• Prédestinés à être semblables à l'image de Jésus

    Ce que j'ai vraiment sur le cœur, c'est que le Seigneur se sert de sa Parole pour nous faire du bien dans nos cœurs et pour nous faire avancer plus loin dans la connaissance du SEIGNEUR JESUS-CHRIST amen

    Vous savez combien le Seigneur est grand, combien Il est merveilleux, combien Il est immense, infini ; et la vie éternelle, c'est de Le connaître. Alors, mieux on Le connaît et plus on Le connaît, plus on a envie de Le connaître ; c'est ce qu'il y a normalement dans le cœur de ses brebis.

    Quand je pense dans mon cœur combien le Seigneur est immense et grand, et quelle est la part que je connais de son immensité, je me dis :

    "Tu auras besoin de toute l'éternité pour le connaître, et tu ne seras jamais ennuyé dans l'éternité de recevoir des révélations sur la profondeur de l'amour de Jésus."

    Mais, déjà sur la terre, le Seigneur veut que nous Le connaissions, et que nous le connaissions bien, parce que tellement de chrétiens mènent des vies difficiles.

    De toute façon nous avons des problèmes ; mais c'est comme s'ils vivaient dans un désert, et je me rends compte que s'ils sont dans le désert, ce n'est pas tellement que l'Esprit de Dieu les y a amenés, comme Jésus :

    c'est parce qu'ils ne connaissent pas vraiment le Seigneur au point de se rendre compte que là, dans le désert, le Seigneur est là avec eux, en eux, et que même dans les circonstances les plus difficiles, cette connaissance de Jésus nous remplit de Sa paix, de Sa joie.

    Cela nous arrive à tous, en tant qu'enfants de Dieu, de passer par des épreuves :

    nous ne serions pas sur cette terre si nous n'avions pas d'épreuves. 

    Mais de savoir que dans l'épreuve (le Seigneur les permet toutes) je peux avoir avec moi mon Seigneur que je connais, et qui me prend et qui me porte, et qui me dit :

    "Je suis avec toi : si j'ai permis ça, c'est que j'ai un plan ; ne t'inquiète pas, crois seulement."

    Pour croire en quelqu'un, il faut avoir confiance en lui, et souvent quand nous passons dans certaines épreuves, le malin peut être là pour nous dire

    : "Mais ton Dieu, il ne t'a pas un peu abandonné ?

    Ou :

    "Il ne s'occupe pas de choses plus importantes que ton problème à toi ?"

    Là ce n'est pas la voix du Seigneur ; vous le savez, la voix du Seigneur c'est

    : "Ne crains pas, crois seulement", et crois surtout qu'il va se révéler à toi si ton cœur le désire.

    J'ai entendu certains chrétiens dire dans l'épreuve :

    "Oh ! Au point où j'en suis maintenant, avec tout ce qui m'arrive, je me demande vraiment si Dieu m'aime autant que la Bible le dit, parce que s'Il m'aimait vraiment, Il ne me laisserait pas dans la situation où je me trouve."

    Vous comprenez la tristesse du cœur de Jésus, quand Il entend ça. Lui comprend tout, Il connaît tout, Il voit tout.

    Nous ne voyons que la portion qui nous est importante et que nous vivons en ce moment, mais nous n'avons pas l'intelligence de Dieu pour comprendre, et Dieu ne nous demande pas de comprendre. Il nous demande de croire qu'Il est là, et qu'Il nous aime.

    Alors est-ce que tu crois que Dieu t'aime ? 

    Amen ! 

    Est-ce que tu crois qu'il y a encore de la marge, pour comprendre encore plus combien Dieu t'aime ?

    Et comment !

    Je vais vous lire un petit passage dans Romains 8.

    Il y a quelque chose qui a révolutionné ma vie (beaucoup de choses ont révolutionné ma vie, mais il y en a une en particulier et j'en parle aussi souvent que le Seigneur me permet de le faire) : c'est ce petit verset de Romains 8.

    Pas le verset 28 parce qu'on le cite souvent :

    "Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu."

    Mais quand tu es là sous une montagne d'épreuves et de difficultés, il faut bien le comprendre dans l'Esprit du Seigneur.

    Parce que quand tu es devant une montagne de difficultés et qu'on te dit : "Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu", si l'on a reçu cette parole dans l'Esprit du Seigneur, dans le cœur, c'est bon, autrement ça fait un peu comme du vinaigre sur une blessure.

    Mais c'est le verset 29 qui a révolutionné ma vie, et ce verset, je ne l'ai pas compris le jour de ma conversion. Je vais vous le lire :

    "Car ceux qu'Il a connus d'avance, Il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils afin que son Fils soit le premier-né entre plusieurs frères."

