• "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et accablés, vous qui êtes déprimés, parce que vous ployez sous un fardeau trop lourd, et je vous donnerai du repos." Matthieu 11.28-29

     

    Beaucoup de gens semblent stressés, exténués, dépassés par les événements et fatigués par les exigences de la vie. Or, en Christ, il est possible de jouir du repos de Dieu et d’être libéré du fardeau du stress et de l’inquiétude.

    Dieu avait déjà tout prévu pour vous restaurer et vous aider à résoudre vos problèmes avant même qu’ils ne surgissent.

    Le repos dont Jésus parle dans Matthieu 11.28-29 n’est pas le répit après le travail. C’est un repos intérieur – pour votre esprit, votre volonté et vos émotions – que vous pouvez expérimenter tout en vaquant à vos occupations quotidiennes. Commencez par venir à Dieu et humiliez-vous devant lui. Puis prenez son joug sur vous, c’est-à-dire demandez à Dieu de vous aider et de vous donner sa force, et cela quels que soient les défis qui vous attendent. Ensemble, Dieu et vous pourrez alors faire face à tout ce qui se présentera.

    La vie n’est pas toujours rose, et lorsque nous sommes confrontés à des situations difficiles, Dieu veut que nous placions notre confiance en lui et attendions de lui sagesse et force. Je fais souvent cette prière : "Seigneur, aide-moi, s’il te plaît." Et je me rappelle Jean 15.5 qui dit que sans Jésus nous ne pouvons rien faire, mais qu’avec lui, tout est possible.

    Que vous soyez fatigué par les exigences de la vie de tous les jours ou face à un problème, le mieux que vous puissiez faire est de tout remettre à Dieu et de recevoir son repos.

    Rien n’échappe au contrôle de Dieu. Prenez la décision de croire Dieu et sa Parole par-dessus tout. Dieu sait toutes choses. Il connaissait tout de vous avant même qu’il ne vous ait invité à entrer dans une relation personnelle avec lui – toutes vos pensées, vos paroles, vos péchés, vos actes, passés, présents et futurs. Et il avait déjà tout prévu pour vous restaurer et vous aider à résoudre vos problèmes avant même qu’ils ne surgissent.

    Une action pour aujourd'hui

    Prenez le joug de Jésus sur vous aujourd’hui. Dites-lui : "Seigneur, j’ai confiance en toi. Je sais que tu m’aimes. Je ne sais ni ne comprends pas toujours ce que tu vas faire ou comment tu vas le faire, mais je refuse de m’inquiéter." Le secret d’une vie sans stress est aussi simple que cela !

    Joyce Meyer

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “Ô Dieu ! ne garde pas le silence.” Psaume 83. 1

     

    Le premier chapitre du livre de la Genèse nous révèle que c’est par la parole que Dieu a créé l’univers. Les dix paroles créatrices témoignent du fait que son désir est de communiquer. Après avoir créé Adam et Ève, il communique avec eux en toute harmonie. Mais leur désobéissance va perturber cette relation et les silences de Dieu deviennent un signe de réprobation.

    Quelques exemples nous le montrent :

    – Après la défaillance de la foi de Sara, puis de celle d’Abraham et la naissance d’Ismaël, Dieu garde le silence pendant treize ans. Qu’elles furent longues ces années où Abram n’entendit plus la voix de Dieu ! Quel contraste avec ce temps où il est répété : “L’Éternel dit à Abram”, “la parole de l’Éternel fut adressée à Abram” (Gen. 12. 1-7 ; 13. 14 ; 15. 1, 4, 7, 8, 13).

    Confessons nos défaillances à Dieu, car les silences de Dieu sont pénibles pour quelqu’un qui a connu sa communion.

    – Plus grave est le cas de Saül en rébellion contre Dieu. Il interroge Dieu, mais Dieu garde le silence (1 Sam. 28. 6). Saül reconnaît cette réalité terrible : “Dieu s’est retiré de moi et ne me répond plus” (1 Sam. 28. 15). Dieu n’attend que sa repentance pour sortir de son silence.

