• “Le Seigneur fut avec Joseph et la réussite l'accompagna.” Genèse 39. 2

     

    À lire l’histoire de Joseph, il semble difficile de croire que Dieu fut avec lui ! Né dans une famille ordinaire et aisée, considéré comme le favori de son père, il ne manquait de rien. Sauf d’un minimum de sagesse ! Aller narguer ses frères en leur racontant qu’ils se prosterneraient un jour devant lui était plutôt stupide, mais ne méritait pas de subir le sort brutal que lui réserverait leur vengeance. Imaginez ce qu’il a dû penser quand il s’est retrouvé esclave dans un pays lointain dont il ne comprenait ni la langue ni la culture. Chacun d’entre nous vit des hauts et des bas au cours de sa vie. Joseph avait porté avec fierté les somptueux vêtements offerts par son père, avant d’endosser les haillons de la servitude. Peut-être avez-vous connu la joie de trouver un emploi excitant, bien payé et enrichissant avant de vivre un revirement de fortune et de vous retrouver au chômage… Comment allez-vous réagir ? Quelqu’un a dit : “Les épreuves font partie intégrante de la vie. Vous ne pouvez les contrôler. Mais vous pouvez contrôler votre réaction face à elles.” Alors que Joseph poursuit sa misérable existence en Égypte, ses frères doivent mener la grande vie en Canaan, enfin libérés du trouble-fête prétentieux qui leur empoisonnait l’existence. Trouvez-vous difficile d’accepter que vos collègues obtiennent de meilleures promotions ? Que celle que vous aimiez ait préféré se marier avec un autre, que vos brillantes idées soient volées par d’autres ; moins doués que vous ? C’est alors que la Bible nous révèle un secret d’importance : Dieu était avec Joseph ! Comme Il est aussi avec vous, malgré les déboires apparents qui parsèment votre vie. Vous devez apprendre ce qu’apprit Joseph : Dieu est près de vous, même si vous ne Le voyez pas, même si vous ne ressentez pas Sa présence, même si les circonstances semblent se détériorer au lieu de s’améliorer. Quand la vie vous paraît injuste, souvenez-vous alors du Dieu qui est “avec vous” !

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  • “Oui, le grandeur de Dieu dépasse ce que nous pouvons connaître.” Job 36. 26

     

    La façon dont vous répondrez à cette question mettra en lumière votre manière de vivre. Si vous n’êtes pas sûr que Dieu soit tout-puissant, toujours présent et toujours proche de vous, alors vous risquez de vivre chaque jour dans la crainte, en vous demandant comment vous ferez face à vos problèmes quotidiens ; vous risquez d’avoir peur de proclamer votre foi au cas où vous seriez ridiculisé ou ne sauriez trouver les mots justes ; vous risquez de ne pas être généreux, car vous dépendez trop de vous-même pour votre sécurité matérielle et pas assez de Dieu ; vous risquez de fuir les opinions des autres parce que n’étant pas sûr d’être accepté par Dieu, vous êtes à la merci de leurs opinions ; nous vivons une époque qui n’aime pas les surprises et l’émerveillement : nous connaissons le sexe des bébés avant leur naissance, nos téléphones indiquent le numéro de l’appelant, nous connaissons souvent le résultat des élections avant même le vote grâce aux sondages d’opinion ! Quand nous réduisons Dieu à notre compréhension, nous nous mettons à prier sans foi, à travailler sans passion, à servir sans joie, et à souffrir sans espoir. Résultat : peurs, défaites et perte de visions futures. La seule chose qui peut restaurer notre émerveillement devant Dieu est la louange. Dieu nous a ainsi faits que devant un spectacle imposant, nous avons besoin d’exprimer notre louange, notre admiration. Nous ne louons pas Dieu parce qu’Il en a besoin, mais parce que nous, nous en avons besoin ! Sans louanges, nous ne Le connaissons pas assez. Nous avons besoin de savoir combien Dieu est grand, pour comprendre la valeur de notre appel, pour demeurer reconnaissants de tout ce qu’Il nous accorde, et ne pas devenir orgueilleux, têtus et vains.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • “Nous tous aussi, nous étions de leur nombre.” Éphésiens 2.3

