• Vois, je mets aujourd’hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal. Deutéronome 30.15

     

    « Pourquoi Dieu a-t-il permis que les hommes puissent choisir le mal ? »

    Nous savons qu’une limitation de vitesse, à l’approche d’un virage serré, nous est profitable. Du moins, si nous choisissons de nous y soumettre ! En effet, le Code de la route n’empêche pas le conducteur de passer outre… Être libre dans notre conduite a pour conséquence de nous rendre responsables.

    Or, Dieu a créé les hommes libres et responsables. Nous sommes doués de raison, de volonté, de liberté de choix et d’action. Pouvoir faire le bien ou le mal est inséparable de la liberté qu’il nous a donnée. À l’image de ce virage dangereux que nous avons évoqué, Dieu ne veut pas que nous prenions une mauvaise trajectoire ! Il a inscrit dans nos consciences le code du bien qui nous est nécessaire et profitable.

    Mais nous sommes incapables de nous y soumettre véritablement. Alors Dieu a fait, dans son amour, une chose inouïe : il a envoyé Jésus-Christ pour payer le prix des fautes de celui qui croit. Il lui offre le pardon de ses transgressions, la grâce de vouloir le bien et la force de le faire !

    Dieu nous donne la liberté et la responsabilité de nous tourner vers Lui. L’évangile dit qu’en recevant Jésus-Christ comme sauveur et directeur de notre âme, nous choisissons le bien.

    Dominique Moreau

    ________________

    Lecture proposée : Livre du Deutéronome, chapitre 30, versets 1 à 16.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Ils étaient extrêmement étonnés et disaient : Il fait toutes choses bien. Marc 7. 37

    Ils furent tous saisis d'étonnement et glorifiaient Dieu… Ils disaient : Nous avons vu aujourd'hui des choses extraordinaires. Luc 5. 26

     

    Les évangiles nous racontent la vie de Jésus Christ. Son attitude et ses propos ont souvent dérangé ses contemporains, mais beaucoup ont rendu témoignage que cet homme était différent des autres.

    – “Jamais homme n'a parlé comme cet homme !” (Jean 7. 46). Chaque parole de Jésus a une valeur unique, permanente, divine. D'où l'importance d'y faire très attention. Chacun peut comprendre ce qu'il a dit, chacun est invité à être attentif et à obéir à ses paroles. Elles répondent aux problèmes et aux interrogations des hommes, qui sont les mêmes aujourd'hui qu'à son époque. Les paroles de Jésus seront toujours d'actualité : “Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas” (Matthieu 24. 35).

    – Jamais homme n'a vécu comme cet homme ! Entre les paroles de Jésus et son comportement, il y avait une parfaite harmonie, il n'y avait aucune contradiction. Bien qu'il soit Dieu, il a vécu comme un homme, humblement, et pendant plus de trois ans, la prière, la prédication de la bonne nouvelle, et ses nombreux miracles de bonté ont caractérisé sa vie publique. Ses miracles attestaient qu'il était Dieu.

    – Jamais homme n'a aimé comme cet homme ! Son amour surpasse tout ce que nous pouvons imaginer. Jésus est venu pour sauver des hommes perdus et esclaves du péché. Par amour il se laisse clouer sur une croix. Il offre sa vie en sacrifice pour apaiser la colère de Dieu envers les pécheurs. Aujourd'hui encore, Dieu offre son pardon à tous ceux qui croient, et leur donne la vie éternelle.

    Je connais cet homme unique, c'est mon Sauveur, Jésus, le Fils de Dieu.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Désormais, tant que seront les jours de la terre… le froid et le chaud, et l’été et l’hiver, et le jour et la nuit, ne cesseront pas.” Genèse 8. 22

     

    Les saisons résultent de l’inclinaison de l’axe de rotation de la terre par rapport au plan de son orbite. Par conséquent, au fur et à mesure de la progression de la terre sur son orbite autour du Soleil, l’orientation des rayons solaires varie selon la période de l’année.

    En Europe, pendant 3 à 4 mois, les rayons du soleil parviennent très inclinés et les températures baissent. On parle alors de la mauvaise saison ou de l’hiver. Le froid qui peut être vif agresse notre corps ; les nuits sont plus longues, l’ensoleillement est réduit et notre psychisme en est affecté. La nature endormie est dépouillée et sa vie semble s’arrêter.

    L’Écriture Sainte parle de cette saison difficile. Elle fait partie du plan de Dieu. “L’été et l’hiver, c’est toi qui les as formés” (Ps. 74. 17). Il faut du courage pour les affronter. Au temps de Paul, la navigation était arrêtée en hiver sur la mer Méditerranée (Act. 27. 12). Dans tous les déplacements, il fallait compter avec cette période difficile (1 Cor. 16. 6 ; Tite 3. 12). Il en est de même pour nous : le mauvais temps de l’hiver peut bousculer nos plans et il nous faut patienter jusqu’à des jours meilleurs.

