• Il y a une quinzaine d’années, ils n’existaient pas. En tout cas pas pour le grand public.

    Tout au plus quelques essais confidentiels réservés aux geeks avisés commençaient à émerger. Les années 90 ont vu la naissance des célèbres Google, eBay, Blogger, Amazon et autres… Les années 2000 ont été témoins de l’avènement des réseaux sociaux avec MySpace, LinkedIn, FlickR, et bien évidemment, les célèbres Facebook et YouTube…

    Désormais, l’offre se décline pour tous les âges et les usages. Les réseaux sociaux se sont diversifiés, envahissent le web et nos smartphones pour le meilleur et pour le pire.

    Quand les réseaux sociaux ont débarqué dans notre vie, l’engouement a été rapide. Comment ne pas succomber à ces retrouvailles d’écoliers des dizaines d’années après, à ces souvenirs partagés entre amis, à ces liens familiaux maintenus au travers des nouvelles échangées, mais aussi à cette ouverture sur le monde, à cette information choisie… Chacun pouvait être acteur de cette révolution numérique. Le web devenait participatif pour le grand public.

    Puis rapidement les choses ont changé. La pub et le marketing ont très vite compris l’intérêt de ces outils hors-normes. Les utilisateurs sont devenus plus radicaux, les commentaires haineux ou agressifs, malheureusement monnaie courante. Le harcèlement a fait des ravages, et pas seulement chez les adolescents. La récente affaire de la Ligue du LOL le confirme. L’illusion de socialisation a vite laissé place à une grande solitude chez beaucoup d’utilisateurs. Les pires idéologies ont circulé librement. Les données privées ont été allègrement dérobées par des hackers ou des sociétés sans scrupules. La pornographie est maintenant omniprésente et à peine voilée.

    De quoi donner envie de fuir, de se déconnecter d’urgence et de revenir aux choses simples, ce que préconisent d’ailleurs nombre de médecins, psychologues et scientifiques. Pour ceux qui opteraient pour une utilisation raisonnée du web, voici 10 manières de demeurer sel de la terre sur les réseaux sociaux, inspirées de la blogueuse Michelle Lazurek.

    Répandez la gentillesse

    Amour, joie, patience, paix, bonté, bénignité, fidélité, douceur, tempérance… Quiconque a mis un jour les pieds dans un forum ou sur une page Facebook, sait à quel point le web manque du fruit de l’Esprit décrit par Paul dans sa lettre aux Galates.

    Pensez avant de poster

    « Est-ce que je vais blesser quelqu’un ? »… « Est-ce que je vais faire plus de mal que de bien ? »… « Est-ce que je poste cela pour recevoir des honneurs et me mettre en avant ? »… Autant de bonnes questions à se poser avant de partager un contenu.

    Gardez votre vie privée… Privée…

    Les réseaux sociaux ont manifestement fait bouger les lignes sur le plan de la vie privée. Une réussite, une difficulté, une chose amusante arrivent dans notre vie et sans réfléchir, on la partage sans penser aux conséquences, ni à la nécessité de préserver son intimité et celle de sa famille…

    Suivez la règle d’Éphésiens 4:29

    Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s’il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l’édification et communique une grâce à ceux qui l’entendent.

    Ne condamnez pas

    Au lieu de faire des réseaux sociaux un lieu de dévalorisation, de harcèlement et de commentaires acerbes, soyez de ceux qui encouragent, bénissent et montrent de l’empathie.

    Ne vous emportez pas pour un malheureux contenu qui vous déplaît

    Combien de personnes, et les chrétiens ne sont pas les derniers, sur-réagissent à la moindre occasion. Si vous bouillonnez intérieurement en raison de ce que vous lisez, abstenez-vous de commentez et demandez-vous plutôt pour quelle raison cela vous met dans un tel état.

    Quand vous n’avez rien à dire, ne dites rien !

    Une évidence ? Visiblement pas pour tout le monde. Alors, n’hésitez pas à faire vôtre cette sagesse populaire autrefois enseignée aux enfants.

    Priez

    « Priez sans cesse » disait Paul aux Thessaloniciens. N’hésitez pas à demander le secours de Dieu, afin qu’il fasse de vous un instrument de paix sur les réseaux sociaux.

