• Noël est l'occasion de se souvenir que le plus beau des cadeaux est venu à nous sous les traits d'un enfant.

    Dans la ville de David est né un Sauveur qui est le Messie, le Seigneur (Luc 2.11).

    Pourquoi ne pas lire cette prière d'un puritain pendant ce temps particulier ?

    Que pourrais-je donner en échange du cadeau des cadeaux, ton propre cher Fils, engendré, non créé, mon rédempteur, mon intermédiaire, ma sécurité, mon substitut, qui s’est dépouillé de manière incompréhensible, qui aime d’un amour infini, au-delà de ce que le cœur peut comprendre.

    Voici la merveille des merveilles ; il s’est abaissé pour me relever, il est né comme moi pour que je devienne comme lui.

    Voilà ce qu’est l’amour ; quand je ne peux pas m’approcher de lui, il étend ses ailes de grâce, pour m’élever près de lui.

    Voilà ce qu’est la puissance ; alors que la divinité et l’humanité étaient infiniment séparées il les a unies dans une indissoluble unité, l’incréé et le créé.

    Voilà ce qu’est la sagesse ; quand j’étais fini, sans volonté pour retourner à lui, et sans intelligence pour trouver la guérison, il est venu, Dieu-incarné, pour me sauver, à l’extrémité, pour mourir à ma place comme un homme pour verser en ma faveur du sang qui satisfasse, pour me procurer une parfaite justice.

    Ô Dieu, ravis-moi en esprit vers les bergers qui veillent, et élargis mon esprit, fais moi entendre de bonne nouvelles de grande joie, et entendre, croire, me réjouir, louer et adorer, ma conscience baignée dans un océan de repos, mes yeux tournés vers un Père réconcilié, place-moi avec le bœuf, l’âne, le chameau et la chèvre, pour regarder avec eux le visage de mon Rédempteur, et en lui me savoir délivré du péché ; laisse-moi, avec Simeon, serrer le nouveau-né contre mon cœur, l’étreindre avec une foi sans faille, exulter qu’il soit mien et que je sois sien.

    En lui tu m’as tant donné, que le paradis ne peut me donner davantage.

    – The Gift of Gifts, The Valley of Vision

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Seigneur Dieu, puisque Tu as destiné la nuit au repos de l’homme comme Tu as Créé le jour pour son travail, je Te demande d’accorder à mon corps une nuit de repos et de faire que mon âme s’élève vers Toi et que mon cœur soit toujours rempli de Ton Amour.

    Apprends-moi ô Dieu, à Te confier tous mes soucis et à me souvenir sans cesse de Ta Miséricorde afin que mon âme puisse, elle aussi, jouir du repos spirituel. 

    Fais que mon repos ne soit pas excessif, mais qu’il serve à réparer mes forces, pour que je sois plus disposé à Te servir. 

    Qu’Il Te plaise également de me conserver pur dans mon corps et dans mon esprit,  me préservant de toute tentation et de tout danger afin que mon sommeil lui-même puisse servir à la Gloire de Ton Nom.

    Et puisque ce jour ne s’est point écoulé sans que je T’aie offensé en plusieurs manières, moi qui suis un misérable pécheur, veuille ô Dieu, de même que Tu caches maintenant toutes choses dans les ténèbres de la nuit, ensevelir aussi tous mes péchés, selon Ta Miséricorde, par Jésus-Christ Mon Sauveur. Amen. 

    (Jean Calvin)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Prier, c’est difficile. Il faut prendre du temps pour ça. Et puis il faut savoir pour quoi prier. On a souvent tendance à dire les mêmes mots, à répéter les mêmes paroles. « Seigneur, bénis le monde entier (et surtout moi) ! Amen. »

    Bon, c’est peut-être exagéré, mais nos prières ressemblent parfois à ça.

    Pourtant, d’après les exemples de prières qu’on a dans la Bible, la prière n’est pas uniquement ce que l’on croit être. Prier, ce n’est pas que demander.

