres.

    Le Seigneur bénit

    Le Seigneur ne regarde pas à cette bien petite provision de vivres, il regarde vers le ciel et rend grâces (Matt. 14. 19). Il y a toujours matière à rendre grâces à Dieu, quelque soit la quantité à disposition.

    Le Seigneur donne

    Jésus prend les pains et les distribue autant qu'ils en voulaient. Celui qui a tout fait à partir de rien peut, de presque rien, nourrir toute cette grande foule par les mains des disciples, comme le rapportent les autres évangiles.

    A Emmaüs

    Jésus ouvre les Écritures et le cœur de deux disciples en chemin vers Emmaüs. Il se fait tard. La nuit tombe. Jésus accepte leur invitation au souper : il prend le pain, il bénit, il le rompt et le leur distribue. Les gestes du Maître ! Leurs yeux sont ouverts. Plus de doute, c’est Jésus, il est ressuscité, il est vivant ! Après avoir nourri la foule, Jésus s’était retiré, “lui tout seul”, car il ne pouvait régner sur un peuple au cœur sans repentance qui voulait le faire roi. A Emmaüs, Jésus se retire, il devient invisible aux deux disciples. Il leur laisse le temps de retourner à Jérusalem et d’annoncer, le cœur encore brûlant, la grande nouvelle aux autres disciples avant de se tenir au milieu d’eux. Dans ces deux récits, chaque geste, chaque parole, chaque détail est une leçon pour nous.

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire