• (L'espérance), nous l'avons comme une ancre de l'âme, sûre et ferme. Hébreux 6. 19

    La foi est l'assurance de ce qu'on espère, et la conviction de réalités qu'on ne voit pas. Hébreux 11. 1

     

    Un chrétien, qui parlait de son espérance en Dieu, s'entendit répondre : "Laissez-nous tranquille, occupez-vous de votre ciel et laissez-nous la terre !"

    Nous respectons les convictions de nos lecteurs, qu'ils soient septiques ou incroyants, mais est-il possible d'être tranquille sans Dieu ? On peut vivre sans connaître Dieu, mais en réalité peut-on être complètement heureux sans lui ? La vie sur la terre ne se résume pas à sa seule dimension matérialiste. Jésus Christ l'a souligné : "L'homme ne vivra pas de pain seulement (ou de bien matériels), mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu" (Matthieu 4. 4). Il ne peut trouver une plénitude de vie que lorsqu'il reçoit Dieu dans son existence.

    Quand à l'espérance chrétienne, ce n'est pas espérer vaguement la réalisation de ce qu'on souhaite. C'est la foi en la Parole de Dieu, qui est certaine. Jésus a dit : "Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles de passeront pas" (Matthieu 24. 35). Beaucoup de prophéties, notamment celles qui annonçaient la venue du Fils de Dieu, donnent au croyant la certitude d'un avenir heureux pour lui. Il s'appuie sur Dieu, qui a envoyé Jésus pour nous délivrer de notre condition de pécheur e nous réconcilier avec lui.

    Comme il l'a promis, Jésus va revenir (Jean 14. 2, 3). Sommes-nous prêts ? La certitude de son retour apporte aux chrétiens encouragements et paix intérieure. En attendant, Jésus est leur force pour affronter les épreuves de la vie, et pour ne pas être attristés comme ceux qui n'ont pas d'espérance (1 Thessaloniciens 4. 13).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Voici, l’un de ceux qui étaient avec Jésus étendit la main, tira son épée et, frappant l’esclave du souverain sacrificateur, lui emporta l’oreille. Alors Jésus lui dit : Remets ton épée à sa place ; car tous ceux qui auront pris l’épée périront par l’épée. Penses-tu que je ne puisse pas prier mon Père, et il me fournira à l’instant plus de douze légions d’anges ? Comment alors pourraient s’accomplir les Écritures, selon lesquelles il faut que cela arrive ainsi ?” Matthieu 26. 51-54

     

    Une foule armée de bâtons et d’épées arrive au jardin de Gethsémané sous la conduite de Judas Iscariote. Ces hommes se saisissent de Jésus. Dans son zèle, Pierre veut défendre son Maître. Il porte l’épée à lame courte qui servait à de multiples usages pratiques à l’époque. Il la tire de son fourreau et frappe Malchus, le serviteur du souverain sacrificateur, qui se tient sans doute au premier rang, et lui emporte l’oreille droite.

    Jésus guérit l’esclave blessé (Luc 22. 51) et prend la peine d’expliquer à Pierre les trois raisons pour lesquelles il doit remettre son épée à sa place :

    – La violence engendre la violence. Elle ne résout rien. Dans le royaume de Christ, les victoires ne se remportent pas au moyen d’armes charnelles, “car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles ; mais elles sont puissantes…” (2 Cor. 10. 4).

    – La violence n’est pas nécessaire. La vengeance appartient à Dieu, et non au chrétien (Rom. 12. 17-21). Qu'était l’épée de Pierre en regard des dizaines de milliers d’anges à qui Jésus pouvait faire appel ?

    – La violence est impulsive, irréfléchie. En dégainant son épée, Pierre s’oppose à l’accomplissement des Écritures, qui avaient annoncé la trahison, les souffrances, la crucifixion et la résurrection de Christ.

    Peut-être pensez-vous que cette mise en garde ne nous concerne pas, qu’elle n’a plus sa raison d’être ? Et pourtant, elle restera toujours d’actualité tant que la chair sera en nous et nous poussera à faire appel à des moyens charnels pour régler des difficultés spirituelles.

    Dans notre hâte à résoudre des problèmes qui se posent au sein de l’église locale, nous oublions souvent de mettre notre confiance en Dieu. Nous développons des raisonnements, nous élaborons des plans d’action avant de prier comme il convient ; il nous arrive même de réagir de façon impulsive et agressive… C’est mal connaître Jésus Christ que de vouloir le défendre avec des armes charnelles. Laissons l’épée à sa place !

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Béni soit l'homme qui se confie dans l'Éternel, et dont l'Éternel est l'espérance ! Il est comme un arbre planté près des eaux..." Jérémie 17.7-8

     

    La désolation gagne du terrain dans notre monde. La planète est ravagée par un désert spirituel. Rester debout au sein de cette dévastation est le défi que nous devons tous relever !

    "Plus que jamais, dans ce monde aride, vous devez demeurer tout près de la source intarissable de la vie."

    La Parole de Dieu avertit l'Église de l'imminence d'une "pénurie spirituelle". Cette pénurie sera sans précédent et gagnera la planète entière. Il ne s'agit pas d'une insuffisance en pétrole ou en blé mais d'une déficience d'une autre sorte : une pénurie de valeurs morales et spirituelles ! Une pénurie d'amour, de vérité et de foi est annoncée. Dans ce monde de plus en plus aride sur le plan spirituel, l'Église doit lutter pour garder sa fraîcheur.