    Dans la Bible, nous pouvons observer différents types de prières dont nous pouvons nous inspirer pour une vie de prière rafraichie.

    #1 – La prière de confession

    En tant que chrétiens, on sait que Dieu est Saint, totalement pur, sans la moindre faute. On sait qu’il ne peut pas voir ni tolérer le mal (Habakuk 1.13). Et on sait aussi que nous ne sommes pas parfaits, purs et sans fautes. Alors comment pouvons-nous, pécheurs que nous sommes, nous adresser à Dieu ? Le fossé est énorme !

    Dans nos prières, prenons le temps de reconnaître ce fossé qui existe.

    Soyons conscients de notre état, et demandons pardon au Dieu que nous avons offensé. Confessons-lui nos fautes et nos manquements, qui sont graves à ses yeux, et implorons sa grâce comme David l’a fait :

    « Ô Dieu, fais-moi grâce conformément à ta bonté ! Conformément à ta grande compassion, efface mes transgressions ! » – Psaumes 51.3

    Un bon exemple de prière de confession c’est justement la prière de David qui nous est rapportée dans le Psaume 51.

    #2 – La prière d’adoration

    Nous ne méritons pas le pardon de Dieu, mais il nous le donne gratuitement. Nous l’avons offensé, mais il efface nos fautes. Nos cœurs sont souillés et impurs, mais il les rend blancs comme la neige. Et tout cela parce que Christ a payé ce que nous méritions. Parce que Jésus est mort et ressuscité pour que nous soyons totalement justes devant Dieu. En Jésus, Dieu punit le péché pour pouvoir pardonner au pécheur.

    N’est-ce pas merveilleux ?!

    Après avoir obtenu le pardon immérité de Dieu, nous pouvons nous émerveiller et lui dire : gloire à ton nom ! En nous plongeant dans les merveilles de l’Évangile, laissons nos cœurs tomber dans l’adoration envers celui qui nous a tant aimés.

    L’adoration, c’est aussi apprendre à connaître Dieu d’avantage et le louer pour ce qu’il est : juste, saint, aimant, en colère contre le mal, plein de grâce, rempli de compassion, tout-puissant, … Bref, c’est rendre un culte au grand Dieu que nous avons.

    Deux exemples dans le livre de l’Apocalypse (parmi beaucoup

    d’autres !) :

    « Tu es digne, notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire, l’honneur et la puissance, car tu as créé toutes choses et c’est par ta volonté qu’elles ont été créées et qu’elles existent. » – Apocalypse 4.11

    « L’Agneau qui a été offert en sacrifice est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire et la louange. » – Apocalypse 5.12

    #3 – La prière d’action de grâces

    Je suis presque sûr que tu connais ce cantique :

    « Compte les bienfaits de Dieu, Mets-les tous devant tes yeux,

    Tu verras, en adorant, Combien le nombre en est grand. »

    La prière d’action de grâces, c’est ça. C’est remercier Dieu pour tout ce qu’il est et tout ce qu’il fait dans ta vie. Bien sûr, le bienfait le plus grand est le salut qu’il nous a accordé en Jésus. C’est ce qu’on a vu juste au-dessus, et c’est la source de toutes choses dans nos vies. Ce sujet de reconnaissance devrait être constamment dans nos cœurs et sur nos lèvres.

    Mais il y a aussi plein d’autres choses que Dieu te donne, et pour lesquelles tu peux être reconnaissant. Compte les bienfaits de Dieu, tu verras qu’ils sont nombreux ! Dans sa prière pour les philippiens (Philippiens 1.3-11), Paul mentionne certains sujets de reconnaissance à leur égard. Un bon exemple pour nous !

    Et si on prenait le temps de dire merci à Dieu et de lui exprimer notre reconnaissance ? Contrairement à ce qu’on pense souvent, c’est loin d’être une perte de temps.

    #4 – La prière d’intercession

    Quand on parle de prière d’intercession (ou de requêtes), oublions la liste de courses et ne prions pas que pour nous non plus. En revanche, on peut prendre exemple sur les prières de l’apôtre Paul qu’on trouve au début de certaines de ses épîtres. Par exemple dans Éphésiens 1.15-23 ou Colossiens 1.9-14 – wow, ça ce sont de vraies prières !