    – Le peuple d’Israël s’est progressivement détourné de Dieu pour se vouer aux idoles et Dieu lui dit : “N’ai-je pas gardé le silence, et cela dès longtemps, et tu ne m’as pas craint ?” (Es. 57. 11). Un silence de réprobation, certes, mais aussi peut-être signe de la miséricorde de celui qui, patient, ne châtie pas encore.

    – Mais le plus impressionnant, le plus incompréhensible, le plus douloureux silence est bien celui de la croix où Jésus dit à Dieu : “Je crie de jour et tu ne réponds pas” (Ps. 22. 2). Les anges avaient acclamé sa naissance, Dieu s’était fait entendre à son baptême et avait approuvé son ministère. Maintenant, Dieu est silencieux. Car Jésus “porte nos péchés”, il est “fait péché”. Pendant trois heures, Dieu, l’abandonne, il “est sourd à ses larmes” (Ps. 39. 12), il “ferme l’accès à sa prière” (Lam. 3. 8), il “garde le silence” (Ps. 28. 1) à l’égard de celui qui vivait dans sa communion.

    Le silence de la croix est unique. Il nous conduit à l’adoration !

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "De même que vous excellez en toutes choses, en foi, en parole, en connaissance, en zèle à tous égards, et dans votre amour pour nous, faites en sorte d'exceller aussi dans cette œuvre de bienfaisance." 2 Corinthiens 8.7

     

    En tant que croyant né de nouveau, vous détenez un potentiel illimité.

    Seigneur, je veux grandir dans la foi !

    Parce que Christ est en vous, vous pouvez marcher dans une foi, une connaissance, un amour et une victoire illimités. La Bible vous encourage à exceller et à grandir dans ces domaines, et en le faisant, vous commencerez à expérimenter cette vie de victoire conquérante que Dieu a en réserve pour vous.

    Mais comment exceller dans ces domaines ?

    De la même façon qu'un muscle se développe par l'exercice, c'est aussi par l'exercice que votre foi, votre amour et votre générosité vont se développer.

    Décidez donc aujourd'hui, de commencer votre nouveau programme d'exercices, et vous ne tarderez pas à devenir un champion dans les différents domaines de la vie !

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, je veux grandir dans la foi ! Aide-moi, je te prie, à exercer ma foi chaque jour, par la lecture de ma Bible, par la prière et par la communion avec d'autres chrétiens. Aide-moi à développer tout mon potentiel en vivant, en aimant, et en donnant, selon ton plan pour ma vie. Amen.

    Joël Osteen

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “La vérité a trébuché sur la place publique.” Ésaïe 59. 14

     

    L’expression « post-vérité » (post-truth) a été choisie en novembre 2016 comme mot de l’année par le dictionnaire britannique Oxford. Elle désigne un courant qui s’étend, selon lequel la véracité des faits n’a plus de valeur dans l’argumentation. Le fait de se livrer au mensonge, à la contrefaçon intellectuelle ou à la tromperie n’est sanctionné par aucune conséquence ultérieure, en termes d’image ou de crédibilité. Racontez ce que vous savez pertinemment être faux ; même si d’autres démontrent que vos propos sont erronés, ils ne seront pas crus par ceux que vous avez persuadés ! Le mensonge devient une « vérité alternative ».

    La campagne pour les élections présidentielles aux États-Unis, les débats qui ont précédé le référendum sur le Brexit, les polémiques soulevées par les climatosceptiques, voilà quelques exemples récents où des contre-vérités patentes ont été avancées avec aplomb. Elles ont ensuite été relayées par les réseaux sociaux et par certains médias tendancieux ; elles ont finalement contribué au succès de leurs promoteurs. On a dit ce que beaucoup avaient envie d’entendre ; on les a confortés dans leurs préjugés ; on les a convaincus que les opinions contraires étaient manipulées…

    Que faire dans un tel contexte ? D’abord, ne pas être étonné ni déstabilisé. Satan est le “père du mensonge” et rien ne lui plaît davantage que de répandre l’erreur. Son activité maléfique culminera dans le futur lorsqu’un homme sous son influence directe, “l’inique”, viendra avec force mensonges (2 Thes. 2. 11).

