• Seulement deux religions !

    Par la foi, Abel offrit à Dieu un meilleur sacrifice que Caïn ; par ce sacrifice, il a reçu le témoignage d’être juste, Dieu lui-même rendant témoignage à ses dons ; et par celui-ci, étant mort, il parle encore. Hébreux 11:4

     

    Un professeur énumère devant ses élèves les grandes religions recensées dans le monde. Un de ses étudiants, chrétien, lui répond :

    «Monsieur, en réalité, il n’existe que deux religions.

    Seulement deux ? Lesquelles ? demande son professeur.

    Eh bien ! une des deux est celle de Caïn, réplique l’étudiant. Elle proclame que je dois apporter à Dieu quelque chose du fruit de mon labeur afin qu’il me reçoive. Ce principe est celui des différentes religions qui sont dans le monde, y compris, malheureusement, de certaines qui se nomment chrétiennes. Quand quelqu’un pense être accepté avec faveur par Dieu à cause de ce qu’il a fait, ou de la manière dont il se comporte, il pratique la religion de Caïn.

    L’autre religion est celle d’Abel. De fait, elle est bien plus qu’une religion, elle est la vie ! Abel sacrifie à Dieu des premiers-nés de son troupeau, reconnaissant qu’il est un pécheur, et qu’il ne peut être accepté par Dieu qu’à cause de la mort d’une victime innocente. Elle représente le Seigneur Jésus-Christ, qui est venu dans le monde pour sauver des pécheurs, afin que n’importe qui puisse venir à Dieu lui disant : «Je suis un pécheur méritant la mort. Je n’ai rien à apporter pour être sauvé, mais je désire l’être en vertu de l’œuvre de Christ». Dieu, alors, non seulement lui accorde le salut éternel, mais de plus il l’accueille dans sa famille comme son enfant.»

    C’est une religion trop facile, dira-t-on. Elle permet de faire ensuite ce que l’on veut. Voici l’illustration du contraire : un homme riche épouse une jeune fille très pauvre. Son amour pour elle est si grand qu’il ne se laisse pas arrêter par leur différence sociale. En retour, sa femme aura à cœur d’avoir des pensées, une tenue et des paroles qui soient dignes de son rang, dignes de lui. Pourrait-elle agir autrement quand tout ce qu’elle est maintenant, elle le doit à son mari ?

    Nous aussi, nous devons tout à Jésus-Christ. Vivons dans la conscience de la dignité qu’il nous a donnée : celle d’enfants de Dieu !

    Adapté de G.W. Steidl

    Source (Plaire au Seigneur)

    « Savez-vous gérer la déception ?J'espérerai »
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