Lui qui a lui-même porté nos péchés dans son corps à la croix. 1 Pierre 2.24

En 1967, Charles Murray, étudiant à l’université de Cincinnati, est en recherche spirituelle. Il lit le Nouveau Testament et discute souvent de la foi avec ses colocataires. Mais son cœur n’est pas touché.

Comme il se prépare pour les Jeux olympiques de l’été 1968, dans la discipline du plongeon de haut vol, il peut utiliser la piscine de l’université à sa guise. Un soir d’octobre, tourmenté par ses luttes intérieures, Charles se rend à la piscine vers 22h30. Il ne met pas la lumière, car la pleine lune éclaire le bâtiment à travers le toit de verre. Arrivé sur le plus haut plongeoir, il ressent soudain que l’Esprit de Dieu le convainc de ses péchés. Ce qu’il a lu ainsi que ses conversations avec ses amis chrétiens lui reviennent en mémoire.

Dos au bassin, Charles étend les bras pour trouver son équilibre avant de plonger lorsqu’il voit sa propre ombre projetée sur le mur blanc. Elle a la forme d’une croix ! À cette vue, le poids de ses péchés lui pèse tant qu’il s’assied, demande à Dieu de les lui pardonner et accepte Jésus comme son Sauveur. Soudain, les lumières s’allument et le concierge entre. Charles découvre alors, stupéfait, que le bassin avait été vidé de son eau ! S’il avait plongé, il se serait écrasé. Ainsi la croix de Christ l’a sauvé deux fois : de la mort physique… et de la mort éternelle !

Françoise Lanthier

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Lecture proposée : Lettre aux Colossiens, chapitre 1, versets 13 à 23.

Source (Vivre Aujourd'hui)