• Une fleur magnifique qui se fane

    Lundi 21 Juin 2021

    Une fleur magnifique qui se fane

    Toute créature est comme l'herbe, et toute sa beauté comme la fleur des champs. L'herbe sèche et la fleur tombe quand le vent de l'Éternel souffle dessus. Ésaïe 40:6,7

    Nos corps sont l’œuvre du Dieu Créateur. Magnifiques par leurs formes et leur vitalité dans la jeunesse, nos corps perdent graduellement leurs qualités tout au long de la vie. Nous vieillissons et, petit à petit, arrive le jour où se courbent les hommes forts... et où ceux qui regardent par les fenêtres sont obscurcis, et où les deux battants de la porte se ferment sur la rue (Ecclésiaste 12:3,4). Cette lente mais inexorable dégradation du corps n’est pas facile à accepter, d’autant plus qu’elle s’accompagne souvent de souffrances diverses. Comment alors être aidé dans ce chemin difficile ?

    Le chrétien en comprend la cause. La dégradation de notre corps n’était pas dans le plan divin, mais la désobéissance d’Adam et Ève a entraîné toute l’humanité dans la rupture avec Dieu ; nos corps aussi en sont affectés : maladies de toute nature, infirmités, fatigues, vieillissement et mort.

    Certes, nos âmes sont sauvées par la foi en l’œuvre rédemptrice de Jésus-Christ, mais nous participons à la création qui a été assujettie à la vanité et qui soupire ; elle est en travail jusqu’à maintenant ; et non seulement elle, mais nous-mêmes aussi qui avons les prémices de l’Esprit, nous soupirons intérieurement, attendant l’adoption, la délivrance de notre corps (Romains 8:20,22,23).

    Comprendre la cause de cette dégradation aide à en accepter les effets. Mais cela n’est pas suffisant. C’est la perspective de la gloire qui nous aide vraiment à traverser ces souffrances sans faiblir.

    Le chrétien sait que le salut de Dieu est un salut complet, c’est-à-dire qu’il concerne l’être tout entier : esprit, âme et corps (1 Thessaloniciens 5:23). Il vit donc dans l’espérance que son corps aussi sera sauvé et transformé lors de l’enlèvement de l’Église (qu’il soit déjà mort ou encore en vie). Il répète avec Paul : Nous attendons comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ. Il transformera notre corps de misère pour le rendre conforme à son corps glorieux par le pouvoir qu'il a de tout soumettre à son autorité (Philippiens 3:20,21).

    Quel triomphe quand Dieu effacera les terribles conséquences du péché qui affectent aujourd’hui notre corps !

    Source (Plaire au Seigneur)

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