• La loi est un véritable accélérateur d’impact dans l’évangélisation. C’est un accélérateur de repentance.

    Le péché, c’est la transgression de la loi et on ne connaît le péché que par la loi. La loi a pour but de mettre le doigt sur nos péchés alors que le rôle du Saint-Esprit consiste à nous en convaincre.

    Vous aurez remarqué que certains criminels restent impassibles, voire arrogants quand ils se trouvent face à un juge. Ils savent pourtant que ce qu’ils ont fait est mal, mais ils n’ont aucun regret. Cependant, leur confrontation avec la loi est le seul moyen de les mettre face à leur conscience.

    Dieu ayant écrit ses lois dans le coeur de tous les hommes, la prédication de la loi morale est le meilleur chemin pour mettre l’homme face à sa conscience. Tel un miroir, elle nous place non seulement face à la nature sainte de Dieu, mais aussi face à notre nature morale corrompue.

    L’homme faisant face à sa conscience, le Saint-Esprit peut ensuite le convaincre de péché, de justice et de jugement. Il peut enfin accomplir librement son ministère. Ne pas mettre la conscience du pécheur face à son péché, c’est entraver le ministère du Saint-Esprit.

    Le péché, c’est la transgression de la loi (1 Jean 3:4) et nous ne connaissons vraiment notre péché que par la loi (Romains 7:7).

    Et l’homme pécheur transgresse constamment les 10 commandements : Il vole (8ème), il ment (9ème), il blasphème contre le nom de Dieu (3ème), il convoite les biens d’autrui (10ème), il ne respecte pas ses parents (5ème), il commet adultère (7ème), il commet des crimes (6ème), et Dieu n’occupe pas la première place dans sa vie (1er, 2ème, 3ème et 4ème).

    Jérémy Sourdril

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  • Tes mains m'ont façonné, elles m'ont créé, elles m'ont fait tout entier, et tu me détruirais ! Souviens-toi donc que tu m'as façonné comme l'argile. Voudrais-tu de nouveau me réduire en poussière ? Job 10. 8, 9

    Il transformera notre corps de misère pour le rendre conforme à son corps glorieux par le pouvoir qu'il a de tout soumettre à son autorité. Philippiens 3. 21

     

    À cette question, le porte-parole d'une association pour le droit de mourir dans la dignité a répondu : "À moi et à moi seul. Ni à une église, ni à un parti politique, ni à la médecine. Je suis citoyen libre depuis ma naissance et, plus encore, depuis ma majorité. J'entends bien le rester jusqu'à mon dernier jour et que rien ne me soit imposé ni par des médecins ni par ma famille, ni par mes héritiers".

    Cette affirmation se comprend : personne n'a aucun droit sur la vie, sur le corps d'un autre. Mais elle a un défaut, c'est qu'elle ignore Dieu ! Si Dieu n'existait pas, il serait logique, et même salutaire, de vouloir rester maître de sa destinée...

    Mais le croyant sait qu'il a été créé par Dieu, qui le connaissais avant même sa conception. Et Dieu est aussi celui qui décide du jour de sa mort : "L'Éternel fait mourir et il fait vivre, il fait descendre au séjour des morts et il en fait remonter" (1 Samuel 2. 6).

    Alors oui, pour moi qui crois en Jésus, qui connais l'amour de Dieu, les autres ne doivent pas décider de ma vie et de ma mort, mais je n'ai pas, moi non plus, à en décider. Je laisse ce soin et cette responsabilité à un Dieu qui est bien plus sage que moi et qui m'aime. J'ai l'assurance que ce corps si fragile dans lequel j'habite sera un jour rendu semblable à celui de mon Sauveur dans la gloire. Et en attendant, je me souviens que je n'appartient plus à moi-même, mais à Christ, lui qui a payé un prix élevé - sa mort sur une croix - pour m'acquérir ; et je m'applique à le glorifier par ma conduite (1 Corinthiens 6. 19, 20).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Restez donc en éveil, priez en tout temps, afin d'avoir la force d'échapper à tous ces événements à venir et de vous présenter debout devant le Fils de l'homme" Luc 21. 36

    “Jésus leur dit une autre parabole pour montrer qu'ils devaient toujours prier, sans se décourager.” Luc 18. 1

     

    Prions en tout temps et en toutes circonstances ! Négliger la prière personnelle conduit nécessairement à l’anémie spirituelle, ouvre la porte à toutes sortes d’erreurs ou de fautes et rend stériles nos efforts pour servir Dieu. Un serviteur doué qui néglige la prière végète et porte peu de fruit. Un homme qui prie le Dieu tout-puissant n’est-il pas vainqueur de tout (Jac. 5. 17-18) ? Que pourrait-il craindre des hommes ou des circonstances ? Il se sait faible et limité, mais Dieu est sa force et son bouclier.

    Notre Seigneur nous a montré l’exemple d’un serviteur parfait : “Vers le matin, alors qu'il faisait encore très sombre, il se leva et sortit pour aller dans un endroit désert où il pria” (Marc 1. 35).

    À cette époque-là, Jésus se retira sur la montagne pour prier ; il passa toute la nuit à prier Dieu” (Luc 6. 12).

