• "Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l'état de ton âme." 3 Jean 1.2

     

    Chaque mois de janvier, nous échangeons nos vœux de bonne santé. C’est une manière agréable de commencer la nouvelle année en société.

    "La Bible dispense un enseignement très équilibré en valorisant autant le corps que l’âme, sans les opposer."

    Pour la plupart des gens, la condition essentielle au bonheur est la bonne santé physique. Pourtant elle n’est pas suffisante à elle seule.

    Ici, lorsque l’évangéliste Jean s’adresse à Gaïus, il lui souhaite de connaître, dans son corps, une forme aussi excellente que celle qu’il manifeste déjà dans son âme.

    Gaïus est un chrétien exemplaire. Plein de zèle, il est hospitalier, généreux et plein d’amour envers son prochain. Ainsi, il fait preuve d’une transformation profonde de son être intérieur, fruit du salut en Jésus-Christ. Le bon témoignage de ce frère est si évident aux yeux de tous, que l’apôtre désire constater chez lui la même prospérité sur le plan physique.

    A cette époque, une hérésie populaire prône la supériorité de l’esprit sur le corps, considéré comme terrestre et méprisable. Nulle trace ici de cette conception impie. La Bible dispense un enseignement très équilibré en valorisant autant le corps que l’âme, sans les opposer.

    Aujourd’hui nous connaissons une situation inverse dans notre monde matérialiste. Le culte du corps est si répandu que l’on accorde à son apparence physique la prééminence absolue. Et l’on soigne son look en ayant recours aux régimes diététiques, à l’aide de vêtements suggestifs, à coups de bistouri et à grand renfort de soins esthétiques...

    Une question pour aujourd’hui

    A tenter de ressembler aux icônes de beauté bonheur qui s’affichent partout, ne négligeons-nous pas trop souvent les besoins de notre âme ? A l’instar de Gaïus, nous sommes invités à nous épanouir dans tous les domaines de notre vie, sans en négliger aucun.

    Solange Raby

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Ils connaissent les terreurs de l'ombre de la mort. Job 24. 17

    L'Éternel est mon berger… Même quand je marcherais par la vallée de l'ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal ; car tu es avec moi. Psaume 23. 1, 4

     

    Un acteur célèbre déclarait à un journaliste : “Je suis fatigué de vivre et effrayé de mourir”. La vie n'est pas souvent facile. La richesse, pas plus que les honneurs ou la gloire, ne peuvent apporter la paix et le bonheur dans le cœur. La mort reste un sujet de terreur pour celui qui n'est pas réconcilié avec Dieu.

    Quel contraste avec l'apôtre Paul, serviteur et imitateur de Jésus Christ, son Sauveur et son Seigneur ! Sa vie avait été éprouvante, il n'avait pas ménagé sa peine pour annoncer l'évangile. Il avait été souvent persécuté et rejeté. À la fin de sa vie il était dans une prison à Rome à cause de sa foi. Malgré toutes ces difficultés, il ne craignait ni la vie, ni la mort car il se confiait entièrement en Dieu. “Pour moi, vivre, c'est Christ, et mourir, un gain ; mais si j'ai à vivre dans le corps, il en vaut bien la peine… Je suis pressé des deux côtés : j'ai le désir de partir et d'être avec Christ, car c'est, de beaucoup, meilleur ; mais il est plus nécessaire à cause de vous que je demeure dans le corps” (Philippiens 1. 21-24). Il avait la conviction d'être entre les mains de son Dieu qu'il connaissait personnellement. Dieu lui suffisait en tout, pour vivre ou pour mourir.

    L'être humain est fragile physiquement et psychologiquement. Dieu le sait bien : “Comme un père a compassion de ses fils, l'Éternel a compassion de ceux qui le craignent. Car il sait de quoi nous sommes formés, il se souvient que nous sommes poussière” (Psaume 103. 13, 14). Notre ressource est de le connaître comme notre Père, et Jésus Christ est le seul chemin.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Il a été blessé pour nos transgressions, il a été meurtri pour nos iniquités ; le châtiment de notre paix a été sur lui et par ses meurtrissures nous sommes guéris.” Ésaïe 53. 5

     

    Au XVIIe siècle, dans toutes les grandes villes de France, de nombreux simulateurs vivaient de mendicité, faux estropiés, faux aveugles… Quand arrivait le soir, ils regagnaient après leur « journée d’activité » un quartier nommé la Cour des Miracles, fort bien décrit par Victor Hugo dans son roman Notre Dame de Paris. Dès leur entrée à la Cour des Miracles, tous ces simulateurs redevenaient des gens normaux : les faux aveugles voyaient, les faux boiteux marchaient normalement…

    Dans les évangiles, il est fait mention de nombreux handicapés, vrais aveugles, vrais estropiés, sourds, lépreux… Ces personnages bien réels évoquent divers aspects de la condition humaine : par nature, l’homme ne peut, spirituellement, ni voir, ni marcher, ni entendre, ni parler d’une manière qui puisse être agréable à Dieu. Tels nous sommes aux yeux de Dieu, et encore pire, nous sommes “morts dans nos fautes et dans nos péchés” (Eph. 2. 1).

    Le péché dans lequel tout homme est plongé appelle indiscutablement le jugement de la part de Dieu : mais il donne aussi à la grâce divine l’occasion de briller. Le péché est plus puissant que l’homme puisqu’il envahit tout homme et que personne ne peut s’en débarrasser par lui-même, mais Dieu est bien plus puissant que le péché ! Par la personne de son Fils, le seul homme qui marcha sur cette terre sans commettre le péché, Dieu s’est approché de l’homme et de son péché. Jésus vient au-devant de notre misère et de notre état d’homme perdu, non pour nous juger, mais pour se placer lui-même sous les conséquences du péché comme s’il en était lui-même l’auteur.

