• Lisons alors Éphésiens 6:10 18. «Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute-puissante. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté. Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture ; revêtez la cuirasse de la justice; mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l'Évangile de paix; prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin ; prenez aussi le casque du salut, et l'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu. Faites en tout temps par l'Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints.»
    D’abord, Paul dit : «Prenez...».

    Cela implique un acte de notre part, par exemple en proclamant des versets spécifiques à telle ou telle partie de l’armure.

    Ensuite, il continue en disant : «toutes les armes de Dieu...».

    Il commence avec la ceinture de la vérité, le fait de comprendre qui est Dieu, quel est son caractère et son objectif avec nous, comment reconnaître sa voix, reconnaître les mensonges de l’Ennemi, etc. Sinon il nous sera difficile de proclamer que nous sommes justifiés, parce que notre conscience ne sera pas en paix. Et si nous sommes accusés, nous trébucherons et nous aurons du mal à tenir debout. Si notre marche est pervertie, le bouclier de la foi tombera bien vite à terre lui aussi. Il ne faudra pas plus longtemps pour que les pensées partent dans tous les sens et que l’on n’a plus envie de mettre notre casque du salut. Ne parlons pas de l’épée de la Parole qui, à ce stade, a été oubliée à la maison avant de partir au combat...

    Paul continue avec la cuirasse de la justice. Nous devons savoir que nous sommes entièrement justifiés par le sang de Jésus, par son Nom, et par son Esprit.

    Ensuite viennent les chaussures du zèle de l'Évangile. Romains 12:11 nous dit : «Ayez du zèle, et non de la paresse. Soyez fervents d'esprit. Servez le Seigneur».

    Paul dit ensuite : «prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi.». Sans la foi, nous ne pouvons lui être agréables, et toute notre armure ne sera à rien.

    Le casque du salut est appelé en 1 Thessaloniciens. 5:8 «... l'espérance du salut». C’est la certitude de notre salut ! Soyons sûrs de notre salut, et gardons cette espérance !

    Ensuite vient la dernière arme : «Prenez l'épée de la parole de Dieu.» C’est la seule arme offensive. C’est en proclamant la Parole que nous pouvons efficacement repousser l’ennemi, et le faire fuir. Chaque chrétien devrait apprendre par cœur certains versets bibliques clés, pour les avoirs en munitions au moment du combat.

    De même que le combat est réel, cette armure est réelle, bien qu'elle soit spirituelle. Le combat dans les lieux célestes se fait dans l'esprit. Nous pouvons dire que l'esprit de l'homme, revêtu de l'armure spirituelle, se tient «sur (ou dans) la brèche».
     
    «Seigneur, je veux prendre toute l’armure de Dieu, et tenir ferme contre toutes attaques de l’Ennemi. Merci Seigneur pour la ceinture, la cuirasse, les chaussures, le bouclier, le casque, et l’épée de ta Parole ! Apprends-moi à tenir ferme, et faire fuir l’Ennemi ! Au nom de Jésus, amen !»
     
    Nous voilà à la fin de ce cours sur la prière. Je prie sincèrement que cela vous ait aidé à prier plus intelligemment, et plus efficacement, afin que «son royaume vienne, et sa volonté soit faite, sur la terre, comme dans le ciel !»

    Que Dieu vous bénisse,


    René de Groot

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  • "[…] Ils imposeront les mains à des malades et ceux-ci seront guéris." Marc 16:18

     

    Vous pouvez imposer les mains aux malades et ils seront guéris. Même si le malade c’est vous, vous pouvez poser les mains sur votre corps et vous serez guéri !

    Ne vous accommodez pas de la maladie ou de la douleur.

    Croyant, vous avez la puissance ! Vous n’avez pas besoin de faire venir un évangéliste, un évêque, ou un apôtre super spirituel pour être guéri. Vous possédez la puissance. Vous n’êtes pas obligé d’attendre l’intervention d’un "super esprit". Vous êtes un super esprit.

    Posez les mains sur votre tête. Posez les mains sur votre dos. Posez les mains sur vos genoux et laissez agir la puissance. N’attendez pas. Ne vous accommodez pas de la maladie ou de la douleur. Posez les mains sur votre corps dans le nom de Jésus et ordonnez-lui d’aller mieux. Vous retrouverez la santé.

    Une action pour aujourd’hui
    Ne tolérez pas la maladie ou la douleur une minute de plus. Posez les mains sur vous et proclamez : "Sois guéri au nom de Jésus !"

