• Lundi 11 Mars 2024

    Je te célèbre car je suis une créature merveilleuse. Tes œuvres sont des merveilles et mon âme le reconnaît bien. Psaume 139.14

    Le syndrome de Stendhal

    En 1817, le célèbre écrivain Stendhal relate l’expérience qu’il a vécue à Florence en visitant la basilique Santa Croce : « J’étais arrivé à ce point d’émotion où se rencontrent les sensations célestes données par les Beaux-Arts et les sentiments passionnés (Rome, Naples et Florence)... » Ce syndrome qui porte son nom est, d’après le psychologue Rodolphe Oppenheimer, caractérisé par une admiration sans borne pour une œuvre d’art dont l’impression de sublime finit par déborder émotionnellement.

    Bien que les effets observés aient un côté pathologique non souhaité, et soient insuffisants pour nous faire connaître Dieu, je m’interroge sur notre capacité d’émerveillement. Ne sommes-nous pas facilement blasés, insensibles aux beautés de la création et de notre monde ? Platon rapporte (en donnant la réplique à Socrate dans le Théétète-Parménide) que la sagesse commence dans l’étonnement. Timothée Keller, auteur chrétien contemporain, s’exprime ainsi : « Craindre le Seigneur, c’est être submergé d’émerveillement devant la grandeur de Dieu et son âme. »

    Puissiez-vous vous extasier devant les petites et les grandes choses ! Et aussi être éblouis par ce que Jésus-Christ a accompli pour vous à la croix en vous offrant un si grand salut ! Les œuvres de Dieu sont merveilleuses... Voulez-vous le reconnaître ?

    Isabelle Kozycki

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    Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens, chapitre 1, versets 3 à 10.

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  • Dimanche 10 Mars 2024

    Il nous a délivrés du pouvoir des ténèbres et nous a transportés dans le royaume de son Fils bien-aimé. Colossiens 1.13 Version Nouvelle Segond Révisée

    Des chemins nouveaux dans les cités pittoresques

    Dans le passé, cette cité au creux d’une vallée était traversée par des cours d’eau, avec des rues mal éclairées, humides, des chaussées irrégulières. Durant les étés, les guides relatent aux groupes de touristes l’histoire et les conditions de vie des siècles passés.

    Aujourd’hui, la rivière centrale est bien canalisée et recouverte, les maisons en bordure profitent désormais de la lumière, et les promeneurs déambulent librement sur une chaussée bien plane. Quelles transformations heureuses se sont opérées depuis les époques antérieures !

    De même, pour le pécheur racheté, son état ancien de ténèbres passe à la lumière et il rend grâce à Dieu. Par la rédemption en Christ, il obtient la rémission de ses péchés. Si les aménagements actuels de la vallée impressionnent, et si les embellissements réjouissent les touristes, Christ opère un changement bien plus époustouflant dans les pécheurs qui deviennent ses rachetés.

    Alors comme les Colossiens, rendons grâces à Dieu le Père pour tout cela ! Et soyons en particulier reconnaissants envers son Fils Jésus-Christ, qui a tout accompli pour nous amener au Père céleste et pour nous délivrer de la puissance des ténèbres.

    Bernard Fourmont

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    Lecture proposée : Psaume 121.

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  • Samedi 9 Mars 2024

    Ne dis pas en ton cœur : C’est à cause de ma justice que l’Éternel me fait entrer en possession de ce pays. Deutéronome 9.4

    Merci pour la grâce

    Si la vie nous sourit, et que nous goûtons ses bienfaits, il est facile de croire que Dieu bénit parce que nous le méritons.

    Israël pouvait penser que la bénédiction d’être passé des souffrances de l’esclave en Égypte, à l’état de peuple libre sur la terre promise, signifiait qu’il était juste et agréable à Dieu.

    Mais l’histoire a montré que ce peuple n’était pas meilleur qu’un autre, et n’a pas su plaire à Dieu. Pour Dieu, nos œuvres de justice sont comme un vêtement souillé (Ésaïe 64.5) dit le prophète. Il faut rejeter la pensée que Dieu serait notre débiteur, qu’il devrait bénir ou sauver en raison de nos prétendus mérites, qui viendraient de nos œuvres ou de nos souffrances.

