• (Jésus a dit) : Tous ceux que le Père me donne viendront à moi et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi... En effet, la volonté de mon Père, c'est que toute personne qui voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle, et moi, je la ressusciterai le dernier jour. Jean 6. 37, 40

     

    “J'ai continué à lire le Nouveau Testament chaque jour. Un matin, assise dans un bus, j'ai lu pour la première fois le récit de la crucifixion. J'ai fondu en larmes. Je pleurais parce que Jésus était mort ; je ne savais pas encore qu'il était ensuite ressuscité. En poursuivant ma lecture, je suis arrivée au récit de la résurrection de Jésus et j'ai été transportée de joie. Tout cela était si réel à mes yeux, comme si j'avais assisté personnellement à la dernière Pâque à Jérusalem, à la mort de Jésus et à sa résurrection.

    Quelques mois plus tard, j'ai été invitée à une conférence biblique à Haïfa. L'orateur nous a expliqué comment les sacrifices, dans le livre du Lévitique, symbolisaient la mort expiatoire du Messie. Le pécheur apportait un animal pur et sans défaut ; il posait les mains sur sa tête et confessait ses péchés. Ceux-ci étaient transférés sur l'animal sacrifié, alors que la vie pure du sacrifice innocent était transférée sur le pécheur. La sentence de mort que méritait le pécheur était portée par l'animal du sacrifice, qui était tué et mourait. En un éclair, pour la première fois de ma vie, j'ai compris la véritable signification de la mort de Jésus. C'était moi la pécheresse, et le Messie avait subi la mort que je méritais. Il était mon sacrifice, mon substitut ! Même si je n'avais jamais commis un “énorme péché”, je savais que ma vie était pleine de “petits péchés” et que j'avais vraiment besoin d'être pardonnée et purifiée. J'ai réalisé aussi que Jésus avait donné sa vie pour moi parce qu'il m'aimait.”

    Shira

    Source (La Bonne Semence)

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  • "C'est ici la journée que l'Éternel a faite : Qu'elle soit pour nous un sujet d'allégresse et de joie !" Psaumes 118.24

     

    "Ne vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine." Matthieu 6.34

    Aujourd'hui va être une journée magnifique, car c'est la journée que Dieu a faite...

    Carpe Diem est une expression latine qui signifie : "Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain". Il est tellement facile d'être emporté par les soucis du lendemain. Où serais-je l'an prochain ? Est-ce que les enfants vont réussir leurs études ? Est-ce que ma santé va se détériorer ? Aurons-nous assez d'argent pour payer le loyer ? Qu'en sera-t-il de notre retraite si la situation économique ne s'améliore pas ? Pendant que nous nous inquiétons de demain, nous ne vivons pas pleinement notre journée alors qu' aujourd'hui est tout ce que nous avons.

    Beaucoup de personnes se font gâcher leur "aujourd'hui" par "hier" ou "demain". Qu'arriverait-il si vous décidiez de faire d'aujourd'hui un chef d'oeuvre et de profiter de cette journée en croquant la vie à pleines dents et en la vivant à fond ? Qu'arriverait-il si vous décidiez de manifester concrètement votre amour aux gens qui vous entourent aujourd'hui et de poser des actes en fonction de vos rêves sans les remettre à demain? Quelqu'un a dit : "Peu importe la largeur du tronc d'un arbre, si on y donne cinq coups de hache par jour, il finira par tomber". Aujourd'hui, donnez vos cinq coups de hache et demain sera une autre journée.

    Dites à quelqu'un que vous l'aimez. Contactez une personne qui vous a fait du mal et réconciliez-vous avec elle. Témoignez de la gentillesse à un étranger. Trouvez un moment pour vous amuser. Carpe Diem ! Regardez le soleil se coucher ce soir en réalisant que Dieu, l'ultime artiste, a fait cela pour chacun de nous. Écoutez une musique inspirante dans votre voiture en faisant un détour inhabituel pour regarder le paysage. Remerciez Dieu pour la vie et pour toutes les bénédictions que vous avez en ce moment.

    Carpe Diem ! Je respire, je vois, je suis aimé de Dieu, mes péchés sont pardonnés et j'ai l'assurance d'aller au ciel pour l'éternité ! Carpe Diem ! Aujourd'hui va être une journée magnifique, car c'est la journée que Dieu a faite, elle va être pour moi un sujet d'allégresse !

    Une prière pour aujourd'hui

    Prenez le temps de vous arrêter afin de remercier Dieu pour les bénédictions dans votre vie. Exprimez-lui votre reconnaissance.