    Quelle était la priorité de Paul quand il priait pour ses frères et sœurs ?

    Leur croissance spirituelle. Ça ne veut pas forcément dire qu’il ne priait pas pour autre chose. Mais ce qu’il jugeait le plus utile et le plus important à mentionner, c’était la croissance spirituelle de ses frères et sœurs. Et si on prenait exemple sur lui ?

    Voilà quelques idées de ce que tu peux demander à Dieu pour tes frères et sœurs (et pour toi) :

    •  Que Dieu le/la remplisse de toute joie et de toute paix, pour qu’il/elle déborde d’espérance (Romains 15.13).
    •  Qu’il/elle puisse croître dans la grâce et la connaissance de Jésus-Christ (2 Pierre 3.18).
    •  Qu’il/elle comprenne et apprécie mieux l’Évangile, l’amour merveilleux de Christ (Éphésiens 3.16-19).
    •  Pour qu’il/elle puisse parler de l’Évangile autour de lui avec assurance (Éphésiens 6.19-20).
    •  Qu’il/elle puisse discerner ce qui est essentiel (Philippiens 1.9-11).
    •  Que Dieu accomplisse en lui/elle tout désir de faire le bien (2 Thessaloniciens 1.11-12).
    •  Qu’il/elle ait plus d’amour pour la Parole de Dieu, selon le Psaume 119.
    •  D’autres idées/versets à ajouter ? Partage-les nous en commentaire !

    Ces 4 types de prières peuvent nous aider à rafraîchir nos vies de prière et à éviter la liste de courses. Et quand tu ne sais pas quoi prier ou que tu es en panne sèche : ouvre ta Bible et regarde les exemples de prière qui nous sont rapportés.

    C’est un très bon moyen de nous aider à renouveler nos prières !

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Si vous voulez lire l'article en entier, voici le lien : https://www.connaitrepourvivre.com/single-post/les-500-ans-de-la-reforme-protestante

    Quels étaient les principaux acteurs de la Réforme en Europe ?

    Au début du XVIIème siècle, les piliers de la Réforme Protestante ont mené leur œuvre en Europe du nord-ouest. Le pasteur Martin Luther en diverses villes d’Allemagne, Ulrich Zwingli en Suisse à Zurich qui a fondé le mouvement Mennonite dont je suis issus, et en France, Martin Bucer à Strasbourg et plus tard Jean Calvin à Paris, ainsi qu’à Genève en Suisse quand il eut à fuir la persécution.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • A l'école du saint-Esprit, il y a beaucoup à apprendre. Certaines leçons sont plus difficiles que d'autres, mais se sont presque toujours les plus précieuses. La plupart des enfants de Dieu n'ont pas encore appris la leçon qui nous occupe aujourd'hui ; elle n'est pas facile mais, aussitôt mise en pratique, elle donne d'excellents résultats.

    En voici le texte qui nous révèle un mystère caché dans les Saintes Écritures :

    Rendez continuellement grâces pour toutes choses à Dieu le Père, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ (Éphésiens 5 : 20).

    "Rendez continuellement grâces pour toutes choses à Dieu"

    Combien il est facile de remercier et de louer le Seigneur pour les événements heureux de notre vie ! Pour les merveilleux exaucements de prières, pour la grâce divine pourvoyant à nos besoins matériels, pour les bénédictions rafraîchissantes, telles les ondées du printemps sur le sol altéré, pour les glorieuses expériences spirituelles et les preuves quotidiennes de la bonté et de la fidélité de Dieu. Mais les choses changent, quand il s'agit de le louer pour les épreuves, les maladies, les pertes, les revers et pour tout ce qui est de nature et nous déplaire. Cependant, le verset ci-dessus inclut l'un et l'autre.

