• Il vous faut être nés de nouveau. Jean 3. 7

    Si donc le Fils (de Dieu) vous affranchit, vous serez réellement libres. Jean 8. 36

     

    Va'aiga Tuigamala, né en 1969 et connu sous le nom de Inga, est devenu célèbre dans le monde entier comme joueur de rugby international pour Samoa et la Nouvelle-Zélande. Élevé dans une famille chrétienne, Inga assistait régulièrement aux offices religieux. Adolescent, il devint un sportif passionné, et les questions de foi passèrent au second plan. À l'école, certains de ses amis avaient une conduite immorale. Son éducation l'empêchait de se joindre à eux, mais finalement leur influence fut la plus forte, et il tourna le dos à l'éducation qu'il avait reçue.

    Cependant au fil des ans ces jeunes gens, l'un après l'autre, mirent leur foi en Christ. Inga pouvait à peine y croire : “J'ai vu un changement dans leur vie. C'étaient de mauvais garnements, toujours prêts à faire des bêtises et à créer des problèmes. Mais quelle transformation !” Il les observa avec attention durant des semaines, ne pouvant pas croire qu'ils tiendraient bon. “Je n'aurais jamais cru cela possible, mais j'ai constaté quelque chose d'absolument nouveau : j'ai vu la paix, la joie et l'amour chez eux.” Alors Inga voulut avoir ce que ses amis possédaient. Une de ses professeurs, qui était chrétienne, lui expliqua qu'il lui fallait confesser ses péchés à Dieu et confier sa vie à Jésus Christ. Elle lui dit qu'il avait besoin de “naître de nouveau”. C'était en 1986.

    Cette transformation s'avéra, chez Inga aussi, authentique et durable. Par son témoignage, quelques-uns de ses anciens co-équipiers connurent à leur tour le Seigneur Jésus, la paix et la joie de vivre avec lui.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Saint-Étienne du Rouvray : un attentat révoltant et inquiétant selon le CNEF

    L e C o n s e i l n a t i o n a l d e s évangéliques de France est profondément h o r r i f i é par l’assassinat d’un prêtre et la prised’otages survenus ce matin et revendiqués par Daesh.

    Cet attentat islamiste contre le prêtre et les fidèles d’une église chrétienne est particulièrement révoltant et inquiétant, après ceux déjà perpétrés en d’autres lieuxces derniers jours.

    Le CNEF exprime sa compassion aux familles et amis des victimes,ainsi qu’à tous les catholiques de France qui se sentent profondément touchés par cette violence.

    De nombreuses voix se sont élevées pour encourager le recours à la prière. Le CNEF s’associe pleinement à cet élan, et invite à prier pour les blessés et les proches des victimes, pour la paix et la sécurité dans notre pays, ainsi que, selon l’invitation de la Bible, pour les autorités françaises qui doivent gérer ces événements tragiques et faire face à d’autres menaces.

    Face aux attentats tragiques qui se multiplient en France, en Allemagne et ailleurs dans le monde, le CNEF rappelle que l’Évangile invite à ne céder ni à la haine, ni à la violence, ni au désir de vengeance, mais à faire preuve de compassion et même à aimer ceux qui nous haïssent. Par conséquent, il encourage les croyants à s’en inspirer et à témoigner ainsi de l’amour du Christ dans un monde en déroute.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Car qui est-ce qui te distingue ? Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? Et si tu l’as reçu, pourquoi te glorifies-tu, comme si tu ne l’avais pas reçu ?" 1 Corinthiens 4.7

     

    On demandait à un paysan s'il était prêt à donner un tracteur à la collectivité au cas où il en aurait deux. Bien sûr, répondit-il ! Et si vous aviez deux vélos ? – J'en donnerai un ! - Et si vous aviez deux vaches ? - Je les garderai ! – Pourquoi ? - Parce que les tracteurs et les vélos je ne les ai pas, mais les vaches je les ai.

    Pour donner il faut au préalable avoir reçu.

    Voilà quelqu'un qui était prêt à donner ce qu'il n'avait pas mais qui n'était pas disposé à donner ce qu'il avait !

    La sagesse la plus élémentaire sait que l'on ne peut donner que ce que l'on possède. Certes il y a des menteurs, des voleurs, des manipulateurs qui prétendent donner ce qu'ils n'ont pas, mais là n'est pas notre propos. Restons sur le terrain du bon sens. Pour donner il faut au préalable avoir reçu.

    De nombreuses personnes voudraient pardonner, sans au préalable avoir reçu le pardon elles-mêmes. Si vous voulez pouvoir accorder le pardon il est absolument nécessaire que vous-même ayez au préalable reçu le pardon de Dieu. Cet ordre des choses est clairement écrit dans Colossiens 3.13 : "Comme Christ vous a pardonné, vous aussi pardonnez-vous réciproquement."

    Dans le domaine du pardon il en est comme dans tout autre domaine, on ne peut donner le pardon que si au préalable on l'a reçu. Vous ne pourrez réellement pardonner sans avoir été d'abord envahi par le pardon de Dieu.