     
    Source (La Pense du Jour)
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  • “Retenons la confession de notre espérance sans chanceler, car celui qui a promis est fidèle.”  Hébreux 10. 23

     

    Le verset cité aujourd’hui s’adresse à ceux qui ont cru en Jésus Christ et qui, ayant été lavés de leurs péchés par son sang, sont pardonnés et ont désormais l’entière liberté de s’approcher de Dieu. Il en découle pour eux une première exhortation à user de cette liberté pour entrer dans la présence de Dieu (Héb. 10. 22) et une seconde concernant la confession (acte de reconnaissance publique) de leur espérance.
    Le verbe « retenir » implique la constance dans l’action. Un chrétien ne saurait en effet se limiter à confesser une fois pour toutes l’objet de son espérance. L’apôtre Pierre d’ailleurs la qualifie “d’espérance vivante” (1 Pi. 1. 3), impliquant qu’elle lui est accordée pour produire en lui des fruits visibles pour son entourage. Or l’objet de l’espérance chrétienne n’est autre que le retour du Seigneur. Il met un terme à l’étape de la vie physique pour introduire le fidèle dans un avenir éternel et glorieux. C’est lui qui a promis aux siens : “Si je m’en vais et que je vous prépare une place, je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi” (Jean 14. 3). Voilà l’espérance du chrétien, voilà notre espérance, celle que nous avons tous à proclamer “sans chanceler”.
    Pourquoi ce dernier détail ? Serions-nous dubitatifs ? vacillants ? découragés ?
    Déjà du temps de Pierre, des moqueurs tournaient en dérision l’espérance chrétienne : “Où est la promesse de sa venue ?”, raillaient-ils ; depuis que le monde est monde rien n’a changé et ne changera. D’autres, plus subtilement, insinuaient que l’accomplissement de la promesse du retour du Seigneur « traînait » (2 Pi. 3. 4, 9).
    Pour éviter que nous nous laissions influencer par de telles idées humaines, Dieu nous donne un puissant motif de persévérer : “celui qui a promis est fidèle”. Combien de témoignages n’avons-nous pas dans la Bible de l’inaltérabilité de cette fidélité : “Dieu est fidèle”, “le Seigneur est fidèle”, “pour toutes les promesses de Dieu, en lui est le oui et l’amen” (1 Corinthiens. 1. 9 ; 2 Thessaloniciens. 3. 3 ; 2 Cor. 1. 20). Par conséquent, “attendant la bienheureuse espérance et l’apparition de la gloire de notre grand Dieu et sauveur Jésus Christ” (Tite 3. 13), non seulement nous nous en réjouissons, mais nous confessons “sans chanceler” notre espérance. “Amen, viens Seigneur Jésus.” (Apoc. 22. 20).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • (Jésus dit) : Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres. Comme je vous ai aimé, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. C'est à cela que tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l'amour les uns pour les autres. Jean 13. 34, 35

     

    “Je suis née en 1964 en Israël. Quand j'avais 14 ans, trois jeunes filles sont venues comme volontaires dans le Kibboutz où je vivais. Elles croyaient en Jésus, aussi je décidai de les convaincre que leur foi était erronée. La qualité de leur vie m'impressionnait. C'était toujours une joie d'être avec elles. Jamais je n'avais vu autant d'amour et d'unité qu'entre elles trois. Elles se dépensaient sans compter pour les malades et les personnes âgées.

    Un jour, elles me demandent : “Shira, as-tu un but dans la vie ?” Cela m'a fait réfléchir... Progressivement convaincue de l'existence de Dieu, j'ai lu le Nouveau Testament. J'ai découvert que Jésus avait réellement accompli toutes les prophéties de l'Ancien Testament concernant le Messie. Cette conclusion me terrifia : je savais que si je mettais ma foi en Jésus, je ne pourrais plus faire demi-tour ; ce serait pour la vie.

    Un jour je rendis visite à Elly. J'étais fâchée contre Dieu : il n'y avait pas de Dieu, ou, s'il existait, pourquoi permettait-il tant de souffrance dans le monde ? Elle me dit : “Shira, tu sais que Dieu est là et qu'il t'aime. Alors calme-toi et avant de dormir, parle-lui”.