    Dans son livre, le prophète Jérémie nous donne une description frappante de la condition spirituelle dans laquelle se trouvent deux hommes Jérémie 17.5-8. 

    Le premier a détourné son cœur de l'Éternel, il a perdu sa route, et, ne sachant plus où aller, il erre dans les lieux brûlés du désert. Il s'est égaré et sa vie spirituelle est stérile, il ne porte pas de fruit. 

    Le second, quant à lui, est un homme qui se confie en Dieu, il le connaît et la bénédiction divine repose sur sa vie. Il est alors comparé à un arbre planté près d'un courant d'eau, ses racines descendent vers le courant et même pendant la saison sèche, il porte du fruit.

    Cette description doit nous interpeller sur notre état. Où en sommes-nous spirituellement ? Sommes-nous secs et stériles ou sommes-nous abreuvés par les courants rafraîchissants du Saint-Esprit ? 

    Êtes-vous arrosé ? Portez-vous du fruit ? Ce dernier est-il de bonne qualité ? Pourrez-vous résister à cette désertification spirituelle de grande envergure ? 

    Plus que jamais, dans ce monde aride, vous devez demeurer tout près de la source intarissable de la vie. Connaissez l'Éternel et puisez votre vie spirituelle en Jésus. Comment ? En plongeant vos racines dans le courant béni de la vie de l'Esprit.

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, tu es mon espérance. Tel le psalmiste, je veux confesser que toutes mes sources sont en toi Psaumes 87.7. Je veux demeurer dans ta parole et mieux te connaître afin de porter un fruit abondant pour ta gloire. Amen.

    Franck Alexandre

    Source (La Pensée du Jour)

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  • « Va vers la fourmi, paresseux ; considère ses voies, et deviens sage. Elle n’a ni chef, ni inspecteur, ni maître; elle prépare en été sa nourriture, elle amasse pendant la moisson de quoi manger. Paresseux, jusqu’à quand seras-tu couché ? Quand te lèveras-tu de ton sommeil ? » (Proverbes 6:6-9).

     

    Avez-vous déjà vu une fourmi au repos, assise confortablement dans un transat, avec des lunettes de soleil, en train de siroter une limonade ? Non jamais ! Les seules que j’ai vues au repos étaient tout simplement mortes, elles se reposaient de leurs oeuvres.

    Ernest Newman a dit au sujet des grands compositeurs : « Le grand compositeur ne travaille pas parce qu’il est inspiré, mais reçoit son inspiration en travaillant. Beethoven, Wagner, Bach et Mozart n’ont jamais gaspillé leur temps à attendre une quelconque inspiration ».

    Pour nous chrétiens, la Parole écrite et révélée de Dieu est suffisamment claire.

    On a demandé à John Wesley comment il imaginait les derniers instants de sa vie. Il a répondu : « Je voudrais poursuivre ce que je fais. Je me lèverai à 5h pour prier, ensuite, je ferai une réunion de maison à 6h. À midi, je prêcherai en plein air. À 15h, j’aurai une autre réunion dans une autre ville. À 18h, j’aurai une autre réunion de maison. À 22h, j’aurai une autre réunion de prière et à minuit, je partirai avec mon Seigneur ».

    Réveillons-nous !

    Jérémy Sourdril

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  • Comme il marchait le long de la mer de Galilée, il vit Simon et André, le frère de Simon, qui jetaient un filet dans la mer ; car ils étaient pêcheurs. Jésus leur dit : Venez après moi, et je vous ferais devenir pêcheurs d'homme. Aussitôt, ils laissèrent leurs filets et le suivirent. Marc 1. 16-18

     

    Très souvent dans les évangiles, nous entendons cette parole de Jésus : "Suis-moi", ou aussi : "Viens après moi". Jésus n'appelle jamais  le servir, mais à le suivre. Aujourd'hui, tous ceux que Jésus a sauvés par son oeuvre à la croix, tous ceux pour qui il a laissé sa vie, sont invités à l'accompagner. Jésus le dit lorsqu'il choisi ses disciples, la première raison, c'est "pour être avec lui". Jésus "en établit douze pour être avec lui, pour les envoyer prêcher et pour avoir autorité de guérir les maladies et de chasser les démons" (Marc 3. 14, 15).

    Quand Jésus appelle Simon et André, qui lançaient leurs filets de pêche, il leur dit : "Venez après moi, et je vous ferai devenir pêcheurs d'hommes". Le Seigneur veut donc des compagnons pour travailler avec lui à son oeuvre de grâce. Il les appelle, malgré leur faiblesse, et leur fournit toutes les ressources nécessaires. Il forme celui qui veut l'accompagne. "Apprenez de moi, car je suis débonnaire et humble de coeur" (Matthieu 11. 29). Ses disciples, enseignés par lui, prenaient ses habitudes, et on les reconnaissaient "pour avoir été avec Jésus" (Actes 4. 13).

    Pour nous, cela veut dire apprendre à le connaître en lisant sa Parole. Et si nous vivons près de lui, nous lui ressemblerons davantage. Le Seigneur nous veut tout entiers. Il dit : "Suis-moi". Mais nous répondons souvent : "Permets-moi d'aller d'abord..." (Luc 9. 59). Il nous faudra peut-être laisser certaines choses auxquelles nous sommes attachés, certaines habitudes... Faisons comme Pierre et Jean : "Aussitôt, ils laissèrent leurs filets et le suivirent".

    Source (La Bonne Semence)

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