    Le jour de la Fête des moissons, une série de réunions commença dans une certaine ville. Je fut conduit par l'Esprit de Dieu à prêcher, ce soir-là, sur le texte déjà cité : "Donner continuellement grâces pour toutes choses à Dieu". Il se trouvait, dans l'assemblée, une femme atteinte d'une terrible affection aux yeux dont elle avait souffert toute sa vie. Elle portait les plus fortes lunettes qui soient, mais ne pouvait lire plus de cinq minutes de file - elle réservait toujours ces minutes à l'étude de la Bible - après quoi, elle devais cesser car ses yeux lui brûlaient comme si on leur avait appliqué un fer incandescent. Bien des prédicateurs avaient prié pour elle sans résultat visible.

    Un matin, elle se souvint de ma prédication sur la puissance de la louange. Elle se mit à prier : "Seigneur, je te remercie de toutes mes souffrances que m'occasionne cette maladie des yeux". Elle était encore à genoux quand, soudain, la puissance de Dieu descendit sur elle et elle fut guérie instantanément et pour toujours de cette pénible et douloureuse affection.

    Par l'obéissance pratique à l'exhortation divine : "Rendez continuellement grâces pour toutes choses à Dieu le Père", elle obtint la délivrance. M. N. n'eut plus besoin de lunettes, elle put lire sans douleur et sans difficulté les plus petits caractères pendant des heures. En réponse à l'action de grâce et à la louange, Dieu avait accordé une parfaite guérison. Là où la prière échoue en apparence, c'est la louange qui obtient le succès. Au reste, la louange n'est-elle pas l'expression la plus élevée de la foi qui est agréable à Dieu ? Dieu n'est-il pas contraint, en quelque sorte, d'honorer une telle foi ?

    La louange ne remplace nullement la prière, elle en est plutôt le soutien. La proportion entre la prière et l'action de grâce se trouve dans les Psaumes. Nous y lisons : "Le soir, le matin et à midi je soupire et je gémis et il entendra ma voix" (Psaume 55 : 18). David déclare ainsi sa décision de prier trois fois par jour. Combien de chrétiens pensent encore qu'il est suffisant de prier une seule fois dans la journée !

    "Sept fois par jour je te célèbre à causes des lois de ta justice" (Psaume 119 : 164). C'est ici que nous nous trouvons à quelle échelle Dieu mesure la louange et la prière : Plus du double de louange que de prière ! N'avons-nous pas, pour la plupart, interverti ces propositions et ne prions-nous pas deux fois plus que nous ne louons le Seigneur ?

    J'étais agenouillé en prière dernièrement et, il me semblait entendre la voix divine : Si mon peuple savait mieux me louer, il aurait moins de requêtes de prière à présenter. Voilà qui serait un bon principe. Si nous le louions davantage, Dieu pourrait œuvrer de telle manière, qu'il répondrait à nos besoins avant même que nous les lui ayons exposés.

    Nombreux sont les chrétiens qui recommencent toujours à prier pour les mêmes sujets, sans se voir jamais exaucés. Ils se détournent finalement, découragés, parce qu'il ont perdu la foi. Si tu te trouves précisément dans cet état, ami lecteur, remercie Dieu, car il veut t'indiquer encore un autre chemin. Commence à le louer pour la situation désagréable dans laquelle tu te trouves et dont tu voudrais tellement sortir. Loue-le justement pour ce qui t'oppresse et te fait souffrir et attends-toi à lui car il interviendra merveilleusement et préparera une issue miraculeuse qui te plongera dans l'admiration.

    Une missionnaire, sur une station en Chine, se trouvait atteinte de petite vérole, le fléau si redouté en Asie orientale. Au moment où sa fin paraissait proche, Dieu lui donna une vision : Elle vit une immense balance dont les plateaux étaient remplacés par deux grandes corbeilles ; sur l'une d'elles était écrit : "Prières" et sur l'autre : "Louanges". Elle remarqua que la corbeille des louanges se trouvait tout en haut, tandis que celles des prières touchait le sol. On avait beaucoup intercédé pour son rétablissement, mais elle allais apparemment toujours plus mal. Elle fit alors appel aux missionnaires de la station et leur demanda de louer et de remercier le Seigneur de tout leur cœur. Ses amis pensèrent qu'elle délirait et que sa fin approchait. Cependant, ils se mirent tous ensemble à louer Dieu.

