• L'arbre le plus remarquable

    L’Éternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toutes sortes, agréable à voir et porteur de fruits bon à manger. Il fit pousser l’arbre de la vie au milieu du jardin. Genèse 2.9

     

    Le patrimoine forestier français compte des « arbres remarquables », exceptionnels par leur âge, leur dimension, leur forme ou leur rareté. Parmi eux, un chêne de Saint-Avold dont l’âge est estimé à 850 ans !

    Dieu a placé Adam et Ève dans le jardin d’Éden où il avait fait pousser toutes sortes d’arbres agréables à voir et bons à manger. Parmi eux, deux « arbres remarquables » sont mentionnés : l’arbre de la vie planté au milieu du jardin, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Le premier représente Jésus, dont le fruit est la vie éternelle car Celui qui a le Fils a la vie (1 Jean 5.12). Le second représente la vie humaine indépendante de Dieu. Son fruit mène à la mort. Dieu en avait averti Adam : Tu ne mangeras pas le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras, c'est certain (Genèse 2.17).

    Adam et Ève ayant désobéi, ils ont été « décentrés » par rapport à Dieu ; l’arbre de la connaissance – l’humain – a pris la première place. Depuis lors, les hommes essaient de faire le bien, tout en faisant l’expérience du mal.

    Seul Jésus peut nous ramener à Dieu et nous redonner spirituellement accès à l’arbre de vie. Quand nous acceptons de le mettre au centre de notre existence, nous retrouvons la position perdue d’Adam et Ève et nous sommes au bénéfice des promesses de Dieu.

    Françoise Lanthier

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    Lecture proposée : Livre du prophète Jérémie, chapitre 17, versets 5 à 8.

    17.5 Voici ce que dit l'Éternel : Maudit soit l'homme qui fait confiance à ce qui est humain, qui prend des créatures pour appui et qui détourne son coeur de l'Éternel !

    17.6 Il est pareil à un genévrier dans la plaine : il ne voit rien venir de bon, il habite les endroits brûlés du désert, une terre salée et sans habitants.

    17.7 Béni soit l'homme qui fait confiance à l'Éternel et qui place son espérance en lui !

    17.8 Il ressemble à un arbre planté près de l'eau et qui étend ses racines vers le cours d'eau : il ne s'aperçoit pas de la venue de la chaleur et son feuillage reste vert. Lors d'une année de sécheresse, il ne redoute rien et il ne cesse pas de porter du fruit.

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