• "Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein." Romains 8.28

     

    Vous est-il déjà arrivé de vouloir abandonner, d'avoir envie de tout lâcher, de tout quitter parce que rien ne fonctionnait comme vous le souhaitiez ?

    "Cette œuvre, vous l’accomplirez ni par votre bravoure ni par la force, mais par mon Esprit."

    Depuis le jour où il avait pris la décision de suivre le Seigneur, l'apôtre Paul, qui est l'auteur de ce verset, n'avait cessé de connaître de multiples péripéties. D’ailleurs, Jésus-Christ avait dit à son sujet : "je lui montrerai tout ce qu'il doit souffrir pour mon nom" (Actes 9.16). 

    Engagé à 100 % pour annoncer l’Évangile, il s'est battu jusqu'à la fin, convaincu que rien ni personne n'était susceptible de l'arrêter dans sa course. "J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi" (2 Timothée 4.7). 

    Savez-vous que lorsque vous arpentez la route du succès, le diable essaiera de toutes ses forces de vous arrêter ! Il veut vous voir abandonner la course, le combat, et ainsi vous faire croire que vous êtes un perdant, quelqu'un qui n'y arrivera jamais !

    Aujourd’hui, vous êtes peut-être découragé, pensant que ce combat que vous menez est trop pénible pour vous ; et vous avez certainement raison ! 

    "Cette œuvre, vous l’accomplirez ni par votre bravoure ni par la force, mais par mon Esprit..." (Zacharie 4.6). 

    Savez-vous ce qu’engendrent les circonstances défavorables dans votre vie ? Eh bien, elles vous rapprochent de Dieu, et vous rendent plus dépendant de lui.

    Vous ne pouvez pas marcher sans lui. Vous ne pouvez pas triompher sans sa puissance ! Vous ne pouvez pas vous élever sans son approbation ! Il est le seul à pouvoir vous donner la force de reprendre votre route et d’atteindre ainsi les objectifs que vous vous êtes fixés !

    "Mais ceux qui se confient en l'Éternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles; ils courent, et ne se lassent point, ils marchent, et ne se fatiguent point" (Ésaïe 40.31).

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, je me confie en toi et te demande de renouveler mes forces afin que je puisse continuer d'avancer avec toi. Au nom de Jésus. Amen.

    Yannis Gautier

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Balak dit : “Maudis-moi ce peuple.” Dieu dit : “Tu ne maudiras pas le peuple, car il est béni.” Nombres 22. 6, 12

     

    Après l’épisode des serpents brûlants (Nom. 21), le peuple d’Israël a reconnu qu’il avait péché en parlant contre Dieu et contre Moïse. Après avoir confessé le péché devant Dieu, le peuple chante et remporte de grandes victoires sur Sihon, roi des Amoréens, et sur Og, roi de Basan (Nom. 21). Balak, roi de Moab, est terrifié à l’idée de subir le même sort. Comme il ne se sent pas la force de vaincre Israël, il imagine un stratagème : il embauche Balaam, un devin de grande renommée, pour maudire Israël. Mais Dieu oblige Balaam à bénir le peuple à quatre reprises !

    – 1. “Voici, c’est un peuple qui habitera seul (à part, séparé), et il ne sera pas compté parmi les nations” (Nom. 23. 9). Dieu est souverain dans ses choix. Il s’est réservé Israël pour lui-même, pour lui faire du bien. Il en est ainsi pour le peuple de Dieu actuel, l’Église formée de tous les véritables chrétiens. Elle est séparée du monde et continuellement sous la protection divine : “Celui qui est né de Dieu… le Méchant ne le touche pas” (1 Jean 5. 18).

    – 2. “Il n’a pas aperçu d’iniquité en Jacob, ni n’a vu d’injustice en Israël ; l’Éternel, son Dieu, est avec lui, et un chant de triomphe royal est au milieu de lui” (Nom. 23. 21). Dieu ne voit plus les injustices d’un peuple justifié, sanctifié par sa présence. Les enfants de Dieu, aujourd’hui, sont “plus que vainqueurs par celui qui [les] a aimés” (Rom. 8. 37). À la croix, le Seigneur Jésus a été “fait péché” pour eux, c’est pourquoi il n’y a plus de condamnation possible pour ceux qui sont dans le Christ Jésus (Rom. 8. 1).

    – 3. “Que tes tentes sont belles, ô Jacob ! et tes demeures, ô Israël ! Comme des vallées elles s’étendent, comme des jardins auprès d’un fleuve” (Nom. 24. 5, 6). Dieu regarde son peuple avec plaisir et le voit déjà en pleine prospérité. Dieu “nous a comblés dans le Bien-aimé” (Eph. 1. 6). Dieu voit l’Église en son Fils, unie à lui, comme il considère son Bien-aimé lui-même !