    Ensuite, tenir ferme à la vérité. Nous avons une “sûre norme” (cf. Prov. 22. 21), la Bible, la Parole qui est la vérité. Notre foi repose sur des faits irréfutables, historiquement fondés : la venue de Jésus, sa mort et sa résurrection. Nous savons qu’il existe “l’esprit de vérité et l’esprit d’erreur” (1 Jean 4. 6). Tous nos présupposés doivent être vérifiés à la lumière de l’Écriture et nous devons être prêts à les remettre en question face à l’affirmation biblique claire.

    Enfin, disons la vérité. Ne croyons jamais promouvoir notre cause en biaisant, même un peu, avec la vérité : “Nous ne pouvons rien contre la vérité, mais pour la vérité” disait Paul (2 Cor. 13. 8). Soyons de doux et humbles enseignants qui espèrent en l’action de Dieu pour faire « reconnaître la vérité » (2 Tim. 2. 24, 25).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "L’amour couvre tout : il souffre, endure et pardonne. Il sait passer par-dessus les fautes d’autrui. Aimer, c’est faire confiance à l’autre et attendre le meilleur de lui, c’est espérer sans faiblir, sans jamais abandonner. C’est savoir tout porter, tout surmonter." 1 Corinthiens 13.7

     

    L’histoire est celle d’un couple de jeunes mariés qui paraissait très amoureux l’un de l’autre. Un jour, l’état de la charmante épouse nécessita une intervention chirurgicale au visage. Après avoir examiné toutes les possibilités et envisagé toutes les conséquences, le couple se résolut à l’opération. Celle-ci se déroula parfaitement. 

    L’amour n’est pas le sentiment que l’on reçoit de quelqu’un ! C’est le sentiment qu’on lui donne ! 

    Après l’intervention, le visage de la jeune femme demeura bandé pendant plusieurs jours. Mais au cours de cette période, le médecin l’informa qu’une complication avait surgi. 

    Il s’agissait d’une tumeur qu’on ne pouvait ôter qu’en sectionnant un nerf du visage. 

    Cette nouvelle opération allait la défigurer définitivement. Un côté de sa bouche allait être tiré littéralement vers le bas. En clair, elle ne serait plus aussi belle qu’elle l'avait été. 

    Naturellement, elle était accablée. Puis, elle s’inquiéta de savoir si son mari lui demeurerait attaché. Allait-il l’aimer encore ? Le jour vint d’enlever les bandages. La voix sécurisante de son médecin ne l’avait préparée qu’en partie à ce qui allait se passer. 

    Lorsqu’elle vit dans la glace sa bouche déformée, elle commença à pleurer et guetta anxieusement la réaction de son mari. C’est alors qu’elle sut pourquoi elle lui était si reconnaissante et qu’elle n’aurait jamais à douter de son amour. 

    Sa réaction fut d’une simplicité désarmante. Il la prit dans ses bras et dit : "Cela te donne un air plutôt sympa ! Ça me plaît."


    Une action pour aujourd’hui 

    Voyez-vous, l’amour n’est pas le sentiment que l’on reçoit de quelqu’un ! C’est le sentiment qu’on lui donne ! Ce jeune époux avait certainement été attiré romantiquement par sa femme. Mais son amour allait bien au-delà de l’apparence. Il avait fait d’elle sa femme pour prendre soin d’elle et l’aimer. Rien ne pouvait changer cela. Apprenons, nous aussi à aimer véritablement en actes et en paroles.

    Jean-Louis Gaillard

    Source (La Pensée du Jour)

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