    Dieu a fait venir sur son Fils la culpabilité de l’humanité pécheresse ; il a frappé le seul Juste pour tous les injustes (voir 1 Pi. 3. 18). Par ce sacrifice unique et à nul autre pareil, l’homme est délivré de ses péchés et de la mort, il peut maintenant spirituellement voir, parler, marcher et louer son Sauveur ; Dieu est satisfait dans sa sainteté, sa justice, son amour, il peut maintenant accueillir le pécheur repentant et lui ouvrir une éternité de bonheur dans sa présence.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • “Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde” Proverbes 28.13

     

    Un homme, qui avait perdu le sommeil, est allé consulter son médecin. Ce dernier lui a prescrit un somnifère, mais en même temps, il lui a demandé si sa conscience était en paix. A ces paroles, l’homme s’est fâché, avec son médecin et l’a insulté en lui disant : “De quoi vous mêlez-vous ?” Quelques jour plus tard, cet homme est revenu voir son médecin en lui disant que les comprimés n’avaient pas d’effet sur son insomnie, mais il savait pourquoi : “Lors du décès de nos parents, j’ai dérobé une grosse somme d’argent, qu’ils avaient mise de côté, et je ne l’aie pas partagée avec mon frère. Depuis je suis mal, et mon insomnie vient de là”. Le médecin lui recommanda d’en parler, avec son frère, et de réparer cette indélicatesse. C’est ce qu’il fit, et il put retrouver le sommeil.

    "Être vrai avec Dieu, est la condition absolue, pour expérimenter la délivrance."

    S’il est vrai que la vérité de la parole de Christ est libératrice, il est une autre vérité qui libère : c’est lorsqu’on est vrai avec Dieu.

    Contrairement à la vérité concernant la vie des autres qui n’est pas toujours bonne à dire, la vérité concernant notre vie doit toujours être dite à Dieu. Reprenant la pensée de Salomon, l’apôtre Jean écrit ceci : “Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous. Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.” 1 Jean 1.8-9.

    Dans les Psaumes 32 et 51, David nous parle de cette expérience libératrice lorsqu’il a confessé son péché au Seigneur. Il écrit : “Tant que je me suis tu mes os se consumaient, je gémissais toute la journée… ma vigueur n’était plus que sécheresse… Je t’ai fait connaître mon péché, je n’ai pas caché mon iniquité… Tu as effacé la peine de mon péché… Tu m’entoures de chants de délivrance.” Psaume 32.1/7.

    Être vrai avec Dieu, est la condition absolue, pour expérimenter la délivrance. Celui qui se justifie, ou qui cherche à se justifier, au travers de ses propres œuvres, reste dans ses chaînes ; celui qui réclame la grâce parce qu’il se reconnaît coupable, obtient miséricorde. 

    Avez-vous déjà expérimenté cette puissance libératrice de la confession devant Dieu ? Avez-vous eu l’occasion de vous regarder en face, de sonder vos pensées, vos actes, vos paroles et de confesser à Dieu tout ce qui pèse sur votre conscience ? Si ce n’est pas le cas, l’heure est venue de le faire. 

    Une action pour aujourd’hui

    Prenez le temps du recueillement, soyez honnêtes avec vous-même et avec Dieu, dites-Lui tout ce qui revient à la surface, vous verrez comment à la fin de ce moment de vérité, vous expérimenterez une puissante libération.

    Paul Calzada

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Il arrête la tempête, la changeant en calme, et les flots se taisent, et ils se réjouissent de ce que les eaux sont apaisées, et il les conduit au port qu'ils désiraient. Psaume 107. 29, 30

    L'Éternel est la force de ma vie : de qui aurai-je frayeur ? Psaume 27. 1

     

    L'Abeille Bourbon est un remorqueur long de 80 mètres, basé à Brest, particulièrement équipé pour le sauvetage en mer. Servi par un équipage expérimenté, il opère à partir d'Ouessant, au large des côtes bretonnes. Il vient en aide aux navires en perdition, qu'il remorque vers les ports les plus proches, lorsque les tempêtes sévissent.

    La Bible décrit plusieurs tempêtes (lire Jonas 1. 4 ; Actes 27 ; Matthieu 8. 24….) Elles symbolisent un temps d'épreuve. Dieu, qui aime tous les hommes, se fait souvent connaître par ce moyen. Que celui qui a besoin d'être secouru ne tarde pas à appeler Jésus le Sauveur à son secours. Il découvrira en lui Celui qui est vivant, qui peut prendre en charge non seulement sa situation présente, mais sa vie tout entière. Quelle paix apporte Jésus quand j'apprends qu'il a le pouvoir de pardonner mes péchés et de me donner la vie éternelle !

    Les croyants aussi traversent des tempêtes, ils ont donc besoin de secours. Comme le bateau est accroché au remorqueur, le croyant est lié au Seigneur par le lien de la foi. En lui est la force. Il connaît la fin de l'épreuve et en limite l'intensité (Job 1. 12). Il a le pouvoir, non seulement de nous conduire dans la traversée de la tempête, mais aussi de l'arrêter : il est Dieu. Il est puissant pour nous mener jusqu'au port.

    C'est pour l'éternité que le Seigneur nous aime :

    Sa grâce en notre cœur jamais ne cessera ;

    Au but il nous amènera,

    Car il est notre espoir, notre bonheur suprême.

    Source (La Bonne Semence)

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