    – 4. “Une étoile surgira de Jacob, et un sceptre s’élèvera d’Israël… et détruira tous les fils de tumulte” (Nom. 24. 17). Le Seigneur annonce le Messie et promet un avenir victorieux et glorieux à Israël. De même, l’Église est assurée de la protection divine et attend le retour du Seigneur.

    Réjouissons-nous du merveilleux regard du “Dieu de toute grâce, qui [nous] a appelés à sa gloire éternelle dans le Christ Jésus” (1 Pi. 5. 10).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Il le mena dehors et lui dit : Contemple donc le ciel et compte les étoiles, si tu peux les compter. Il ajouta : Telle sera ta descendance" Genèse 15.5

     

    Que se passe-t-il une fois que Dieu vous a fait une promesse ? L’accomplit-il toujours immédiatement ? Si vous êtes comme moi, il vous est probablement arrivé de devoir patienter. Ce temps d’attente est ce que j’appelle l’"entre-deux".

    Veillons à ne pas nous lasser pendant l’attente.

    La promesse de Dieu à Abraham a mis vingt ans à s’accomplir. Arrivant à un âge avancé, Abraham demanda à Dieu de leur donner un héritier, car Sara et lui ne pouvaient pas avoir d’enfants. "Il [Dieu] le mena dehors et lui dit : Contemple donc le ciel et compte les étoiles, si tu peux les compter. Il ajouta : Telle sera ta descendance" Genèse 15.5.

    La Bible nous dit qu’Abraham eut confiance en l’Éternel. Il crut de tout son cœur à cette promesse. Pour bien comprendre ce que son attitude avait de remarquable, il faut connaître le contexte. À l’époque de la promesse, Abraham avait quatre-vingts ans et Sara soixante-dix. Et bien qu’il fût totalement impensable d’avoir un enfant à cet âge, Abraham crut à la Parole que Dieu lui avait annoncée.

    Le jour où Dieu lui fit cette promesse fut certainement une date mémorable pour Abraham, comme le fut aussi celui de la naissance d’Isaac. Mais qu’en est-il de la période entre les deux – les vingt années d’attente ?

    Comme Abraham et Sara, nous passons beaucoup de temps dans l’entre-deux, qui est une période riche en événements importants. C’est le temps de la mise à l’épreuve, de la maturation et de l’apprentissage de la confiance.

    Veillons à ne pas nous lasser pendant l’attente. Abraham et Sarah finirent par se décourager et se laissèrent dévier de la promesse. Fatiguée d’attendre, Sara proposa à Abraham d’avoir un enfant avec Agar, sa servante, puisque l’Éternel l’avait empêchée d’enfanter. Elle pensait que son idée aiderait à la réalisation du plan de Dieu et Abraham l’écouta et suivit sa suggestion.

    Mais quand Agar fut enceinte, Sara et elle éprouvèrent du mépris l’une pour l’autre. Sara fit retomber la faute sur Abraham et au lieu du miracle attendu, ce fut un énorme gâchis. Agar donna naissance à Ismaël, qui n’était pas un enfant de l’alliance et dont la vie fut marquée par la violence.

    Deux façons de vivre se présentent à nous :
    - selon la foi (Isaac) : Dieu vous fait une promesse, vous restez confiant et attendez sa réalisation.
    - selon la chair (Ismaël) : vous entendez ce que Dieu vous dit, vous vous lassez d’attendre et décidez de prendre les choses en main.

    Malheureusement, beaucoup d’entre nous créent leurs propres "Ismaël". Peut-être êtes-vous confronté à une situation délicate en ce moment même pour avoir essayé de forcer les choses au lieu d’attendre le temps de Dieu. Mais la bonne nouvelle est que rien n’est perdu. La grâce de Dieu peut changer cette situation en bien.

    Une décision pour aujourd'hui 

    Prenez la décision de tenir bon pendant l’entre-deux, quel qu’il soit, et de garder foi en Dieu. Vous allez devoir remonter vos manches spirituelles, vous préparer à mener le bon combat de la foi et déclarer : "Je ne vais pas revenir en arrière. Je vais tenir bon et être ce que Dieu veut que je sois. Je suis décidé à faire ce qu’il me demande et j’aurai ce qu’il veut me donner… peu importe le temps qu’il faudra !"

    Joyce Meyer

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “Possède un modèle des saines paroles que tu as entendues de moi.” 2 Timothée 1. 13

     

    Deux amis chrétiens échangent :

    – Que penses-tu des confessions de foi et des credo ?

    – Dans l’ensemble, plutôt du bien ! C’est un moyen utile de condenser les principaux points de notre foi chrétienne.

    – Mais ce ne sont que des constructions humaines !

