L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien... Même quand je marcherais par la vallée de l'ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal ; car tu es avec moi. Psaume 23. 1, 4

Le juste est plein de confiance, dans sa mort même. Proverbes 14. 32

Peu de temps avant sa mort, un philosophe athée était dans un état de profond désespoir. On lui prête ces mots : “Je sais que je devrais mourir avec l'espoir d'obtenir quelque chose de meilleur, mais l'espoir doit avoir un fondement...” Et il n'en avait aucun.

Au contraire, Job, le patriarche, avait une espérance sur laquelle il fondait sa foi. Alors qu'il souffrait intensément de sa maladie, et ne savait pas s'il en guérirait, il disait : “Moi, je sais que mon rédempteur est vivant, et que, le dernier, il sera debout sur la terre. Et après ma peau, ceci sera détruit, et de ma chair je verrai Dieu” (Job 19. 25, 26). Même si sa souffrance l'accablait et amenait des questions qui restaient sans réponse, il espérait et croyait en son Rédempteur.

Beaucoup de croyants peuvent éprouver aussi des angoisses en présence de la mort. Pourtant, même s'ils redoutent ce moment ultime, le Seigneur Jésus leur donne la paix, l'espérance de la résurrection, et leur accorde la grâce de mourir avec la certitude d'être pour toujours avec lui.

En effet, celui qui croit en Jésus Christ sait que son Sauveur est mort sur la croix pour ses péchés, et qu'il est ressuscité trois jours après, vainqueur de la mort. C'est la base de sa foi. Il sait que, puisque son Rédempteur est ressuscité, lui aussi ressuscitera pour vivre éternellement avec lui. Son avenir et son espérance sont une réalité vivante déjà vécue par la foi.

Vous-même, possédez-vous cette foi qui donne une telle assurance au-delà de la mort ?

Source (La Bonne Semence)