    Keith Butler

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Penchons-nous alors sur la prière dans le combat spirituel. Comme déjà évoqué, nous sommes tous impliqués dans un combat spirituel acharné sans merci, que nous le réalisions ou non. La prière, sous toutes ses formes, est l’arme que Dieu nous a donnée pour contrecarrer les objectifs de l’ennemi, et frayer le chemin pour que la volonté de Dieu s’accomplisse.

    La partie de la Bible qui en parle particulièrement se trouve en Éphésiens 6, à partir du verset 13.
    Mais avant d'en parler, réalisons que la partie traitant cette armure se trouve dans le dernier chapitre de la lettre de l'apôtre Paul aux Éphésiens. Avant d’en arriver au sujet du combat spirituel et de l’armure, Paul consacre pas moins de cinq chapitres à d'‘autres sujets qui doivent être compris avant de passer au combat. Il faut toujours lire la Bible dans son contexte. Un bon nombre de chrétiens, fascinés par tout ce qui touche au combat spirituel, ouvrent leur Bible et se dirigent tout droit sur Éphésiens 6. Mais cette épître commence avec le chapitre 1, qui nous explique tout d'abord notre position en Christ. (Éphésiens. 1:3-6, mais je vous invite à lire toute l’épître aux Éphésiens.)

    Cette partie parle sur qui nous sommes en Christ. Avant de faire quoi que ce soit dans le combat spirituel, il faut vraiment reconnaître qui nous sommes en Christ. Sinon, nous serons balayés dès le premier round !
    Ensuite, dans ce même chapitre, et Paul insiste dessus dans le deuxième chapitre, il annonce sur quelle base nous sommes acceptés en lui : la grâce. (versets 7 et 8)

    Les deux thèmes de notre position en Christ et de la grâce par laquelle tout a été rendu possible sont intimement liés dans les versets suivants, 2:1-8.

    Ensuite, dans le chapitre 3, l'apôtre commence à expliquer le mystère de l'Église et l'unité du Corps de Christ. Il continue dans le chapitre 4 sur notre façon de marcher, et notre comportement les uns vis-à-vis des autres.

    Et il continue ensuite dans le chapitre 4 avec les différents ministères et la stabilité, la marche et la maturité du chrétien.

    Dans le chapitre 5 il explique tout ce qui concerne l'autorité, et la soumission, notamment dans le couple et son fonctionnement. Et ce n'est qu'après qu'il commence à nous instruire sur l'armure spirituelle…
    Vous comprenez, si nous ne connaissons pas notre position en Christ, si nous ne nous rendons pas compte que tout ce passe par la grâce, si nous n'avons pas le bon comportement les uns vis-à-vis des autres, si nous ne comprenons pas ou n'acceptons pas les différents ministères que Dieu a donnés, si nous n'avons pas la stabilité, la marche et la maturité du chrétien, et si nous ne reconnaissons pas l'autorité, et ne voulons pas accepter la soumission, notamment dans le couple il vaut mieux ne pas du tout se lancer dans le combat spirituel, parce que vous serez perdant dès le premier coup…

    Demain alors, nous allons voir, pour terminer ce cours sur la prière, l’armure spirituelle.
     
    «Seigneur, aide-moi de poser de bonnes fondations dans ma vie, de lire et méditer toute ta Parole, afin que je sois équipé(e) pour ce combat dans lequel je suis impliqué, et être victorieux ! Au nom de Jésus, amen !»


    René de Groot

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  • “Pierre dit : Je ne possède ni argent ni or, mais ce que j’ai, je te le donne : Au nom de Jésus Christ, le Nazaréen, lève-toi et marche.” Actes 3. 6

    “Le lendemain, leurs chefs, leurs anciens et leurs scribes s’assemblèrent à Jérusalem… Ils les firent comparaître et se mirent à les questionner : Par quelle puissance ou par quel nom avez-vous fait cela ? Pierre, rempli de l’Esprit Saint, leur répondit :… c’est par le nom de Jésus Christ, le Nazaréen, que vous, vous avez crucifié.” Actes 4. 5-10

     

    Un miracle s’est produit. Un infirme de naissance dans la quarantaine, assis à la porte du temple, vient d’être délivré de son infirmité (Act. 3. 2 ; 4. 22). Imaginons les milliers de personnes qui durant plus d’une génération l’ont vu, prostré à l’entrée du sanctuaire et demandant l’aumône. “Remplis de stupeur”, les gens accourent quand ils apprennent qu’il marche et saute en louant Dieu dans le temple. C’est l’occasion pour Pierre de rendre un vibrant témoignage à Jésus Christ, le Nazaréen, que Dieu a ressuscité et glorifié, après que les Juifs l’ont crucifié ; c’est en effet par ce nom que l’homme est en pleine santé.

