• “Hérode craignait Jean, le sachant homme juste et saint, et il le gardait soigneusement ; lorsqu’il l’avait entendu, il faisait beaucoup de choses, et il l’écoutait volontiers.” Marc 6. 20

     

    Henry de Montherlant (1895-1972), romancier et dramaturge, fut l’un des maîtres à penser du XXe siècle. Il avait de nombreux amis chrétiens, il aimait leur compagnie et leurs discussions ; dans un certain sens, il les admirait. Devenu quasi aveugle à la suite d’un accident, il se suicida. Peu de temps avant de mettre fin à ses jours, dans sa dernière lettre à un ami de longue date, Montherlant lui écrivait : « Moi qui ne crois pas, je ne puis croire qu’à ceux qui croient et cependant je ne puis comprendre qu’ils croient. » Attiré par les croyants, il n’a cependant pas voulu les suivre. Il avait fait son choix.
    Hérode Antipas aimait s’entretenir avec Jean-Baptiste (verset du jour), mais a refusé de briser la chaîne de ses passions.
    Son petit-neveu, le roi Hérode Agrippa II, interpellé dans sa conscience par l’apôtre Paul qui présente sa cause devant le tribunal, s’esquive, moqueur : “Bientôt, tu vas me persuader de devenir chrétien” (Act. 26. 28).
    Félix, procurateur de Judée, un tyran féroce et débauché, passe aussi tout près du salut. A la suite du procès public de Paul à Césarée, il fait venir Paul pour l’entendre sur la foi en Christ. Dans cet entretien privé, Paul saisit l’occasion pour lui parler de la justice, de la maîtrise de soi, du jugement à venir. Félix en est si impressionné qu’il lui dit : “Pour le présent, retire-toi ; quand je trouverai un moment convenable, je te ferai appeler” (Act. 24. 25).
    Ces personnages ont entendu la vérité, ils y ont même été sensibles ; mais ils n’ont pas voulu faire le pas pour devenir disciples de Jésus Christ.
    Nous avons peut être dans notre proximité des personnes qui fréquentent les milieux chrétiens, qui possèdent une Bible, mais qui n’ont jamais réellement rencontré Dieu ; elles se tiennent toujours à une certaine distance, sans trop s’éloigner mais sans jamais s’approcher. Notre responsabilité est de les avertir de l’issue de leur route et de leur montrer le véritable chemin de la vie éternelle. Il est encore temps : “Voici, c’est maintenant le temps favorable ; voici, c’est maintenant le jour du salut” (2 Cor. 6. 2). “Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs” (Héb. 3. 7).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • Les deux tiers de l’humanité seront tués et tous les hommes mauvais seront jetés en enfer

    Message du Seigneur donné à John Leary (USA) Jeudi 7 juillet 2016

    Jésus : Mon peuple, je peux comprendre que certaines personnes se demandent pourquoi je n’ai pas fait déjà tomber mon châtiment sur votre monde. Vous ne voyez pas la façon qui me permet de sauver un maximum d’âmes.

     

    Vous voyez mes fidèles se renforcer, tandis que le diable commet toujours plus d’atrocités dans le monde. Mes gens, qui ont attendu, sont sur le point d’être justifiés lorsque des événements internationaux vont bientôt placer l’Antéchrist au pouvoir. J’ai dit à mes fidèles d’être préparé pour une bataille sanglante du bien contre les hommes mauvais.

    Mon peuple, vous avez vu déjà certains troubles mais cela n’est rien par rapport au mal qui vient. C’est le plan des dirigeants occultes du monde pour essayer de contrôler autant de personnes que possible. Ils vont essayer d’exterminer tous les gens qui croient en moi et ceux qui n’iront pas de pair avec le nouvel ordre mondial.

    Mes fidèle seront très reconnaissants pour tous les endroits qui ont été construits comme refuges. Priez pour la protection de mes anges parce qu’il y aura des gens martyrisés pour leur foi en moi.

    Jésus : Mon peuple, beaucoup d’entre vous sont, non seulement en attente pour la tribulation, mais vous êtes également en attente de ma victoire sur tous les hommes mauvais.

    Je vais enlever mes fidèles dans les airs pour que vous ne soyez pas tué par ma Comète du Châtiment qui apportera ma victoire.

