• "Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ." Philippiens 4.7

     

    Beaucoup de nos contemporains sont en proie à l’inquiétude et aux soucis – pour leur travail, leur argent, leur famille et leurs relations. Ils laissent ces soucis prendre possession de leurs pensées et affecter chaque domaine de leur vie. Ils ne dorment pas bien et sont constamment de mauvaise humeur et irritables.

    Vous servez un Dieu bon, et quelle que soit la situation aujourd’hui, il travaille en coulisses en votre faveur.

    Si c’est votre cas, sachez que Dieu veut que vous viviez dans la paix – une paix qui surpasse l’intelligence. Qu’est ce que cela signifie ?

    Cela veut dire que vous pouvez avoir la paix du cœur alors qu’il semble absurde d’être en paix ; quand le monde autour de vous est troublé et dans l’angoisse ; quand les circonstances échappent à votre contrôle ; quand les choses ne se passent pas comme vous l’aviez prévu. 

    Vous servez un Dieu bon, et quelle que soit la situation aujourd’hui, il travaille en coulisses en votre faveur.

    La notion de paix comporte celle d’unité retrouvée. Lorsque vous êtes un avec le Père par Jésus-Christ, sa paix surnaturelle commence automatiquement à remplir votre cœur. Toute cette angoisse et cette inquiétude disparaissent au fur et à mesure que la paix surnaturelle de Dieu garde votre cœur et dirige vos pas vers la vie abondante qu’il vous destine.

    Une prière pour aujourd’hui


    Père céleste, je te remets mes soucis et mes inquiétudes. Je choisis d’avoir confiance et de croire que tu œuvres en coulisses pour moi. Remplis-moi de ta paix et de ta joie aujourd’hui alors que je te remets chaque domaine de ma vie. Au nom de Jésus. Amen.

     
    Source (La Pensée du Jour)
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  • Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui viennent les sources de la vie. Proverbes 4.23

     

    Il est effrayant de constater combien nos conceptions sont modelées par la société qui nous entoure. On se détermine par rapport au plus grand nombre. La majorité a forcément raison ! Euh… Est-ce vrai ? En réalité c’est une minorité, relayée par les médias, qui fait l’opinion !

    Dans le domaine des mœurs, le libertinage ambiant prétend jeter aux orties les normes bibliques de la sexualité et du respect de la vie, qu’on juge archaïques et étouffantes. De plus, “comme tout le monde le fait”, quel mal peut-il y avoir, se dit-on, à vivre autrement que ce que le Créateur a prévu ?

    On accuse les Églises d’être en décalage par rapport aux mœurs de notre époque. La question se pose : l’Église est-elle appelée à refléter les valeurs d’un monde sans Dieu ou, au contraire, à vivre courageusement les valeurs de l’Évangile dans la société ?

    Disons haut et fort que les couples qui vivent leur sexualité en harmonie avec les normes bibliques témoignent d’un grand bonheur conjugal, d’une stabilité rassurante, d’un épanouissement mutuel profond.

    Sans surprise, car ce sont les instructions du constructeur ! Si nous lui confions notre vie, nous verrons qu’il n’est vraiment pas dépassé par le “progrès” humain !

    Claude Schneider

    (in La foi : illusion ou bonheur véritable ?)

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    Lecture proposée : Psaume 119, versets 9 à 16.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • “Saisissant l’occasion parce que les jours sont mauvais…” Éphésiens 5. 16

     

    Nous sommes dans les années 1940-1945 sur le Plateau Vivarais-Lignon, dans le centre de la France. C’est l’automne, le temps de battre les céréales. Pour cela, la batteuse est amenée de ferme en ferme, tirée par des bœufs.

    Ce jour-là, « on bat » chez une famille chrétienne. C’est un grand travail ; une douzaine de voisins sont venus pour aider. Et voilà qu’au beau milieu du chantier un serviteur de Dieu arrive à l’improviste ; il ignore que c’est un jour où tout le monde est très occupé avec le battage. Il a l’habitude de faire des visites dans la région depuis longtemps, il est bien connu de tous et estimé pour son don de pasteur. En le voyant arriver, la maîtresse de maison va au-devant de lui pour l’accueillir et le saluer cordialement. Puis, dominant de sa voix forte le bruit du chantier, elle crie aux hommes qui travaillent : « C’est la pause, on arrête tout ! »… les hommes arrêtent donc la machine ; lorsque chacun est installé pour un repas bien mérité, elle ajoute : « le prédicant est là, il va nous présenter la Parole de Dieu ». Après s’être restauré, chacun écoute respectueusement pendant quelques minutes le prédicateur venu à l’improviste pour présenter l’évangile.

