• Dans la détresse tu as crié, et je t'ai délivré. Psaume 81. 7

    Veillez donc, priant en tout temps. Luc 21. 36

     

    Corrie va passer la frontière. C'est une chrétienne, sa valise est lourde, remplie de Bibles qu'elle désire introduire dans un pays hostile à l'évangile. Son anxiété grandit au fur et à mesure qu'elle s'approche du bureau de la douane. Ses craintes sont justifiées, car passer des Bibles clandestinement est considéré comme un crime sévèrement puni. La panique la saisit lorsqu'elle voit les douaniers vider toutes les valises des personnes devant elle. Tremblante, craignant d'être découverte, elle prie : “Seigneur, tu as promis de veiller sur ta Parole !”

    Un instant après, un douanier s'avance vers elle : – Votre valise est bien lourde! s'exclame-t­-il en soulevant le bagage de Corrie. – Oui, Monsieur, bredouille-t­elle. – J'ai un peu de temps, je peux vous la porter, offre le douanier.

    Émerveillée et remplie de joie, elle suit le policier qui non seulement n'inspecte pas sa valise, mais la porte jusqu'à la voiture qui l'attend !

    Chrétiens, que ce soit dans les grandes choses comme dans les détails de notre vie quotidienne, soyons conscients de l'importance de la prière. Si rien n'est trop grand pour la puissance de Dieu, rien n'est trop petit pour son amour : il veut s'occuper de tous les détails de nos vies. Le Seigneur lui-même enseigne aux siens qu'ils doivent toujours prier et ne pas se lasser (Luc 18. 1). C'est-à­-dire que nous devons avoir une disposition continuelle du cœur pour la prière, respiration spirituelle de l'âme.

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Quand un malheureux crie, l'Eternel entend, et il le sauve de toutes ses détresses." Psaumes 34.7

     

    L'angoisse, la dépression, le découragement, la peur, la tristesse peuvent fondre sur nos vies en diverses circonstances. Que faire ?


    On raconte qu'un jour, le célèbre compositeur Haydn était en conversation avec deux de ses amis. Ils parlaient de leur différente façon de réagir face à la tristesse et à la déprime. L'un de ses amis disait : "Quand je me sens mal, découragé et triste, je prends un verre de cognac, et cela me réconforte !"

    L'autre disait : "Moi, ce que je fais, c'est de prendre mon violon et de jouer. Il n'y a rien comme la musique pour me remonter le moral et alléger ma peine".

    Haydn leur dit : "Pour ma part, quand je me sens triste, je prie le Seigneur. Nul n'est semblable à lui pour consoler et restaurer mon âme".

    Voilà trois démarches possibles : s'enivrer pour oublier, se plonger dans une intense activité, ou prier ! Un ancien cantique disait : "Es-tu lassé, rempli de tristesse ? Dis tout à Jésus ! Son cœur est ouvert à ta voix sans cesse. Oh ! Dis tout à Jésus ! Il peut comprendre, il aime à t'entendre. Il voit tes yeux rougis par les larmes… Il connaît ton cœur, il sait tes alarmes… Et pour demain ce que tu redoutes : Dis tout à Jésus !" Des siècles avant Haydn, le roi David, plongé dans un abîme de tourments, a dit : "Dans ma détresse, j'ai invoqué l'Éternel, j'ai crié à mon Dieu ; il a entendu ma voix…" (Psaumes 18:7).

    Au travers de tous les siècles, des hommes et des femmes, aux heures sombres de leur vie, ont prié Dieu, et ont expérimenté son secours.

    Il existe divers numéros d'urgence pour répondre à des situations dramatiques. Non seulement le SAMU, les pompiers, ou la police, mais aussi divers numéros pour les femmes battues, les enfants maltraités etc. Cela est une bonne chose. Mais parfois, pour diverses raisons, l'appel n'est pas entendu ; la ligne est coupée, et il n'y a pas d'interlocuteur. Sachez que la ligne du ciel n'est jamais encombrée.

    Un conseil pour aujourd'hui

    À l'heure où vous-même passez par l'angoisse, le découragement, la tristesse, la dépression… adressez-vous à Dieu. Vous verrez quelle extraordinaire bénédiction procure ce temps de communion avec votre créateur.

    Source (La Pensée du Jour)

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  • "Il est le Rocher, son œuvre est parfaite ; car toutes ses voies sont justes. C'est un Dieu fidèle, et il n'y a pas d'iniquité en lui ; il est juste et droit... Voyez maintenant que c'est moi, moi, le Même, et il n'y a point de dieu à côté de moi." Deutéronome 32. 4, 39

     

    Israël arrive au terme de son long voyage vers Canaan. Moïse, qui approche de la mort, compose un cantique sur la fidélité de l'Éternel. Sur l'ordre de l'Éternel, il l'enseigne au peuple qui devra à son tour l'apprendre aux nouvelles générations (Deut. 31. 19, 21). Ce cantique prophétique servira de témoignage face à l'infidélité future d'Israël.

    Avant tout, ce cantique exalte la grandeur de Dieu et proclame sept de ses caractères (énoncés dans le premier verse du jour) pour tenir en éveil la conscience du peuple et de sa descendance. Les versets suivants soulignent successivement les soins de l'Éternel et les désobéissances d'Israël, pour prévenir toute excuse de sa part quand les jugements l'atteindront à cause de son infidélité.
    Le premier caractère que Moïse attribue à Dieu est celui de "Rocher" (v. 4. 15, 18, 30, 31). Ce nom, qui apparaît ici pour la première fois dans la Bible, est une image admirable de stabilité et de fermeté. Il apporte la note fondamentale à tout le cantique, dont le sujet est la fidélité de Dieu.
    "Le Même" est un autre nom que Moïse donne à Dieu pour la première fois. Il indique que Dieu ne varie pas, qu'il est immuable, en contraste avec l'inconstance du peuple d'Israël dénoncée tout au long de ce cantique. Ce nom nous encourage. Il nous assure que Dieu tient ses promesses, quelles que soient les circonstances, et que ses perfections ne changent pas. L'auteur de l'épître aux Hébreux attribue également ce nom à Jésus en citant le psaume 102 : "Toi, tu es le Même" (Héb. 1. 12). Jésus, seul fondement de notre foi, conserve à toujours ce caractère divin : "Jésus Christ est le Même, hier, et aujourd'hui, et éternellement" (Héb. 13. 8).
    Quelle est la conclusion de ce cantique qui est comme un débat entre un Dieu fidèle à lui-même et un peuple rebelle et corrompu ? Nous la trouvons dans la dernière phrase où triomphe la grâce : "Il pardonnera à sa terre, à son peuple" (v. 43). Dieu soit béni, ce cantique commence et finit avec Lui !
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé. Actes 16. 31

    (Jésus a dit) : En vérité, en vérité, je vous dis : Celui qui croit en moi a la vie éternelle. Jean 6. 47

     

    Peu de temps avant sa mort, un président de la République française a déclaré publiquement : “Je crois aux forces de l'esprit et je ne vous quitterai pas”. Il voulait dire par là que son esprit, après sa mort, serait encore auprès de ses compatriotes. Mais la Bible dit : “L'esprit retourne à Dieu qui l'a donné” (Ecclésiaste 12. 7), indiquant ainsi qu'après la mort, l'esprit de l'homme ne se manifeste plus sur la terre.

    On constate parfois que, lorsque la mort approche, certains non-croyants évoquent l'idée que, s'il y a un au-delà, Dieu fera preuve de grâce…, du moins l'espèrent-ils.

    La vie de l'âme après la mort est une réalité. Elle est liée au fait que lorsque Dieu l'a créé, l'être humain a reçu un souffle de vie pour devenir “une âme vivante” (Genèse 2. 7). Après la mort, cette âme retourne à Dieu, en attendant de revêtir un corps nouveau, car tous ressusciteront, “ceux qui auront pratiqué le bien, pour une résurrection de vie ; et ceux qui auront fait le mal, pour une résurrection de jugement” (Jean 5. 28, 29).

    Mais qui a fait le bien dans ce monde ? Un seul, Jésus Christ. Qui donc peut prétendre connaître la “résurrection de vie” ? Seulement ceux qui croient au Seigneur Jésus pour avoir la vie. “Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie… Vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu” (1 Jean 5. 11-13).

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Qui accusera les élus de Dieu ? C'est Dieu qui justifie ! Qui les condamnera ? Christ est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous !" Romains 8.33-34

     

    En ce jour spécial, Pâques vous rappelle combien vous pouvez vous identifier à Jésus ! Sa mort et sa résurrection nous montrent son amour pour chacun de nous, quelle que soit notre condition :

    Rejeté ? Il l'a été...
    Trahi ? Il l'a été...
    Abandonné ? Il l'a été...
    Maltraité ? Il l'a été...
    Humilié ? Il l'a été...
    Blessé ? Il l'a été...
    Seul ? Il l'a été...

    Jésus vous aime personnellement.

    Souffrez-vous de rejet ? Vous sentez-vous méprisé ? Comme Ésaïe, le prophète l'annonçait dans le chapitre 53 de son livre, préfigurant Jésus-Christ :

    "Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n'avait rien pour nous plaire. Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié." (Esaïe 53.2-4)

    Jésus, malgré tous ses miracles, a été rejeté et méprisé. Sur le chemin de sa croix, il a souffert la colère, l'abandon et le rejet des hommes. Il est allé à la croix par obéissance. Peu avant de mourir, il a même demandé au Père : "Pourquoi m'as-tu abandonné". Son sacrifice à la croix, nous permet aujourd'hui d'être sauvés de nos péchés, guéris de nos maladies et en relation avec le Père. Esaïe 53.5 dit ceci : "Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris."

    Car nous croyons en un Dieu vivant : Jésus est ressuscité ! Son amour nous dépasse. Jésus vous aime personnellement. Et même si vous traversez actuellement un moment difficile, si vous êtes en proie au rejet et au mépris, sachez que Jésus vous comprend parfaitement car il a lui-même déjà été rejeté et méprisé par des hommes.

    Vous pouvez vous identifier à lui et avoir la victoire : sur vos peurs, sur vos doutes, sur vos incompréhensions, sur votre sentiment d'exclusion, etc. Actes 4.11 nous dit : "Jésus… la pierre rejetée... est devenue la principale de l'angle."

    Une action pour aujourd'hui

    S'identifier à Jésus, à ses souffrances et à sa croix c'est le chemin parfois bien difficile du chrétien, mais n'oubliez pas que c'est aussi un chemin de victoire et de résurrection. 

    Source (La Pensée du Jour)

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