     

    Les deux tiers de l’humanité seront tués, et tous les hommes mauvais seront jetés en enfer. Ce sera leur jugement pour m’avoir nié et essayé de tuer tous ceux qui m’appartiennent.

    Réjouissez-vous car je vais renouveler la Terre et je placerais les miens dans mon Ère de Paix. Vous aurez votre récompense pour m’être resté fidèle, malgré toutes les mauvaises choses qui se passeront.

    Jésus : Mon peuple, dans la première lecture, vous lisez comment les gens de Ninive ont pris l’avertissement de Jonas au sérieux, et ils se sont « couvert d’un sac et s’assirent sur la cendre » pour la repentance de leurs péchés.

     

    Dans la plupart des récits bibliques, souvent les gens défiaient mes commandements.

    Dans l’histoire de la Tour de Babel, ils m’ont défié en adorant d’autres dieux et ils ont été condamnés à la multiplication des langues.

    Les gens de Sodome et Gomorrhe m’ont défié et j’ai envoyé le feu et le soufre contre eux.

     

    Même aujourd’hui, vos gens me défient avec leurs avortements, l’euthanasie et de nombreux péchés sexuels. Je vous ai donné de nombreux messages à propos d’une purification à venir de votre peuple dans la tribulation. A la fin du règne de l’Antéchrist, je vais faire venir la Comète du châtiment qui va tuer les deux tiers de l’humanité.

    C’est une punitions nécessaire parce que j’ai plaidé avec vous plusieurs fois pour votre repentir et pour que vous changiez vos habitudes. Ceux qui refusent de m’obéir en subiront les conséquences. Je vais fournir des refuges pour mes croyants, tout comme j’ai protégé Noé et sa famille, Lot et les siens.

    Ceux qui se repentent et suivent mes commandements trouveront un endroit avec moi dans le Ciel, même s’ils souffrent le martyre pour leur foi en moi.

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  • En effet, c'est par la grâce que vous avez été sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est pas par les oeuvres, afin que personne ne puisse se vanter. En réalité, c'est lui qui nous a faits ; nous avons été créés en Jésus-Christ pour des oeuvres bonnes que Dieu a préparées d'avance afin que nous les pratiquions. Éphésiens 2. 8-10

     

    Quel est le rapport entre la foi et les œuvres ?

    Cette question a été au cœur de la Réforme du 16e siècle. Mais déjà au 5e siècle, Saint Augustin s'était opposé à un certain Pélage sur ce sujet. Et tout au début du christianisme, l'apôtre Paul a dû résister à ceux qui voulaient ajouter à la foi l'obligation de suivre la Loi de Moïse si l'on voulait être accepté par Dieu.

    Nous avons facilement tendance à penser que, pour mériter la faveur de Dieu, il faut faire quelque chose. Pour les uns, ce sera un pèlerinage, pour d'autres des prières, pour d'autres encore des œuvres de bienfaisance, un engagement social... Mais la Bible nous apprend clairement que rien de tout cela ne permet de devenir juste devant Dieu car “sur la base des œuvres de loi, personne ne sera justifié” (Galates 2. 16). Il n'est pas juste non plus de s'imaginer qu'il faut ajouter les œuvres à la foi pour être sauvé. Ce serait faire confiance en partie à la grâce de Dieu et en partie à ses propres actions. Or, “l'homme est justifié par la foi, sans œuvres de loi” (Romains 3. 28).

    À l'inverse, il est faux d'opposer la foi et les œuvres. En effet, la foi produit des œuvres bonnes, comme un arbre fruitier produit son fruit. “La foi sans les œuvres est morte” (Jacques 2. 20).

    L'évangile peut s'énoncer ainsi : la foi reçoit de Dieu un salut parfait et elle produit des œuvres. Ceux qui croient l'évangile ne sont pas seulement sauvés de leurs péchés, ils sont aussi transformés par la grâce de Dieu. Aussi sont-ils invités, parce qu'ils sont sauvés, à plaire à celui qui a donné sa vie pour eux.

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Pais mes brebis". Jean 21.17

     

    Le soir de l'arrestation de Jésus, Pierre fit une belle promesse au Seigneur : "Quand il me faudrait mourir avec toi, je ne te renierai pas" (Matthieu 26.35). Wow, quelle belle déclaration ! La suite fut moins glorieuse ! Avant la fin de la nuit, avant que le coq ne chante, Pierre avait déjà renié son maître par trois fois… C'est là que son regard croisa celui de Jésus. Il partit en pleurant amèrement. Il retourna à son entreprise de pêche. C'était fini pour lui, comment Dieu pourrait-il croire encore en lui ?