    Il en est du pardon comme du don. Vous ne pouvez donner que ce qui vous appartient. Si vous avez reçu le pardon de Dieu, si vous avez reçu sa joie, son amour, sa paix…alors vous allez pouvoir donner autour de vous pardon, joie, amour, paix…

    Dieu vous a donné son pardon, l'avez-vous reçu ? Vous ne pourrez pas le donner si en premier vous ne le recevez pas.

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, merci pour le pardon que tu m'offres gratuitement, je laisse de côté la culpabilité, je me laisse envahir par ton pardon, et j'accorde à mon tour le pardon à quiconque m'a offensé. Merci Seigneur, amen !

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Asa fut malade des pieds, jusqu'à ce que son mal fut extrêmement grand ; et dans sa maladie aussi, il ne rechercha pas l'Éternel, mais les médecins." 2 Chroniques 16. 12

    "Dieu donna à Salomon de la sagesse et une très grande intelligence." 1 Rois 4. 29-34

     

    Le premier verset cité ne dit pas qu'il est mauvais de consulter les médecins. Il dit que consulter l'Éternel est plus important que consulter les médecins. Jacques donne une recommandation semblable : "Quelqu'un parmi vous est-il malade, qu'il appelle les anciens de l'assemblée..." (Jac. 5. 14). Penser à consulter notre Seigneur d'abord s'applique en fait à toutes les situations, faciles ou difficiles.
    Ce premier verset confirme l'importance d'une des 3000 sentences de Salomon : "Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui sont les issues de la vie" (Prov. 4. 23). Aujourd'hui, on parle de la pollution de l'eau, de l'air et de la terre ; bien peu de la pollution des cœurs, pourtant bien avancée, pourtant plus grave encore... Or, le cœur est le lieu où Dieu habite par son Esprit, et y verse sa paix, sa joie, son amour. C'est le lieu où il fait entendre sa voix et briller sa lumière ; c'est le lieu où il révèle les choses cachées du ciel et de la terre... Il est donc important de veiller par-dessus tout au nôtre et de l'ouvrir tout grand à Dieu !
    Voyez ce que Dieu a donné à Salomon pour qu'il puisse accomplir sa mission : sagesse et intelligence ! Si nous lui ouvrons notre cœur, Dieu nous révélera ce que nous avons besoin de connaître pour marcher avec lui comme des enfants de lumière. Le temps de lecture de la Bible, chaque jour, est un temps de jouissance de la présence de Dieu, tout comme les temps de prière. Offrons même à Dieu la première de nos pensées, la première de nos paroles, chaque matin à notre réveil (ne serait-ce qu'une phrase, avant les pantoufles, avant le café, avant la radio). Nous éveillerons ainsi nos cœurs à sa voix, la voix de Celui qui sait tout, de Celui qui ne se trompe jamais. Il nous sera plus facile de l'écouter, ensuite, le long de nos journées, pour les choix à faire, les combats à mener, les paroles à dire. À la maison, au travail, dans la rue, au sein de l'église...
     
    Source (Plaire au Seigneur)
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Le matin, sème ta semence, et, le soir, ne laisse pas reposer ta main ; car tu ne sais pas ce qui réussira, ceci ou cela. Ecclésiaste 11. 6

    En effet, vous êtes nés de nouveau, non pas d'une semence corruptible, mais d'une semence incorruptible, grâce à la parole vivante et permanente de Dieu. 1 Pierre 1. 23

     

    En novembre 1989, lors de la chute du mur de Berlin, beaucoup de soldats soviétiques étaient encore en Allemagne de l'Est (la RDA). Avant leur départ pour la Russie, des chrétiens leur distribuèrent des Nouveaux Testaments en russe. Il n'était pas facile de pénétrer dans les casernes, et quelquefois ces distributeurs de la Parole de Dieu étaient menacés par les officiers, révolver en main.

    Quinze ans plus tard, un chrétien allemand de Meerane (ex RDA) se rendit en Sibérie pour encourager les croyants de cette région. L'un d'eux lui raconta comment il avait trouvé en Jésus Christ son Sauveur.

    “En 1990, j'étais en Allemagne comme soldat, et à Meerane, on m'a offert un Nouveau Testament. En le lisant, j'ai reconnu mes fautes devant Dieu, et Jésus est devenu mon Sauveur. Maintenant, je suis heureux de parler de l'évangile à tous ceux que je rencontre.”

    La Parole semée avec persévérance avait porté du fruit à plus de 1000 km. C'est Dieu qui la fait “germer”, qui implante la vie divine dans les cœurs et qui, de proche en proche, multiplie son action. Souvent, nous ne savons pas si la Parole de Dieu qui a été distribuée a produit des résultats ou non. Mais “ne laissons pas reposer notre main”. Demandons à Jésus, notre Maître, de nous aider à être vigilants jour après jour pour ne manquer aucune occasion : un mot dans une conversation pour rendre témoignage de notre espérance, un feuillet dans la poche, prêt à être donné... Semons avec la conviction que le Seigneur a la puissance de faire fructifier cette semence.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire