• Ils mènent [Jésus] au lieu appelé Golgotha, ce qui signifie : lieu du Crâne… C'était la troisième heure, quand ils le crucifièrent… Avec lui, ils crucifient deux brigands, un à sa droite et un à sa gauche. Marc 15. 22, 25, 27

     

    Du temps de Jésus, dans les pays soumis à la domination romaine, on crucifiait des condamnés à mort. Ils étaient liés par les pieds et les mains à une croix, et y mouraient d'étouffement. Parfois ils étaient même cloués pour que leurs souffrances soient plus grandes.

    Beaucoup furent crucifiés ainsi à cette époque, alors pourquoi la mort de Jésus sur une croix à Jérusalem est-elle d'une gravité exceptionnelle ? Parce que, en Jésus, Dieu était venu vers nous sous la forme d'un homme, pour être compris par tous. Il avait apporté un message de vérité, d'amour et de paix. Mais les hommes ont haï, méprisé et finalement rejeté et crucifié Jésus, “car leurs œuvres étaient mauvaises ; en effet, quiconque fait le mal hait la lumière et ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient réprouvées” (Jean 3. 19, 20).

    Pourquoi Dieu a-t­il laissé faire les hommes et n'a-t-­il pas délivré Jésus ? Parce qu'il les aimait et que seul Jésus pouvait porter le châtiment que méritaient nos péchés.

    Pourquoi Jésus s'est-il laissé crucifier ? Parce qu'il voulait sauver les humains, vous, moi, par son sacrifice. On ne comprend pas un tel amour. Mais croyons-le, et acceptons que Christ a souffert et connu la mort pour nous. Sans la repentance envers Dieu et la foi en Jésus Christ, on ne peut pas recevoir le pardon divin.

    Aujourd'hui, combien de personnes prendront conscience que c'est pour elles personnellement que Jésus Christ est mort, et qu'elles ont besoin de son sacrifice pour être en paix avec Dieu ? Vous, peut-être ?

    Source (La Bonne Semence)

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  • "J'ai appris à être content de l'état où je me trouve." Philippiens 4.11

     

    Appréciez-vous la vie ? Si ce n'est pas le cas, c'est peut-être parce que vous prenez pour acquis ce que vous avez déjà. Peut-être pensez-vous : "En fait, je ne peux pas apprécier ma vie car j'ai tant de problèmes !"

    Prenez la décision de commencer à être heureux à l'endroit où vous êtes maintenant.

    Puis-je vous encourager à ne pas centrer vos pensées sur ce qui vous manque, mais plutôt sur les bonnes choses présentes dans votre vie ?

    Prenez juste un instant aujourd'hui et remerciez Dieu pour votre santé et la force qu'il vous donne. Si vous perdiez soudainement votre santé, vous sentant de ce fait misérable, alors vous seriez plus que joyeux si vous pouviez revenir dans l'état où vous êtes aujourd'hui. Remerciez Dieu pour votre travail : il est peut être éprouvant parfois, mais il est une des sources de la providence de Dieu pour combler vos besoins. Remerciez Dieu pour les bénédictions que vous avez maintenant. Ce qui peut vraiment vous empêcher d'aller plus loin dans votre relation avec Dieu et dans votre marche en avant, c'est une attitude ingrate sans aucune reconnaissance.

    Prenez la décision de commencer à être heureux à l'endroit où vous êtes maintenant. L'apôtre Paul était toujours dans le contentement. Ce grand homme de Dieu avait découvert le secret du vrai bonheur: apprécier la vie, quelles que soient les circonstances !

    Si vous n'êtes pas heureux là où vous êtes, vous n'arriverez jamais là où vous désirez aller. Apprenez à apprécier chaque étape du voyage de la vie. Ayez une attitude de reconnaissance et soyez content, peu importe où vous vous trouvez.

    Si vous agissez ainsi, Dieu vous amènera vers la victoire et vous allez vivre la vie abondante et remplie de joie qu'il a en réserve pour vous.

    Une prière pour aujourd'hui

    Père, je suis incroyablement béni ! Merci pour les choses merveilleuses que tu m'as données. Merci parce que tu as un plan excellent pour ma vie. Je te louerai toujours. Au nom de Jésus. Amen.

    Source (La Pensée du Jour)

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  • "Le soir venu, [Jésus] se mit à table avec les douze." Matthieu 26. 20

    "Les hommes qui tenaient Jésus se moquaient de lui et le frappaient... et ils proféraient contre lui beaucoup d'autres insultes." Luc 22. 63-65

     

    La nuit où Jésus fut livré est la plus longuement détaillée de l'Écriture.

    Relatée dans les quatre évangiles, elle retrace en cent quatre-vingt-dix versets les heures douloureuses vécues par le Seigneur avant sa comparution devant Pilate. aussi la Parole prend-elle grand soin d'en signaler le début.
    "Le soir venu", puis la fin : "le matin venu". À chaque étape de cette nuit accablante, prévue de Dieu, Satan s'est acharné contre Jésus pour la lui rendre insupportable.
    Jésus désire célébrer la Pâque avec ses disciples, la dernière avant sa mort ; elle est assombrie par la trahison de Judas : "Celui qui mange le pain avec moi a levé son talon contre moi" (Jean 13. 18).
    Après que Jésus a institué la cène, mémorial de sa mort, ses disciples se disputent "pour savoir lequel d'entre eux serait estimé le plus grand" (Luc 22. 24).
    Jésus les prends avec lui pour se rendre à Gethsémané et les prépare aux scènes éprouvantes qui suivront : Pierre déclare qu'il l'accompagnera jusqu'à la mort, les autres lui offrent deux épées ; il doit les arrêter. À Gethsémané, Jésus demande aux disciples : "Priez que vous n'entriez pas en tentation" (Luc 22. 40) ; à son retour, il les trouve endormis ; ils n'ont rien compris ; Jésus doit leur dire : "Pourquoi dormez-vous ?" (Luc 22. 46).
    Quand Jésus se livre à la "troupe armée d'épées et de bâtons" guidée par Judas, il doit d'abord guérir Malchus, blessé par Pierre ; puis "tous l'abandonnèrent et s'enfuirent" (Marc 14. 43, 50).
    Amené devant Anne d'abord puis devant Caïphe, le souverain sacrificateur, Jésus affirme qu'il est bien "le Fils de Dieu" (Matt. 26. 63) ; on lui crache alors au visage, on le gifle, puis, par trois fois, Pierre le renie, et les coups, les insultes, les provocations et les moqueries continuent jusqu'au matin.
    Jamais Jésus n'a autant ressenti à la fois l'incompréhension des siens et la haine exacerbée de sa créature, manipulée par Satan : "Des consolateurs... je n'en ai rien trouvé", "de nuit, il n'y a point de repos pour moi" ; "ils m'ont déchiré et n'ont pas cessé" (Ps. 69. 20 ; 22. 2 ; 35. 15).
    Donnons gloire à "celui qui a enduré une telle contradiction de a part des pécheurs contre lui-même" (Héb. 12. 3).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • L'Ange de l'Éternel lui cria des cieux, et dit : Abraham ! Abraham !… N'étends pas ta main sur l'enfant, et ne lui fais rien… Abraham leva ses yeux… et voici, il y avait derrière lui un bélier retenu à un buisson par les cornes. Genèse 22. 11-13

    Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique. Jean 3. 16

     

    Récit : Dieu demande à Abraham d'offrir son fils en sacrifice. Abraham obéit car il a confiance en Dieu. Dieu a promis que ce fils aurait des enfants (Genèse 21. 12), et Abraham sait que Dieu peut lui redonner la vie (Hébreux 11. 17-19). Mais au dernier moment, la voix divine se fait entendre : “Abraham ! Abraham !… N'étends pas ta main sur l'enfant”. Pour le patriarche, c'est un merveilleux moment de communion avec son Dieu. Il constate que l'Éternel a préparé un bélier pour le sacrifice. Il peut alors l'offrir et appeler ce lieu mémorable : Jéhovah-Jiré (l'Éternel y pourvoira).

    Application : Abraham comprend qu'un jour Dieu n'épargnera pas son propre Fils. Il donnera Jésus, qui sera “l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde” (Jean 1. 29).

    Cette voix de Dieu, qui s'est adressée deux fois à Abraham, est aussi pour moi. Au plus fort de l'épreuve, le Seigneur sait comment m'appeler, pour ainsi dire par mon nom, et mettre un terme aux difficultés : Il “ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de ce que vous pouvez supporter, mais avec la tentation il fera aussi l'issue, afin que vous puissiez la supporter” (1 Corinthiens 10. 13).

    L'épreuve permet aussi une communion approfondie avec le Seigneur. Abraham, par l'épreuve, a pu entrevoir les pensées de Dieu au sujet du don de son Fils. Ce récit nous aide à comprendre un peu mieux l'amour du Père pour nous (Romains 8. 35-39). Et comme Abraham, nous pouvons alors adorer avec un profond respect.

    Source (La Bonne Semence)

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  • "L’orgueil précède la chute (…) mais l’humilité précède la gloire." Proverbes 16.18 et 18.12

     

    Il y a deux attitudes qui sont capables de vous métamorphoser, c'est l'humilité et l'orgueil. L'orgueil n'est pas un défaut ou un péché comme les autres, non c'est la racine de tous les maux. De la même manière, l'humilité n'est pas une vertu parmi d'autres, c'est la racine de toutes les grâces. L'orgueil a pris Lucifer, un astre brillant, un ange de lumière et en a fait le diable. La suffisance des anges qui l'ont suivi par vanité les a conduits à devenir des démons. A l'inverse, l'humilité transforme de vils pécheurs en enfants de Dieu.

    L'humilité est la clé d'une puissante transformation dans votre vie.

    Oui l'orgueil dégrade les anges de lumière alors que l'humilité élève jusqu'au trône de Dieu le pécheur le plus mal tombé. C'est pourquoi ne considérez pas l'orgueil comme un simple défaut ou l'humilité comme une simple qualité. L'un et l'autre sont beaucoup plus que cela.

    De l'orgueil est né l'enfer, alors que le paradis vous est donné grâce à l'humilité de Jésus qui s'est dépouillé de toute sa gloire pour venir naitre dans une étable et mourir sur le bois de la croix au milieu des moqueries et des crachats. L'orgueil c'est la mort et l'essence de l'enfer, l'humilité c'est la vie et l'essence du ciel.

    Le manque d'amour, le mépris, ignorer les autres, les jugements téméraires et tranchants, les paroles dures dont on s'excuse si souvent sous prétexte qu'on est franc et honnête, l'irritation dûe à "l'incapacité" des autres, etc. ont leurs racines uniquement dans l'orgueil. Que se passerait-il si les croyants étaient, dans tous leurs rapports avec leurs semblables, réellement et d'une manière permanente, guidés par l'humilité de Jésus ?

    L'humilité est la clé d'une puissante transformation dans votre vie. Non seulement l'humilité vous guidera au meilleur mais elle vous évitera bien des pièges pernicieux. Faîtes le choix d'être humble.

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, ôte de ma vie tout orgueil. Que ton humilité puisse revêtir ma vie. Amen.

    Source (La Pensée du Jour)

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