    Laissez les promesses de Dieu s'accomplir dans votre vie.

    Vous arrive-t-il de faire des promesses à Dieu ? "Je te promets que je ne ferai plus ce type de péché ; je prierai tous les jours ; je ferai ceci ou cela ; etc." Puis, vous vous apercevez amèrement, et bien souvent dans les larmes et la culpabilité, que vos belles promesses ont volé en éclat. Comme Pierre, vous faites machine arrière. Vous êtes tellement déçu de vous-même. A quoi bon continuer…

    Combien de fois je n'ai pas réussi à tenir mes promesses ? Beaucoup trop de fois... Et vous ? Aujourd'hui, j'aimerais vous proposer autre chose : arrêter de faire des promesses au Seigneur que vous ne tiendrez pas et laisser plutôt les promesses de Dieu s'accomplir dans votre vie. Jésus vous a promis d'accomplir un miracle, alors vivez simplement en lui obéissant et en croyant que ce qu'il a promis, il l'accomplira. Il n'est pas un homme pour faillir.

    Après sa résurrection, le Seigneur trouva Pierre sur la plage et là il le restaura dans son appel : "Pierre m'aimes-tu ? Oui, Seigneur tu sais que je t'aime. Alors nourris mes brebis". Comprenez-vous, le Seigneur le relança dans sa destinée. Je le répète, arrêtez de faire des promesses à Dieu et laissez-le accomplir les siennes dans votre vie.

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, je te demande pardon pour mes manquements. Je viens humblement devant toi en ayant foi en toi, amen.

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “Ta supplication a été exaucée ; ta femme Élisabeth t’enfantera un fils, et tu l’appelleras du nom de Jean… beaucoup se réjouiront de sa naissance ; car il sera grand devant le Seigneur.” Luc 1. 15

     

    Le père et la mère de Jean-Baptiste, tous deux descendants d’Aaron, sont des personnes profondément pieuses (Luc 1. 5). Ils ont prié pour avoir un enfant, sans doute pour que ne s’éteigne pas la famille de sacrificateurs à laquelle ils appartiennent. Les années ont passé et, depuis longtemps, Élisabeth a dépassé l’âge d’avoir un enfant. Peut-être ont-ils cessé de prier et se sont-ils soumis à ce qu’ils croient être la volonté de Dieu à leur égard ?
    Pendant que Zacharie accomplit son service dans le temple du Seigneur, l’ange Gabriel lui apparaît pour lui annoncer la prochaine naissance du fils qu’il n’attendait plus.
    Gabriel révèle à Zacharie ce que sera l’enfant :
    – “Il sera pour toi un sujet de joie et d’allégresse, et beaucoup se réjouiront de sa naissance ; car il sera grand devant le Seigneur, il ne boira ni vin ni boisson forte ; et il sera déjà rempli de l’Esprit Saint dès le ventre de sa mère” (Luc 1. 14, 15).
    Il révèle aussi ce que fera l’enfant, en reprenant les termes mêmes du prophète Malachie (Mal. 4. 5, 6) :
    – “Il fera retourner un grand nombre des fils d’Israël au Seigneur leur Dieu. Et il ira devant Lui dans l’esprit et la puissance d’Élie, pour faire retourner les cœurs des pères vers les enfants, et les désobéissants à la pensée des justes, pour préparer au Seigneur un peuple bien disposé” (Luc 1. 14-17).
    À part celle de Jésus, aucune autre naissance n’a été annoncée avec autant de précision. Pourtant, Zacharie a une réaction d’incrédulité à l’annonce de l’ange. C’est pourquoi il est frappé de mutisme. Il ne pourra pas parler de sa vision, mais le miracle annoncé s’accomplira.
    Comme Zacharie, notre foi n’est souvent pas à la hauteur de nos requêtes, malgré les nombreuses promesses de Dieu dans sa Parole. Mais Dieu, dans sa grâce, répond aux prières au-delà de ce que nous pouvons espérer, même si nous avons cessé de prier. Il est “celui qui peut faire infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons” (Eph. 3. 20) et nous pouvons, comme Abraham, espérer contre toute espérance (Rom. 4. 18).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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