    Faites une pause

    Ne vous exposez pas de manière prolongée aux réseaux sociaux. Installez un contrôle sur votre smartphone qui vous aidera à vous séparer d’une éventuelle mauvaise habitude ou addiction.

    Par dessus tout… Aimez

    Vous ne regretterez jamais d’avoir apporté de l’amour à quelqu’un au travers d’une parole, d’un geste ou d’une action. Alors n’attendez plus.

    H.L.

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  • « Non, le bras de l’Éternel n’est pas devenu trop courte pour sauver, ni son oreille trop dure pour entendre, mais ce sont vos fautes qui ont fait séparation entre vous et votre Dieu, ce sont vos péchés qui vous l'ont caché et l’ont empêcher de vous écouter » (Ésaïe 59:1-2).

     

    Le péché fait obstacle à la prière. Plus d’un homme prie, prie, prie et n’obtient absolument aucune réponse. Peut-être est-il tenté de penser que ce n’est pas la volonté de Dieu de répondre ; peut-être pense-t-il que les temps où Dieu répondait à la prière, si tant est qu’il l’ait jamais fait, sont révolus. C’est ce que les Israélites semblaient avoir pensé. Ils croyaient que la main de l’Éternel s’était raccourcie de sorte qu’il ne pouvait plus sauver, et qu’étant devenu dur d’oreille il ne pouvait plus entendre.

    « Non pas », dit Ésaïe, « l’oreille de Dieu est tout aussi ouverte que jamais pour entendre, sa main tout aussi puissante pour sauver ; toutefois il y a un obstacle. Cet obstacle ce sont vos propres péchés. Vos fautes ont mis une séparation entre vous et votre Dieu et vos péchés vous l'ont caché, et l’ ont empêché de vous écouter ».

    Il en est de même aujourd’hui. Si bien des hommes crient à Dieu en vain, c’est tout simplement à cause du péché qui est dans leur vie. Ce peut être quelque faute passée qui n’a été ni confessée ni jugée, ou un péché actuel qu’on chérit. Très probablement on ne le regarde même plus comme un péché, mais il est là, dissimulé quelque part dans le coeur ou dans la vie, empêchant Dieu d’écouter.

    Celui qui constate que ses prières sont inefficaces ne devrait pas conclure que la chose qu’il demande à Dieu n’est pas selon sa volonté, mais il devrait se retirer, seul avec Dieu, et prier comme le psalmiste : « Examine-moi, ô Dieu, et connais mon coeur, mets-moi à l'épreuve et connais mes pensées ! Regarde si je suis sur une mauvaise voie et conduit-moi sur la voie de l'éternité ! » (Psaumes 139:23-24), et attendre devant lui jusqu’à ce qu’il mette le doigt sur la chose qui déplaît à sa vue. Puis il devrait confesser ce péché et le rejeter.

    Jérémy Sourdril

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  • Je t'aime d'un amour éternel, c'est pourquoi je te conserve ma bonté. Jérémie 31.3

     

    Dans son plafond, une habitante du New Jersey a trouvé en 2017 une lettre datant de 1945. Écrite par une certaine Virginia, elle était destinée à son mari Rolf, et lui parlait du bébé qu’elle allait avoir. Au moment de cette découverte, Rolf, âgé de 96 ans, vivait en Californie. Et il a enfin pu lire la lettre de sa femme !

    Il est toujours émouvant de savoir qu’un message d’amour parvient enfin à son destinataire. C’est le cas dans nombre de scénarios de films.

    Mais se pourrait-il qu’un message d’amour, très ancien, ne nous soit pas encore parvenu… ? Et si quelqu’un nous aimait à notre insu ?

    La Bible est une lettre d’amour écrite par Dieu lui-même, à notre intention. C’est à nous qu’elle s’adresse. D’un bout à l’autre, Dieu y montre des preuves de son amour. Il a conclu des alliances successives avec les hommes, malgré leurs infidélités au cours de l’Histoire. Puis il a scellé une alliance suprême, que personne ne peut rompre, en laissant son Fils unique mourir sur la Croix à notre place, pour que nous soyons pardonnés.

    Que fallait-il de plus, que faudrait-il de plus ?

    La balle est dans notre camp, la lettre est dans notre boîte. Que répondrons-nous ?