    Tout à coup, dans ma chambre, je me suis vue telle que j'étais vraiment, comme dans un miroir : j'étais mauvaise, mais Dieu m'aimait personnellement. J'ai prié : “Dieu, si tu es là, et je sais que tu es là, et si Jésus est le Messie, et je sais qu'il l'est...” Je n'ai pas terminé ma phrase, je me suis endormie ! Cette prière a été le tournant de ma vie. J'avais laissé Dieu commencer à agir en moi et à me transformer.”

    d'après Shira

    Source (La Bonne Semence)

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  • Je ne sais pas pour toi mais, ces derniers temps, j’ai eu le sentiment d’être bon à rien. Tout me criait d’abandonner. Abandonner mes études, arrêter de lutter contre les tentations du quotidien, etc. En bref, tout me disait de renoncer à ce désir d’être un modèle qui glorifie Christ. Même si je savais que ces pensées ne venaient pas de Dieu, je n’arrivais pas à m’en défaire.

    Si cette situation te parle, la réponse de Dieu va peut-être te surprendre.

    « Abandonne ! ». Oui, Dieu veut que tu abandonnes tout à la Croix. Jésus n’a-t-il pas dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos » ? (Matthieu 11.28)

    La difficulté d’abandonner

    « C’est tellement facile à dire », me diras-tu. « En pratique c’est autre chose… ».

    Je te l’accorde, parfois, il suffit de prier une fois pour se sentir libérer d’un poids. Mais très souvent, il nous faut persévérer dans la prière.

    L’une des difficultés à abandonner une chose, réside en ce qu’elle implique de ne plus en vouloir. Alors qu’en réalité, on ne veut pas s’en séparer. Même si Dieu nous dit d’y renoncer, quel que soit le péché, notre chaire y tient.

    Du coup, lorsque l’on demande à Dieu de nous en libérer, une part de nous ne le souhaite pas réellement.

    On a peur que Dieu nous dise non.

    On peut prendre aussi le cas d’un projet d’avenir, du stress, du manque de confiance en soi etc.

    Quel que soit notre fardeau, Jésus nous demande de lui donner. Il est écrit dans sa Parole : « Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous. »     ( 1 Pierre 5.7).

    C’est paradoxal, mais stresser peut sembler plus rassurant que de chercher à garder les yeux sur Christ. Généralement on bloque sur le fait de « quitter », « lâcher » alors que renoncer signifie aussi « confier ».

    Tu n’es pas lâche si tu lâches prise

    « Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d’humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles. Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu’il vous élève au temps convenable ; et déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous. Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer » – 1 Pierre 5.6-8

    Pierre exhorte à s’humilier « sous la puissante main de Dieu ».

    Dans ce passage, on lit aussi que le diable fait tout pour nous en empêcher. David Platt, dans Suis-moi y répond en disant :

    " Le Dieu de l’univers est allé par-delà la dureté de notre cœur, il a vaincu notre résistance égoïste et notre rébellion, afin de nous sauver de nous-mêmes : voilà toute la gloire de l’Evangile ! "

    Une telle grâce met en lumière la merveilleuse démarche de Dieu envers nous et crucifie une fois pour toutes notre orgueil devant lui »

    Dieu mérite que tu pleures à ses pieds. Tu n’es pas lâche si tu lâche prise. Si tu n’as pas envie de renoncer, demande de l’aide à un frère/une sœur de confiance pour prier avec toi. Prier pour demander à Dieu d’avoir un cœur brisé face à ce qui lui déplaît dans ta vie (Psaumes 51.19). Souviens-toi de l’efficacité de la prière fervente.

    Ainsi, tout se résume en cette phrase de Jésus : « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive. » (Matthieu 16.24).

    La personne à abandonner : toi

    C’est à toi-même que tu dois renoncer. Tes intérêts, tes rêves, tes désirs doivent être en accord avec ceux de Dieu. Ton manque d’amour pour Dieu témoigne d’un trop plein d’amour pour toi-même. Tu n’as pas besoin d’être narcissique pour cela. Puisque souvent, on ne vit pas la pleine suffisance de Christ.

    « Fais de l’Eternel tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire. » (Psaumes 37.4)

    Plus haut je disais qu’il suffit parfois de prier une fois pour se sentir libérer d’un poids. J’ajouterai que le but n’est pas juste « d’être libérer d’un poids ». Il s’agit de « laisser sortir » la vie de Christ qui est en nous. Ni plus ni moins, d’après David Platt. Ça, c’est un travail quotidien.

     

    « C’est à l’Eternel qu’il te faut remettre tout ton avenir. Aie confiance en lui et il agira. » – Psaumes 37.5 

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