    – En effet, ils n’ont pas la même valeur que le texte biblique ; mais, dans la mesure où ils lui sont fidèles, ils ne sont pas à rejeter. Paul incitait Timothée à posséder un “modèle” de ses paroles. Le mot grec utilisé désignait à l’époque le plan d’un livre. On pourrait traduire : « Fais-toi un sommaire ou un résumé de mon enseignement ». Paul n’avait pas peur de demander à Timothée de synthétiser sa doctrine.

    – Pourtant, la Bible elle-même ne nous donne pas son enseignement sous la forme d’un credo !

    – C’est vrai. Elle nous présente la vérité « en situation » et le bien-fondé d’une approche systématique de la théologie est souvent remis en question. Pour autant, la Bible elle-même nous dit que les pensées de Dieu sont vraies “ensemble” (Ps. 19. 9). Et, que tu le veuilles ou non, que tu en sois conscient ou non, tu te fais forcément ta petite théologie systématique à toi. Autant donc la faire sérieusement !

    – N’y a-t-il pas un danger de négliger des points importants ?

    – C’est précisément une des grandes vertus des confessions de foi que d’obliger à réfléchir sur ce qui est fondamental et ce qui est secondaire. Le Seigneur lui-même a fait cette distinction (Matt. 22. 37 ; 23. 23). Comme on ne peut pas tout mettre dans un document qui doit rester court pour être utilisable, il faut aller vers l’essentiel de notre foi.

    – Mais qui est légitime pour écrire ces textes ?

    – Nous pouvons être reconnaissants à Dieu d’avoir conduit des docteurs pieux à rédiger des confessions de foi dont certaines font un large consensus parmi les chrétiens, comme les « symboles » dits des Apôtres, de Nicée ou d’Athanase. Après, c’est à chaque église de regarder, à la lumière de l’Écriture et en examinant soigneusement ce que d’autres ont produit avant, les points qu’elle souhaite faire valoir comme fondamentaux.

    – Et à quoi ces documents vont-ils servir ?

    – Par exemple, ils pourront être donnés à quelqu’un qui rentre dans l’église pour la première fois. Ils pourront aussi profiter à de jeunes convertis, pour donner une « charpente » à leur foi.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Remets ton sort à l’Éternel, et il te soutiendra. Il ne laissera jamais chanceler le juste." Psaume 55.23

     

    Un jeune homme s’apprêtait à obtenir son diplôme de chirurgien. Pendant plusieurs mois, il avait admiré une belle voiture de sport. Sachant que son père pourrait aisément la lui offrir, il lui fit part du choix de ce cadeau pour l’obtention de son diplôme. Comme le jour de la remise des diplômes approchait, le jeune homme s’attendait à voir quelque chose lui montrant que son père lui avait bien acheté cette voiture.

    Finalement, au matin du jour J, son père l’appela dans son bureau et lui dit combien il était fier de lui, mais aussi combien il l’aimait. Et le père lui tendit une boîte dans un bel emballage cadeau.

Curieux, le jeune homme l’ouvrit et découvrit une bible. Furieux, il éleva la voix et dit à son père : "avec tout ton argent, tu ne m’offres qu’une bible ?" 

Claquant la porte, il quitta la maison, laissant derrière lui la bible.

    Plusieurs années passèrent, et le jeune homme connut bien des difficultés. Il ouvrit une clinique qui fit rapidement faillite. Découragé, il se disait : "Si j'avais suivi les conseils de mon père, jamais je ne me serais mis dans une telle situation..." 

Tous ses biens furent vendus aux enchères et il lui resta encore une énorme dette à rembourser Sa femme le quitta et il devint un misérable clochard.

    Un jour, il reçut un télégramme lui disant que son père venait de mourir, qu’il lui avait cédé tous ses biens et qu’il devait venir s’occuper de l’héritage.
 Quand il arriva dans la maison de son père, en regardant dans les dossiers importants de celui-ci, il retrouva la bible, à l’endroit même où il l’avait laissée plusieurs années auparavant … Il éclata en sanglots, l’ouvrit et se mit à tourner les pages. Et, comme il lisait, une clef de voiture tomba d’une enveloppe qui était collée au dos de la bible. La clef avait une étiquette sur laquelle était inscrit le nom du concessionnaire où il avait vu la belle voiture de sport qu’il avait tant désiré avoir. Il y avait aussi la date du jour de la remise de son diplôme et ces mots : "Tout a été payé".

    

Une pensée pour aujourd'hui

    Dieu n’est pas tel que nous nous le représentons, mais il est tel qu’il s’est présenté à nous, tel qu’il veut se présenter à vous. Il a tout payé sur la croix.

    Jean-Louis Gaillard

    Source (La Pensée du Jour)

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