    Dieu bénit et sauve, non qu’on le mérite, mais par amour et compassion.

    S’il devait n’être qu’un comptable de nos bonnes et mauvaises actions, nous déclarant apte ou pas au paradis selon que notre compte soit créditeur ou débiteur, ce serait dramatique : notre sort éternel dépendrait du verdict d’un être sec, sans affection.

    Mais maintenant, comme notre salut repose sur l’œuvre de Jésus son Fils, nous sommes de bénéficier de l’amour et de la compassion de Dieu. Béni soit le Seigneur de ce qu’il a voulu se faire connaitre en nous accordant sa grâce, et non des mérites, car ainsi il nous ouvre son cœur !

    Francis Rivère

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    Lecture proposée : 1ère lettre de Jean, chapitre 4, versets 7 à 11.

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  • Vendredi 8 Mars 2024

    Les projets que j’ai conçus en votre faveur, déclare l’Éternel : ce sont des projets de paix et non de malheur, afin de vous assurer un avenir plein d’espérance. Jérémie 29.11 Version Bible du Semeur

    Un avenir plein d'espérance !

    Oui, c’est ce que Dieu nous offre aujourd’hui, voyez plutôt. Par la bouche de Jérémie, Dieu dit dans les versets suivants : Alors vous m’invoquerez et vous viendrez m’adresser vos prières, et je vous exaucerai. Vous vous tournerez vers moi et vous me trouverez lorsque vous vous tournerez vers moi de tout votre cœur. Je me laisserai trouver par vous ; l’Éternel le déclare.

    Un avenir plein d’espérance dans notre monde perturbé ? Oui car Dieu vous aime : il a envoyé Jésus, son Fils, pour nous délivrer du péché et nous libérer du mal.

    De l’espérance aussi, car Dieu entend la prière de celui qui crie à lui et qui se repent de ses fautes.

    L’espérance encore, car Dieu se laisse trouver si vous le cherchez de tout votre cœur. Qui que vous soyez, il vous accueille si vous vous approchez de lui.

    Cette espérance est durable : Dieu ne change pas, il ne renie pas ses promesses. Elle est pour l’éternité : il vous donne la vie éternelle si vous reconnaissez Jésus-Christ comme celui qui a donné sa vie pour vous, à la croix, et si vous placez votre confiance en lui.

    Priez donc avec confiance : « Dieu, je me tourne vers toi. Cet avenir plein d’espérance, accorde-le-moi. Apprends-moi à te connaître. »

    Théophile Hammann

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 6, versets 35 à 51.

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  • Jeudi 7 Mars 2024

    Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. 1 Jean 1.9

    Double spontanéité

    Ce matin-là, Nathanaël, notre petit fils de quatre ans, suit sa mamie partout. Quand elle va dans la chambre pour ranger du linge, le petit l’escorte comme son ombre...

    Pendant que mamie s’affaire dans l’armoire, l’enfant saisit une tirelire « poisson-clown » en céramique sur la table de chevet. Il s’approche de sa grand-mère en lui montrant sa découverte. « Oh, fais attention, c’est fragile ! », lui dit-elle en le voyant. Au moment où il veut reposer l’objet, celui-ci glisse de ses mains et se brise au sol. Catastrophé, Nathanaël dit aussitôt : « Je regrette, mamie ! » Immédiatement, elle le prend dans ses bras en l’assurant de son pardon...

    Ce qui est remarquable, c’est l’empressement du repentir et, comme un écho, celui du pardon ! Cette double spontanéité est exactement le tableau décrit dans la promesse de l’Évangile : Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous, écrit l’apôtre Jacques (Jacques 4.8). L’enfant c’est nous, et l’adulte qui veille sur nous, c’est Dieu qui, par Jésus-Christ, a pris forme humaine pour que nous le suivions. Par son sacrifice sur la croix, il nous invite à nous approcher de Dieu avec assurance (Hébreux 4.16).

    Nous sommes appelés à lui demander pardon pour nos fautes, et à croire qu’il nous répond favorablement dans sa spontanéité d’amour.

    Dominique Moreau

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    Lecture proposée : Lettre de Jacques, chapitre 4, versets 6 à 10.

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