    Commençons et clôturons chaque journée avec Dieu par la prière. Même si nous pensons manquer de temps, ne négligeons jamais le temps que nous consacrons à un échange avec Dieu à propos de tout ce qui occupe nos pensées. Si nécessaire, limitons nos différents engagements, mais pas nos relations personnelles et secrètes avec Dieu. Ayant satisfait nos besoins de sommeil, plus nous nous adonnerons à la prière et à l’intercession, plus notre vie et notre service seront fructueux. L’Église a grand besoin d’hommes et de femmes qui demandent à Dieu des objectifs et comptent sur lui pour les atteindre : prier avec persévérance, intercéder avec amour et constance, être reconnaissant.

    En tout temps, à tout propos, parlons-lui (Eph. 6. 18). Veillons à ne laisser aucune distance s’établir entre Dieu et nous. Voilà la consigne impérative pour le croyant qui veut glorifier Dieu et ne pas être déstabilisé par les imprévus de la journée.

    Autour de nous, le monde est agité par une activité incessante. Aussi les moments passés sur nos genoux seront-ils considérés par beaucoup comme du temps perdu ! Mais au jour où tout sera manifesté, beaucoup de “bonnes œuvres” partiront en fumée. Plus que la quantité, c’est la qualité et le caractère du service qui seront les critères d’appréciation : “C'est bien, bon et fidèle serviteur ; tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup. Viens partager la joie de ton maître” dira le Seigneur en recevant ceux qui l’auront servi (Matt. 25. 21).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • Il n'y a pas de peur dans l'amour : au contraire, l'amour parfait chasse la peur, car la peur implique une punition. Celui qui éprouve de la peur n'est pas parfait dans l'amour. 1 Jean 4.18

     

    J'aimerais vous parler d'un mot de quatre lettres : la PEUR ! Nous sommes nombreux à nous souvenir de la menace de notre mère, lorsque nous étions enfants, de nous laver la bouche avec du savon lorsque nous disions un gros mot !

    "Son amour est parfait, même lorsque vous ne l'êtes pas."

    Eh bien, si la "peur" est un gros mot de quatre lettres, alors la foi dans l'amour de Dieu est le savon ! Je ne parle pas d'une foi faible et chancelante. Je parle d'une foi puissante dans l'amour inconditionnel, illimité, imperturbable et parfait de Dieu pour nous.

    1 Jean 4.18 nous enseigne que le fait de comprendre l'amour de Dieu à notre égard nous libère de nos peurs. Bien entendu, cela ne signifie pas que nous ne ressentirons jamais la peur, mais que la foi en Dieu et son amour nous rendront capables d'agir malgré notre peur s'il le faut.

    Dieu veut que vous sachiez qu'il est avec vous. Il vous conduira et vous dirigera, vous pouvez donc placer votre confiance et votre foi en lui ! Souvenez-vous que son amour est parfait, même lorsque vous ne l'êtes pas. Il ne nous aimera pas plus ni moins en fonction de nos erreurs.

    N'est-il pas bon de savoir que Dieu vous aime là où vous en êtes ? Cette pensée n'encourage-t-elle pas votre foi et ne diminue-t-elle pas vos craintes ? Vous et moi allons avoir peur de temps en temps. Mais lorsque cela arrivera, nous pourrons nous concentrer à nouveau sur Dieu en sachant qu'il nous conduira dans toutes les situations que nous devrons traverser.

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, seul ton amour peut chasser mes craintes. Je place donc ma foi en toi. Je sais que ta présence est en moi et que tu me conduiras même dans les situations les plus difficiles. Dès aujourd'hui je reçois ton amour. Amen.

    Joyce Meyer

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Au Mexique, les chrétiens évangéliques sont victimes de la persécution catholique (les catholiques comptent pour 70 % de la population).

    Dans d'autres pays comme le Pérou où la Colombie, les chrétiens sont victimes de guérilleros et de groupes paramilitaires politisés et instrumentalisés.

    L'Algérie, quand à elle, a adopté un texte visant la réglementation des pratiques religieuses. Dans ce texte, on peut lire que tout personne qui « incite, contraint, ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman une autre religion encourt une peine de deux à cinq ans de prison ». Même sanction prévue pour toute personne qui ébranle la foi musulmane » par l'entremise de « documents imprimés, documents audiovisuels ou tout autre support ».

    Mais béni soit Dieu, Jésus a promis de nous donner de la puissance non pas seulement pour évangéliser mais aussi pour être capables d'endurer la souffrance. Il a dit : « Mais vous recevrez une puissance lorsque le Saint-Esprit viendra sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie et jusqu'aux extrémités de la terre » (Actes 1.8).

    Le mot grec qui a été traduit en français par « témoin » est le mot « martus » qui signifie aussi martyr. Ainsi, Jésus a promis de nous donner la puissance nécessaire pour que nous soyons capables de souffrir pour sa cause.

    La Bible dit : « Du reste, tous ceux qui veulent vivre avec piété en Jésus-Christ seront persécutés » (2 Timothée 3. 12).

    N'ayons pas peur et profitons de notre liberté pour parler de Jésus autour de nous !

    Jérémy Sourdril

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