    Il m'arrive, quand je lis ce texte, d'avoir la réaction de certains frères et sœurs qui me disent :

    "Oui, oui !

    Dans le ciel, tout le monde sera parfait, d'accord !"

    Mais là sur la terre, et là, Dieu nous parle à nous qui sommes sur la terre, et Il a besoin que nous croyons à Sa Parole et que nous croyons que lorsque il a dit :

    "Je t'ai prédestiné à être semblable à l'image de Jésus", 

    nous ne sommes appelés à être semblables à l'image de Jésus.

    Jésus est l'image du Père, Il a dit a ses disciples :

    "Quand tu me vois, tu vois le Père, le Père est en moi, je suis dans le Père.

    texte :H.M

    JÉSUS N'EST PAS UNE RELIGION... mais UNE RELATION VIVANTE amen.

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  • Seigneur, notre Dieu et notre Père, nous nous abattons en ta sainte présence, pour te demander le pardon de tous nos péchés, au nom de ton Fils Jésus-Christ, et pour te rendre grâces de ce que tu nous as fait passer heureusement la nuit, pour arriver jusqu’à ce jour. Fais, ô Dieu, que nous l’employons à ton saint service, et que toutes nos pensées, toutes nos paroles, et toutes nos actions s’y rapportent, à la gloire de ton saint nom et à l’édification de nos frères. Donne-nous, pour cet effet, ton Saint-Esprit, qui dissipe par sa lumière nos ténèbres, qui mortifie notre chair, qui dompte nos passions, qui change notre cœur, et qui nous conduise dans la droite voie de ta justice, afin que nous ne nous proposions point d’autre but que de te plaire, et que nous n’entreprenions rien qui ne te soit très agréable.

    Béni tout ce que nous ferons dans ce jour, fais que nous nous y avancions dans ta connaissance et dans ta crainte, et que travaillant pour la vie présente, nous pensions toujours à celle qui est à venir. Sois le Protecteur de nos corps et de nos âmes. Fortifie-nous contre toutes les tentations du diable, et garantis-nous de toute sorte d’accidents ; ou si tu nous y exposes, donne-nous la force de les supporter. Et ne permets pas que rien ne nous sépare jamais de ton amour.

    Aie pitié de ton Église, conserve celle dont nous sommes membres ; accorde ton secours à tous ceux qui en ont besoin. Répands tes plus précieuses grâces sur tous nos proches ; affermis-nous dans ta vérité ; augmente notre foi. Soutiens notre espérance et enflamme tellement nos cœurs d’un saint zèle pour toi que nous te soyons fidèles jusques à la mort, pour remporter la couronne de vie qui nous a été acquise par le sang de ton Fils, au nom duquel nous t’invoquons, en disant, notre Père (qui es aux cieux) etc.

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  • Seigneur Dieu, puisque tu as destiné la nuit au repos de l’homme comme tu as Créé le jour pour son travail, je te demande d’accorder à mon corps une nuit de repos et de faire que mon âme s’élève vers Toi et que mon cœur soit toujours rempli de ton Amour.

    Apprends-moi ô Dieu, à te confier tous mes soucis et à me souvenir sans cesse de Ta Miséricorde afin que mon âme puisse, elle aussi, jouir du repos spirituel. 

    Fais que mon repos ne soit pas excessif, mais qu’il serve à réparer mes forces, pour que je sois plus disposé à te servir. 

    Qu’Il te plaise également de me conserver pur dans mon corps et dans mon esprit, me préservant de toute tentation et de tout danger afin que mon sommeil lui-même puisse servir à la Gloire de ton Nom.

    Et puisque ce jour ne s’est point écoulé sans que je t’aie offensé en plusieurs manières, moi qui suis un misérable pécheur, veuille ô Dieu, de même que tu caches maintenant toutes choses dans les ténèbres de la nuit, ensevelir aussi tous mes péchés, selon ta Miséricorde, par Jésus-Christ mon Sauveur. Amen. 

    (Jean Calvin)

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  • Vous avez pris la résolution de tenir un culte personnel quotidien pour 2018 ? Vous êtes déjà en difficulté et vous demandez comment le tenir ? Avez-vous la bonne stratégie ?

     

    Prendre une grande résolution est important. La vie chrétienne est une vie de résolutions. Celle de tenir son culte personnel doit nous accompagner toute votre vie.

    Vous êtes peut-être nul en discipline personnelle ou vous partez de zéro, ça risque être dur à tenir…

    Pourquoi ? Parce qu’en fait, cette résolution implique plusieurs «sous-résolutions», comme : se lever plus tôt ou rentrer moins tard le soir, arrêter une autre habitude néfaste, lire quotidiennement, prier quotidiennement, écrire, etc.

    L’idée, est donc de découper votre grande résolution en X sous-résolutions qui vous permettront d’arriver à changer progressivement et durablement.

    Si votre grande résolution est l’étage que vous voulez atteindre, les sous-résolutions sont les marches qui vous y conduiront.

    Reformulez votre grande résolution :

    Si vous êtes partis en vous disant : « À partir d’aujourd’hui je veux faire un culte personnel tous les jours », je vous propose de le reformuler ainsi : « Cette année,  je vais apprendre à tenir un culte personnel quotidien. »

    Comment déterminer vos sous-résolutions ?

    Je trouve qu’un moyen simple d’y arriver est de travailler avec l’outil SMART, utilisé dans beaucoup de domaines.

    SMART est un acronyme qui aide à déterminer des objectifs intermédiaires :

    S : Simple

    Votre sous-résolution doit être claire, précise. Elle ne peut pas être divisée en d’autre sous-objectifs.

    Par exemple : lire tous les jours la Bible. Simple et précis.

    M : Mesurable

    Votre sous-résolution doit vous permettre de savoir si vous aurez atteint ou non le but, qualitativement ou quantitativement. Par exemple : lire tous les jours 1 chapitre de la Bible.

    A : Approprié

    Vous devez vous assurer que votre sous-résolution est appropriée pour vous. Pas trop ambitieuse, mais qui vous challenge.

    Est-ce que cela représente un vrai défi ? Est-ce que cela est atteignable ? Est-ce que je ne me mets pas en échec ? Est-ce assez motivant ?

    R : Réaliste

    Avez-vous les moyens réels de tenir la lecture d’1 chapitre par jour (l’emploi du temps, le rythme de vie, l’énergie) pour tenir cette sous-résolution ?

    T : Temporellement défini

    Fixer une durée permet de vous encourager. Exemple : lire 1 chapitre de ma Bible, tous les matins et pendant un mois.

    Concrètement, qu’est-ce que cela va donner ?

    Vous avez fixé votre grande résolution : En 2018, je veux apprendre à tenir un culte personnel tous les jours.

    Déterminez combien de sous-résolutions cela va impliquer en les vérifiant avec SMART.

    Par exemple :

    Mois 1, sous-résolution: me lever tous les jours 20 min plus tôt + lire 1 chapitre de ma Bible.

    Mois 2, sous-résolution: ajouter un temps de prière de 10 min.

    Mois 3, sous-résolution: passer à 2 chapitres pendant un mois pour tester si j’ai toujours autant de plaisir.

    Mois 4, sous-résolution: m’organiser pour ajouter 5 min à mon culte pour prendre des notes car j’ai tendance à oublier ce qui m’a parlé la veille.

    Ainsi de suite, jusqu’à ce que vous ayez trouvé la forme de culte qui vous correspondra.

    Conseil : à la fin de chaque mois, faites un petit bilan. Évaluez ce qui a marché ou pas et réajustez pour le mois suivant.

    Enfin, ne perdez pas de vue le but de votre culte personnel: connaître le Père en passant du temps dans son intimité afin de l’aimer de plus en plus.

    Et vous, quelles sont vos stratégies pour tenir votre culte personnel ?

    Raphaël Charrier

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  • D’après le conte « Les trois arbres », conte traditionnel russe : Sur une montagne, trois arbres rêvent. Le premier voudrait devenir un coffre renfermant un immense trésor, le second voudrait être un navire commandé par le plus grand roi de la terre et le dernier voudrait devenir si grand qu’il pourrait toucher le soleil. Un jour, trois bûcherons viennent couper les trois arbres… Ils ne se doutent pas des déceptions et des joies qu’ils vont connaître. Ce conte est proposé pour accompagner le cours de l’année qui va de Noël jusqu’à Pâques ; le premier arbre deviendra le berceau de Jésus et comprendra sa destinée… Il guidera notre de l’Avent. Ce qui arrivera au deuxième et au troisième arbres pourrait être lu dans l’année et avant le Carême, puisque le troisième arbre deviendra la croix. L’écriture poétique du texte et l’intensité du symbolisme sont au service de chaque ambiance pour trouver le chemin qui mène au printemps du cœur. Pour en savoir plus et disposer de visuels : -- Valise de Noël : Trois arbres pour un Prince, version de M. Bazin, illustrations J. d’Abbadie (Ed. Tequi Coll. Les Petits Pâtres) -- Les trois arbres, conte traditionnel illustré par T. Jonke (Centurion) -- Les trois arbres « Voyage au long cœur » J. Humenry (Coll. Mille textes ) -- Les trois arbres, d’après un conte russe E. Noyer (Symétrie) LES TROIS ARBRES De la version de Jean Humenry, Les trois arbres «Voyage au long cœur » collection « Mille textes » « Il était une fois sur une montagne, trois petits arbres qui discutaient de ce qu’ils feraient quand ils seraient devenus grands. Le premier petit arbre émerveillé par les étoiles et la lune disait : « Moi, quand je serai grand, je voudrais qu’on me transforme en coffre à trésor et qu’on me remplisse d’or et de toutes les plus belles pierres précieuses du monde. » Le deuxième petit arbre qui aimait à regarder scintiller sous la lune les eaux claires de la rivière avant qu’elle ne se jette au loin dans les vagues d’écume de la mer disait : « …Je voudrais qu’on me transforme en un formidable trois-mâts… commandé par un vaillant capitaine… et affronter tous les océans du monde. » Le troisième petit arbre se plaisait à regarder les lumières des villages qui brillaient dans les yeux des enfants aux jours de fête : « Moi, quand je serai grand, je voudrais être encore plus grand que grand et tellement grand que chaque fois que l’on me regardera, on sera obligé de lever très haut les yeux et comme cela, on pensera à Dieu »… Le temps s’écoula longtemps au grand sablier de la montagne, au murmure des sources, au clapotis des ruisseaux. Les printemps succédèrent aux hivers, puis laissèrent la place aux étés. Les trois petits arbres avaient changé, pris de la force, de la stature, un tronc vigoureux, des branches et des branchages. Un matin d’automne, des voix résonnèrent sur le sentier. Les oiseaux firent silence… les arbres se mirent à trembler de toutes leurs feuilles… Trois bûcherons s’approchèrent des arbres. Le premier bûcheron regardant le premier arbre le déclara parfait et à grands coups de hache le fit tomber sur le sentier. Le deuxième bûcheron voyant le deuxième arbre le trouva vigoureux et à grands coups de hache le coucha sur le sol boueux. Le troisième bûcheron se chargea du troisième arbre et à grands coups de hache il le fit culbuter dans l’allée. Les trois arbres gisaient maintenant sur le flanc de la montagne. Chacun sous son écorce imaginait la suite de son destin. Le premier arbre allait enfin pourvoir vivre le rêve de sa vie. Il se retrouverait bientôt dans la bonne odeur de colle et de copeaux de bois de l’atelier du menuisier. Mais il ne savait pas encore que dans les commandes du jour ne figurait pas le moindre coffre à trésor… mais seulement des mangeoires pour les animaux… Après deux jours et deux nuits de voyage, le deuxième arbre allait enfin se retrouver sur les galets gris du chantier naval. Les cris aigus des mouettes lui tournaient déjà la tête. Il ne pouvait pas encore se douter de la mauvaise surprise qu l’attendait…Pas un seul armateur n’avait passé commande pour un trois-mâts…Seul un pêcheur avait passé commande pour une petite barque de pêche… Quand au troisième arbre qui n’était plus que désespoir, on le débita en poutres qu’on mit à sécher le long d’un mur chez un charpentier. Beaucoup de mois, beaucoup d’années passèrent sur les rêves détruits des trois arbres. Beaucoup d’insectes dans leur bois, beaucoup d’araignées, beaucoup de poussières, beaucoup de désespérance… Les arbres avaient fini par oublier leurs rêves. Ils avaient cicatrisé. Ils s’étaient installés dans les torpeurs de l’habitude. Ils n’attendaient plus rien… Le premier arbre, devenu mangeoire, ne sentait même plus la caresse des animaux tirant sur le foin…Quand une nuit d’hiver, la douce lumière d’une étoile se posa sur lui. Un jeune homme et une jeune femme vinrent s’abriter dans l’étable. Au milieu de la nuit, la jeune femme mit au monde un bébé que l’homme coucha dans la mangeoire. Ainsi le premier arbre comprit que son rêve se réalisait. Encore bien des coups de vent, des jours de pluie, des hivers glacés passèrent sur les rives du lac où le deuxième arbre devenu petite barque de pêcheur pourrissait lentement dans une mauvaise odeur de poisson… Lorsqu’un soir d’été, un groupe d’hommes voulut traverser le lac : ils embarquèrent et soudain, au milieu du lac, une tempête se leva comme on n’en avait jamais vu. L’homme qui semblait être le chef se leva dans la barque, tendit les bras et calma la tempête. Ainsi le second arbre comprit que son rêve se réalisait. Peu de temps après cet événement, la ville se mit à résonner d’une étrange rumeur : les gens étaient énervés, on entendait des cris, des bottes de soldats, ça sentait la violence, la vengeance, l’injustice… Des hommes vinrent tirer de son hangar et de sa torpeur le troisième arbre transformé en poutres… Ils mirent ses poutres en croix, et sur cette croix ils clouèrent le Fils de l’Homme. Le troisième arbre sut alors que son rêve se réalisait puisque désormais chaque fois qu’on le regarderait, on penserait à Dieu.

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