    Les sadducéens interrompent Pierre et Jean et les font aussitôt emprisonner. Mais leur témoignage a déjà porté son fruit ; le nombre de ceux qui croient atteint cinq mille personnes.

    Le lendemain, un sanhédrin au complet interroge les deux apôtres : “Par quelle puissance ou par quel nom avez-vous fait cela ?” Pierre confirme que ce fut au nom de “Jésus Christ le Nazaréen” ; cela leur vaut l’interdiction formelle de “parler et d’enseigner au nom de Jésus”. Pierre et Jean, respectueusement mais fermement, excluent alors toute soumission à un tel ordre : “Jugez s’il est juste devant Dieu de vous écouter plutôt que Dieu” ; à peine relâchés, ils annoncent de nouveau “la parole de Dieu avec hardiesse” (Act. 4. 23-31).

    Depuis, qu’en est-il ? D’une part, “Jésus Christ est le même hier et aujourd’hui”, toujours aussi puissant, “autorités et puissances lui étant soumis”, toujours disposé à nous donner la hardiesse requise (Héb. 13. 8 ; 1 Pi. 3. 22 ; Act. 4. 29). D’autre part, Jésus Christ, dans sa personne et son œuvre, est-il toujours le sujet essentiel et prioritaire des prédications et des témoignages chrétiens ? Face à tant d’évangiles “différents” répandus aujourd’hui (Gal. 1. 8), imitons Paul : “Nous, nous prêchons Christ crucifié,… Christ, la puissance de Dieu et la sagesse de Dieu” (1 Cor. 1. 23, 24).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • “C'est l'œuvre du Tout-Puissant, qui te bénira des bénédictions des cieux en haut, des bénédictions des eaux en bas, des bénédictions des mamelles et du sein maternel.” Genèse 49.25

     

    L’apôtre Jacques déclara : “Vous ne possédez pas parce que vous ne demandez pas”. Jacques 4.2

    Votre Père céleste est heureux lorsqu’il vous entend solliciter sa faveur.

    Dieu a des cadeaux en réserve pour vous mais afin de les posséder, le Seigneur attend de vous que vous les lui réclamiez. Vous obtiendrez certains bienfaits de la part de Dieu sans même ouvrir la bouche. Cependant, il y a des bénédictions qu’il faut lui demander sinon vous ne les recevrez jamais.

    Bénir est dans la nature même de Dieu, n’en doutez plus. Peut-être pensez-vous que vous n’êtes pas candidat à la bénédiction. Ou bien vous êtes de ces chrétiens convaincus que vous n’avez rien à solliciter de Dieu. Cette manière de voir est un piège : changez votre manière de penser.

    Souvent, le terme “bénédiction” a été galvaudé avec le temps. C’est devenu une formule de politesse. Certains voient cela comme un désir égoïste, ne cherchant que des possessions matérielles pour un bonheur très personnel : une nouvelle Ferrari, une maison à quatre étages, etc. La véritable faveur divine sert la gloire de l’Eternel. Les dons du Seigneur sont puissants, ils vous permettent d’accéder totalement au plan divin. Entrer dans la bénédiction divine, c’est plonger dans la rivière de sa volonté. Votre désir se porte entièrement sur la gloire de Dieu. Le Seigneur ne vous refusera jamais une grâce qui est dans sa volonté et qui exalte son nom. 

    Comme un père est honoré lorsque son enfant vient le voir afin de lui demander sa bénédiction, votre Père céleste est heureux lorsqu’il vous entend solliciter sa faveur. Vous pouvez vous approcher de lui avec assurance, il ne vous rejettera pas. Comme chaque parent sain d’esprit espère ce qu’il y a de mieux pour ses enfants, votre Père céleste désire le meilleur pour vous. La Bible est claire : “Demandez et l’on vous donnera.” Matthieu 7.7

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, je désire être béni par toi. Fais-moi entrer dans tout ce que tu as prévu pour moi, amen.

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

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