    La vision apparu à nouveau à cette missionnaire et elle vit la corbeille des louanges descendre lentement. Elle s'écria aussitôt : "Mes amis, remplissez complètement la corbeille de louanges !" Les assistants continuèrent à faire monter à Dieu leur accents de reconnaissance et d'adoration, jusqu'à ce que, pour la troisième fois, la vision apparut à la malade. Au moment où la corbeille arriva tout en bas, la puissance de Dieu vint sur la missionnaire et elle fut instantanément guérie de ce terrible mal.

    Peu après, elle se vêtit, descendit dans la rue où elle prêcha pendant une demi-heure, sans ressentir le moindre malaise. La louange en commun avait attiré la puissance de Dieu et fait disparaître de son corps toutes traces de maladie.

    Mlle S. par sa consécration et son dévouement à la cause du Seigneur, fut un instrument choisi par lui pour le ministère de la prédication et celui de la littérature chrétienne ; elle fut en grande bénédiction à ses semblables.

    Elle venait d'organiser une série de conférences dans une certaine ville, quand, subitement, elle fut victime d'un accident et dut être reconduite chez elle en proie à de grandes souffrances. Dans sa maison demeurait un athée convaincu qui, en admirant la profondeur de pensées de cette chrétienne, n'en rejetait pas moins la prédication évangélique. Il était présent lorsqu'on la ramena chez elle et lui offrit d'appeler un médecin et d'en payer lui-même les honoraires. Elle déclina aimablement son offre et lui laissa entendre qu'elle avait un docteur privé. Comme il insistait pour savoir son nom, elle répondit sans crainte : Son nom est "Jésus Christ". Fâché de sa réponse, il partit et alla discuter de la chose avec un de ses amis.

    Tandis qu'allongée sur son lit, elle était aux prises avec les plus terribles souffrances, le Seigneur lui dit : "Rendez grâces en tout temps pour toutes choses !". Après un bref combat intérieur, elle obéit et commença à louer le Seigneur pour ses souffrances et à le remercier d'avoir permis cet accident à un moment qui lui semblait si inopportun. Tandis que, de son cœur, s'élevaient des accents de reconnaissance et d'actions de grâces ; l'Esprit de Dieu vont sur elle, et elle sentit une main se poser sur les endroits douloureux de son corps meurtri. À l'instant même, toute souffrance disparut et l'enflure se mit à diminuer à vue d’œil. Elle se leva et remercia le Seigneur de la guérison qu'il venait de lui accorder.

    Peu après, le voisin de Mlle S. entra et fut stupéfait de la trouver entièrement guérie et remplie d'une joie indicible. Il demanda ce qu'il était arrivé.

    - Je viens d'avoir la visite de mon docteur privé, répondit-elle et il m'a remise sur pied.

    L'athée fut tellement saisi de ce témoignage qu'il se retira chez lui et accepta Christ dans sa vie. Il raconta son expérience à son ami athée, et celui-ci se donna également à Christ. Au premier abord, il eût parut incompréhensible de louer pour un tel accident, mais quand on réalise qu'il a été le moyen de la conversion de deux athées, le mot incompréhensible n'a plus sa place ici.

    David s'écrie au Psaume 37, verset 4 : "Fais de l'Éternel tes délices et il te donnera ce que ton cœur désire". Nos louanges et nos actions de grâces sont la preuve que nous faisons de lui nos délices et que nous approuvons ses plans et sa volonté à notre égard. Rien ne lui est plus agréable qu'une telle attitude intérieure. La louange remporte la victoire. C'est pourquoi, David déclare au Psaume 34 : 2 : Je louerai le Seigneur en tout temps. Sa louange sera toujours dans ma bouche.

    C. S. Tubby

    Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique