• Si vous vivez selon la chair, vous mourrez ; mais si par l’Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez, car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu.

    Le soir, je relis, avec le Seigneur, ma journée, laissant remonter dans ma mémoire l'un ou l'autre événement heureux, je commence par rendre grâces : non pas d'abord ce que j'ai fait pour Lui, mais ce qu'Il a fait pour moi. Dans sa grâce, j'ai  pu me rapprocher de telle personne, tenir bon dans un moment difficile, mieux prier, être plus patient... Merci, Seigneur, pour le souffle de ton Esprit que je discerne dans mes démarches de ce jour. Peut-être n'ai-je pas bien répondu à ton Amour.

    Pardon pour cette rancune entretenue, pour ce mot blessant, cet activisme sans frein, cette tristesse qui m'enferme.... Sous ton Regard, je repère mes peurs et mes replis.

    Apaise en moi les discordances, les flots inquiets, les tourbillons de vanité ! Rends-moi la joie d'être sauvé !

    Renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit, en accueillant ton Pardon, Seigneur, je retrouve la confiance, des chemins s'ouvrent, un avenir tout neuf m'est rendu. Donne-moi, Seigneur, ta Lumière et ta Force pour demain.

    Donne-moi le sens de ta Volonté et la capacité de l'accomplir entièrement dans les circonstances de ma vie.

    Amen.

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  • L’Éternel donne la force à son peuple ; l’Éternel bénit son peuple et le rend heureux.

    Celui qui marque à aigle son chemin dans les airs donnera à ses rachetés les ailes de l'aigle ; celui dont la voix fait trembler la terre épouvantera les ennemis de ses saints, et procurera la paix à ses enfants. Pourquoi sommes-nous faibles nous avons la force divine à notre disposition ? Comment sommes-nous troublés quand la paix du Seigneur nous est assurée ? Jésus, le Dieu puissant, est nôtre force : Revêtons-nous de lui pour le service qu'il nous demande. Jésus, notre Sauveur bien-aimé, est aussi notre paix : reposons-nous sur lui et faisons cesser nos craintes. Béni soit-il de ce qu'il veut être notre force et notre paix dès maintenant et pour toujours.

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  • Une consolation pour les croyants malades.

    Ils se sentent faibles et craignent de ne jamais pouvoir se lever du lit où ils sont couchés dans le doute et la crainte. Mais le grand Médecin peut retirer la maladie et éloigner la faiblesse qui en est le résultat. Il fortifiera les faibles. Il le fera de la meilleure manière : « En l'Éternel. » Il est préférable que notre force soit en Dieu plutôt qu'en nous mêmes. En nous-mêmes, elle serait limitée et contribuerait à notre orgueil ; en Dieu, elle n'a plus de bornes, car elle procède du contact avec sa vie.

    Quand la force est donnée, le croyant en fait usage. Il marche et agit au nom du Seigneur. Quelle joie que de marcher au loin après une longue maladie ; quels délices que d'être bien portant dans le Seigneur après un temps de prostration ! Le Seigneur donne à son peuple cette liberté de mouvements accompagnée du loisir d'en jouir et de l'exercer, Il fait de nous des nobles : nous ne sommes pas des esclaves ne connaissant aucun repos, privés de tout agrément, mais il nous rend libres, pour que nous puissions à notre aise parcourir le pays d'Emmanuel en entier.

    Ainsi, mon coeur, cesse d'être triste et malade. Jésus t'invite à être fort en lui, à marcher avec Dieu, dans la sainte contemplation de sa personne. Obéis à sa parole d'amour.

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