    N’est-il pas poignant, cet appel de Paul à Timothée depuis sa prison à Rome : “Empresse-toi de venir avant l’hiver” (2 Tim. 4. 21) ? Et il précise : “Quand tu viendras, apporte le manteau que j’ai laissé à Troas” (v. 13). Seul quelqu’un qui a souffert du froid peut comprendre Paul. Au sens propre comme au figuré, c’était la « mauvaise saison » pour lui.

    Mais tous ceux qui ont traversé des hivers longs et rigoureux savent ce qui les soutient : l’espérance. Ils savent que la vie triomphera de la souffrance et de la mort, le printemps reviendra.

    Le chrétien peut traverser des épreuves qui sont comme un hiver dans sa vie. Tout est tristesse ; il souffre physiquement ou spirituellement. Mais il sait que Dieu est avec lui, qu’il peut compter sur ses consolations et qu’il a prévu une issue (1 Cor. 10. 13). La vie sur cette terre dépend de l’alternance des saisons !

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne œuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus Christ." Philippiens 1.6

     

    Il est des moments dans la vie, alors que nous passons d'une étape à l'autre de notre marche chrétienne, où il nous semble que tout progrès est stoppé. C'est comme si nous avions heurté un obstacle qui nous empêche d'avancer. Nous guettons le plus petit signe de mouvement et avons désespérément envie de faire quelque chose, n'importe quoi, pour nous remettre en marche. Voyez-vous ce que je veux dire ?

    Les tempêtes peuvent aussi être des occasions de croissance prodigieuse.

    Peut-être essayez-vous de monter une affaire, de créer une nouvelle relation, de fonder une famille ou de débuter une nouvelle carrière. Pendant un temps, vous aviez l'impression d'avancer à grands pas et vous étiez content. Il vous semblait que vous verriez bientôt votre rêve se réaliser. C'est alors que votre progression s'est arrêtée et vous commencez maintenant à vous demander si elle reprendra un jour.

    Je tiens à vous encourager ! Dieu mènera à bien l'œuvre qu'il a commencée en vous. À chaque fois que vous tentez d'accéder à un niveau plus élevé de responsabilité ou de bénédiction dans votre vie, vous rencontrez aussi une opposition et une adversité accrues. Le diable ne veut pas que vous réalisiez les buts que Dieu vous a fixés, et aussi longtemps que vous serez décidé à aller de l'avant, il vous mettra des bâtons dans les roues pour tenter de vous arrêter.

    Ces tempêtes dans la vie sont toujours des moments délicats. L'on a tôt fait de remettre en question la voie que l'on suit et de céder à la tentation de tout laisser tomber. Mais les tempêtes peuvent aussi être des occasions de croissance prodigieuse.

    Lorsque vous arrivez au bout du tunnel après avoir persévéré dans un moment difficile, vous vous découvrez une force et une endurance que vous ne possédiez pas auparavant. Vous êtes beaucoup mieux armé face aux adversités futures, parce que vous avez tenu bon dans cette tempête.

    Un encouragement pour aujourd'hui

    Lorsque vous subissez une tempête, même si vous n'avancez pas, l'important est de vous ancrer profondément et d'être déterminé à ne surtout pas reculer. Vous n'allez pas concéder à l'ennemi du terrain que vous lui avez âprement disputé !

    Joyce Meyer

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Par le sang de Jésus, tous mes péchés sont pardonnés.

     

    Dans le Psaume 32, le roi David parle de son expérience personnelle :

    « Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, je gémissais toute la journée; car nuit et jour ta main s'appesantissait sur moi, ma vigueur n'était plus que sécheresse, comme celle de l'été. Je t'ai fait connaître mon péché, je n'ai pas caché mon iniquité; j'ai dit : J'avouerai mes transgressions à l'Éternel ! Et tu as effacé la peine de mon péché. » (Versets 3-5 Segond)

    Je pense que lorsque David a écrit cela, il se référait à l’affaire de Bethsabée, l’épouse d’Uri le Hittite. Il s’agissait d’une terrible situation dans laquelle David avait commis l’adultère, puis le meurtre pour couvrir celui-ci. David ressemblait, à l’évidence, à la plupart d’entre nous. Pendant un long moment, il avait refusé d’affronter la réalité de son péché. Il avait essayé de l’ignorer.

    Dans les versets suivants, David évoque son implication personnelle:

    « Qu'ainsi tout homme pieux te prie au temps convenable ! Si de grandes eaux débordent, elles ne l'atteindront nullement. Tu es un asile pour moi, tu me garantis de la détresse, tu m'entoures de chants de délivrance. » (Versets 6-7 Segond)

    Il n’est jamais trop tard pour confesser ses péchés à Dieu et pour chercher refuge en son salut. Il nous délivrera de nos péchés si seulement nous les reconnaissons et nous nous en repentons.

    Prière du jour : 

    Merci Seigneur pour le sang de Jésus. Je proclame que, parce que je confesse sans hésiter tout péché que je pourrais avoir tenté d’occulter, tu as pardonné ma culpabilité. Tu me protèges de la difficulté et m’entoures de délivrance. Par le sang de Jésus, tous mes péchés sont pardonnés. Amen.

    Derek Prince

    Partager via Gmail

    votre commentaire