• Un sacrifice vivant

    Lundi 21 Octobre 2024

    Un sacrifice vivant

    "Je vous exhorte, frères, par les compassions de Dieu, à présenter vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui est votre service intelligent." Romains 12. 1 Version Darby

    Quelle est la réponse dans notre vie au sacrifice de Jésus-Christ pour nous ?

    S'offrir en sacrifice vivant, c'est incompréhensible pour l'homme naturel, cela semble irréaliste, même pour le chrétien. C'est à la fois un engagement, une obéissance de notre part et quelque chose chose qui vient de Dieu, qu'il opère en nous. Il s'agit de le vivre "selon la mesure de foi que Dieu a donné à chacun" (Romains 12. 3).

    « Offrir son corps », ce n'est pas remettre à Dieu seulement des choses extérieures, mais tout ce que l'on est, a commencer par notre coeur. C'est là que Dieu parle et verse son amour. Mais c'est aussi là que se dissimule toutes sortes de maux.

    « Offrir son corps », cela sous-entend les verbes, quitter, séparer, couper. C'est la dimension de la repentance qui permet au Royaume de Dieu de grandir en nous. Le reste, c'est Dieu qui le fait.

    Faire de la place pour Dieu nécessite d'enlever les obstacles. Certains de ces obstacles sont difficiles à ôter, car ils semblent faire partie de nous-mêmes. Des étapes nous imposeront de renoncer à des habitudes bien ancrées mais mauvaises. Ces renoncements nous ferons gagner bien plus que ce que nous avons « perdu ».

    Dans ce sacrifice de nous-mêmes, un autre mot est important : « mourir ». Christ set mort pour nous et nous sommes morts avec lui. La mort avec Christ (et pas seulement la mort de Christ à ma place !), c'est la délivrance du péché (Romains 6. 1-7). Tout chrétien a déjà expérimenté cette mort à sa conversion, de manière plus ou moins profonde. Plus je réaliserai ma mort avec Christ à la croix, plus grande sera l'action de l'Esprit dans ma vie.

    Pour être saint et agréable à Dieu, ce sacrifice vivant doit être vécu dans la plus grande vérité. En effet, on peut meurtrir la chair pour la satisfaction de la chair ou en pensant mériter plus de faveur de Dieu (1 Timothée 4. 1-3 ; Colossiens 2. 20-23). Dans ce cas, on se trompe sois-même et il n'y a pas de fruit. Il faut, au contraire, que ce soit l'oeuvre de Dieu en moi et non pas mon oeuvre.

    Source (Plaire au Seigneur)

    « Le prix de la paix !Tu n'es pas seul »
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