    Pour moi, c’est la principale question à laquelle il nous faut répondre au cours de notre vie. Tout le reste passe…

    Jean-Louis Théron

    __________________

    Lecture proposée : 1ère lettre de Jean, chapitre 4, versets 7 à 19.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Il était dans le monde et le monde a été fait par lui, pourtant le monde ne l'a pas reconnu. Il était venu chez les siens, et les siens ne l'ont pas accueilli. Mais à tous ceux qui l'ont accepté, à ceux qui croient en son nom, il a donné le droit de devenir enfants de Dieu. Jean 1. 10-12

     

    Jésus était un homme sans péché, faisant toujours la volonté de Dieu, se confiant en lui envers et contre tout. Humble de coeur, il disait la vérité quoi qu'il en coûte. Dévoué envers tous sans jamais penser à lui-même, il a été obéissant jusqu'à la mort. Voilà quelques-uns des caractères de "l'homme Jésus-Christ" (1 Timothée 2. 5).

    Mais qui donc était Jésus, cet homme unique ? On l'a crucifié, mais sa mort aussi est unique, car la nuit est survenue alors en plein midi. Et trois jours après, il est sorti du tombeau et il est monté au ciel ! Tout démontre qu'il était sur la terre "Dieu manifesté en chair" (1 Timothée 3. 16) et que "l'amour de Dieu s'est manifesté envers nous : Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde afin que par lui nous ayons la vie. Et cet amour consiste non pas dans le fait que nous, nous avons aimés Dieu, mais dans le fait que lui nous à aimé et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés" (1 Timothée 4. 9-10). Jésus a dit : "En effet, la volonté de mon Père, c'est que toute personne qui voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle, et moi, je la ressusciterai le dernier jour" (Jean 6. 40).

    Pourrait-on tourner la page sans reconnaître en lui le Seigneur Jésus, et croire en lui pour être sauvé ? Il est "notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ" (Tite 2. 13).

    Source (La Bonne Semence)

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  • Heureux celui qui se soucie du pauvre !” Psaume 41. 2

    “Le juste connaît la cause des plus faibles.” Proverbes 29. 7

     

    Les deux versets du jour pourraient passer inaperçus. Ils concernent notre attitude envers le pauvre, celui qui est éprouvé. Pour les illustrer, rien ne remplace un exemple tiré de l’évangile, car la vie de Jésus est un modèle vivant pour la conduite du croyant. Prenons sa réponse à une question que Jean-Baptiste emprisonné lui a fait parvenir (Luc 7. 18-23).

    La question de Jean-Baptiste était : “Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ?” (v. 20). Elle semble contenir un doute sur Jésus. Jean-Baptiste a annoncé celui qui arrivait après lui, il a préparé son chemin devant son peuple. Un jour il identifie Jésus parmi ceux qui viennent à lui au Jourdain pour se faire baptiser (Jean 1. 33).

    Mais le tétrarque Hérode Antipas jette Jean en prison à cause de sa fidélité. Son cadre de vie est alors limité aux murs d’une sinistre cellule : l’épreuve est particulièrement grande pour cet homme habitué à l’espace du désert (Luc 3. 4). Pire, il est privé de la joie du contact direct avec Jésus. Le temps passe, les doutes l’assaillent : celui qu’il a annoncé est-il vraiment le Messie ? Pourquoi le laisse-t-il souffrir injustement en prison ? C’est alors que Jean fait poser cette question à Jésus.

    Le Seigneur ne fait aucun reproche, mais il veille par sa réponse à consoler Jean. C’est comme s’il lui disait : « Jean, celui que tu as annoncé est vraiment le Messie promis ; sois rassuré, tu as bien accompli ton service ».

    Le Seigneur a répondu en comprenant la situation de son serviteur. Il a pris soin d’entendre la souffrance qui avait amené à cette question. Il a pris connaissance de la cause du pauvre prisonnier. Plein de compassion, il a répondu à Jean en le rassurant et en l’encourageant : “Heureux celui pour qui je ne représenterai pas un obstacle” (v. 23) ; il veut dire : « ne te laisse pas arrêter par la forme que revêt mon service ». Et Jean pourra partir en paix vers le martyre.

    Par sa réponse, le Seigneur montre le chemin de la vraie compassion. C’est celui de l’amour qui sait prendre le temps d’écouter et de comprendre avant de répondre et d’agir !

    Source (Plaire au Seigneur)

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