• Jésus de maison en maison (2)

    Lundi 8 Janvier 2024

    Jésus de maison en maison (2)

    "Quelques jours après, Jésus revint à Capernaüm. On apprit qu'il était à la maison, et il s'assembla un si grand nombre de personnes que l'espace devant la porte ne pouvait plus les contenir. Il leur annonçait la Parole." Marc 2. 1, 2

    Jésus a été accueilli à Capernaüm su souvent qu'elle était devenue sa ville. Peut-on en dire autant de notre maison ?

    Au début de son ministère, Jésus venant de Nazareth, se rend à Capernaüm pour y habiter (Matthieu 4. 13). Il y séjourne si fréquemment, que cette localité est cotée seize fois dans les évangiles et qu'elles est appelée "sa ville" (Matthieu 9. 1).

    Á Capernaüm, Jésus délivre un démoniaque, guérit la belle-mère de Pierre, le serviteur paralysé d'un centurion ; il guérit le fils d'un officier du roi Hérode Antipas et un grand nombre d'autres malades. Il était à la maison.

    Á l'époque, Capernaüm n'est qu'un village de pêcheurs et de paysans ne comptant pas plus de 1000 habitants. On comprend que la présence de Jésus "à la maison" ne pouvait pas rester longtemps inaperçue.

    Ce jour-là, de retour à la maison qu'il occupe, sans doute celle de pierre et d'André son frère, la foule s'assemble et il annonce la Parole (verset du jour). La foule est si dense que quatre hommes doivent descendre un paralysé par le toit aux pieds de Jésus pour qu'il le guérisse. "Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique : Mon enfant, tes péchés sont pardonnés" (Marc 2. 5). Puis, devant les spécialistes de la Loi, il guérit le malade. Á une autre occasion, la foule est telle devant la maison que Jésus et ses disciples ne peuvent même pas manger (Marc 3. 20).

    Malgré l'enseignement et les oeuvres de Jésus, les habitants de Capernaüm ne se sont pas repentis. Les évangiles ne parlent pas de persécution envers Jésus, mais leur indifférence à son égard - le péché de Capernaüm - était plus grave que la méchanceté de Sodome (Matthieu 11. 23).

    Ne nous décourageons pas, même si nous vivions dans une atmosphère d'indifférence à l'égard de Jésus. Est-ce que mon « chez moi » est une maison accueillante, un lieu où la lumière divine brille et peut se répandre ? Lorsque la belle-mère de Pierre a été guérie, le soir même, "toute la ville était rassemblée devant sa porte. Il guérit beaucoup de gens qui avaient diverses maladies" (Marc 1. 33, 34).

    Source (Plaire au Seigneur)

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