    La réaction de cette maîtresse de maison face à cette visite imprévue et un peu dérangeante est remarquable ! Elle est un exemple sur plusieurs points :

    – elle se préoccupait du salut des âmes de ses voisins ;

    – elle considérait comme plus pressante l’œuvre de Dieu que ses propres travaux ;

    – elle avait un grand courage ;

    – elle a saisi l’occasion ;

    – elle avait un grand respect et une grande considération pour le porteur de la Parole ;

    – enfin, elle croyait à la Parole de Dieu comme source de vie et d’encouragement.

    Cette histoire insolite est d’un autre temps. Elle a été soigneusement conservée dans la mémoire de la famille de ce serviteur. L’évangile a été annoncé grâce à un serviteur qui se déplaçait et à une femme qui accordait plus d’importance à l’évangile qu’à ses affaires.

    Souvenez-vous de vos conducteurs qui vous ont annoncé la parole de Dieu, et, considérant l’issue de leur vie (ou leur manière de vivre), imitez leur foi” (Héb. 13. 7).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • “Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s'appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.” Jean 5.2

     

    Votre vie, comme Béthesda, a cinq portiques. Ce sont vos 5 sens. Jésus se manifeste au travers de nos sens.

    Parfois, au travers de la vue. On a une vision de lui, de son amour, de son cœur, de son sacrifice.

    Parfois, au travers de nos oreilles. On entend sa voix. “Mes brebis entendent ma voix”, dit Jésus dans Jean 10.27.

    Parfois, au travers du goût ou même de l’odorat. “Sentez (ou goûtez) combien le Seigneur est bon”, nous dit la Bible (Psaume 34.9).

    Parfois, au travers du toucher. On ressent physiquement la présence du Seigneur. Parfois des larmes viennent, parfois des rires, et parfois encore, c’est comme un feu qui nous envahit.

    C’est simplement notre corps qui est le temple de l’Esprit Saint qui réagit. A certains moments, des langues nouvelles nous sont données et des dons spirituels sont communiqués par notre bouche. Tout cela est le signe que Jésus, le Sauveur, le Roi, le Dieu vivant est entré dans sa maison. 

    Notre vie devient une maison de miséricorde comme Bethesda. Tout devient alors possible, parce que Jésus est là.

    Aujourd’hui, comme chaque jour, Jésus veut se révéler à vous. Il veut manifester sa présence, de bien des manières. Essayez d’ouvrir grand votre cœur et tous vos sens à la manifestation de sa présence. Pouvez-vous l’entendre vous parler ? Pouvez-vous le voir, et visualiser son œuvre à la croix ? Que dit-il ? Qu’a-t-il envie de dire au travers de votre bouche ?

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, j’ai soif de te connaître toujours plus et de voir, sentir, goûter, entendre et toucher ton action dans ma vie. Je te donne mon cœur et ma vie tout entiers, Jésus. Sois le bienvenu pour te révéler comme tu le souhaites.  

    Éric Célérier
     
    Source (La Pensée du Jour)
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  • Et nous, nous avons connu l’amour que Dieu nous porte et nous y avons cru. 1 Jean 4.16

     

    C’est le premier jour du printemps, et des fleurs précoces attirent mon regard. J’en admire la structure et la grâce. Leurs cinq pétales sont des cœurs mauves qui jaillissent d’un soleil jaune.

    Laurent Voulzy chante le pouvoir des fleurs :

    « Changer les âmes, changer les cœurs avec des bouquets de fleurs… »

    Moi aussi, j’ai besoin de voir mon cœur changé, car je me suis enfin décidé à visiter cet ami et collègue hospitalisé. Et j’avoue que cette visite me pèse. Que dire de sensé en présence d’un cancer qui semble progresser ? J’ai besoin de plus que de bouquets de fleurs pour m’encourager. Mais voilà que les fleurs du parc de la clinique semblent étirer leurs cinq pétales vers moi et me murmurer « Dieu est amour ! » Faut-il me le dire cinq fois pour que je le comprenne ? Lui, il est adroit pour toucher notre cœur ! Il est plein de tact pour comprendre notre douleur, et y répondre ! J’aime mon Sauveur parce qu’il m’a aimé le premier. Il a mis son amour en moi pour que je puisse réellement aimer mon collègue. Dieu l’aime aussi ! Il veut que celui-ci trouve en lui le salut et la vie !

    Francis Schneider

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    Lecture proposée : 1 lettre de Jean, chapitre 4, versets 7 à 19.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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