     

    Les Éphésiens auxquels Paul s’adresse n’étaient pas des juifs, mais des païens, ou plus exactement, des personnes qui adoraient d’autres dieux que Celui annoncé par le missionnaire du Christ. Or, même s’ils étaient spirituellement attachés à des divinités honorées par les populations environnantes, Paul ne dit pas que c’est bien ou suffisant, d’avoir la foi et de croire, laissant entendre que toutes les religiosités se valent et se respectent. Aujourd’hui, une certaine forme de laïcité prétend qu’il est possible de croire toute sorte de choses ou de dieux, pourvu que l’ordre public n’en soit pas affecté. Paul ne cautionne pas les diverses expressions de foi au nom d’un inter-religieux acceptable et respectable. Les Éphésiens sont désignés comme étant “spirituellement morts”. Or, le même apôtre, juif pointilleux et religieux, pharisien et légaliste, signale qu’il en était de même pour lui : “Nous tous (sous-entendu les bons juifs jusqu’ici attachés à la Torah) nous étions comme vous ; nous vivions selon les désirs de notre propre nature. À cause de notre nature, nous étions destinés à subir le jugement de Dieu” (Éphésiens 2. 3). Paul ne prétend pas que, issu du judaïsme pieux et jusqu’alors attentif à la Loi, il était un peu moins païen que les Éphésiens qui adorent des divinités de l’Olympe ou de Rome. Il ne dit pas que son ancienne culture, voire religion, avait quelques valeurs et qu’il n’était pas associé, de ce fait, au sort des idolâtres. Il atteste qu’il était dans le même état de péché que l’ensemble de l’humanité avant la révélation de Dieu en Jésus-Christ. Parfois, nous avons tendance à penser qu’avant la connaissance de Jésus-Christ, nous n’étions pas si mauvais que cela, en tout cas moins mauvais que certains autres. Cette pensée est encore de l’orgueil dont nous devons nous guérir. Paul, l’ancien juif rigoureux, voire radical, signale avec une certaine tristesse : “Nous qui étions morts, en  raison de nos fautes” (2. 5). Nous n’avons jamais été assez bien pour ne pas être morts spirituellement, complètement.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • “Quand à vous, vous étiez morts à cause de vos fautes et de vos péchés.“ Éphésiens 2.1

     

    Lorsque Paul signale aux Éphésiens qu’ils étaient autrefois spirituellement morts, il précise la cause de cette mortalité : vos fautes, vos péchés ! Certaines traductions de ce verset peuvent laisser entendre que les deux termes (fautes et péchés) sont des synonymes. Or, selon le grec original, il n’en est rien. Paul parle, d’une part, des fautes que tout humain est capable de commettre, surtout face aux consignes et aux commandements divins. De la même façon que tout conducteur, même bon, transgresse plus ou moins régulièrement le code de la route, tout homme commet des erreurs et s’égare face aux lois de Dieu. Les 10 commandements ne sont pas tous faciles à respecter. Ces fautes nous éloignent de Dieu jusqu’à perdre la vie qu’Il nous offre portant. Mais Paul évoque aussi, d’autre part, les péchés, ou plus exactement la nature pécheresse. Entendez par là ce qui s’est introduit dans l’ADN de l’homme, non pas créé à l’image de Dieu, mais abîmé depuis le Jardin d’Éden et la transgression du premier couple. En écoutant et en donnant crédit à une autre voix qu’à celle de Dieu, Ève et Adam se sont coupés de la vie. Dieu avait dit :” Si vous mangez de ce fruit, vous mourrez !” Le diable est venu Le contredire : “Vous ne mourrez pas !” Mais il jouait sur les mots. La mort qui suit la désobéissance n’est pas physique et subite ; c’est la fin de la vie spirituelle, celle que donnait le souffle de Dieu à l’homme d’argile, et qui faisait de lui une âme vivante. Dès lors, l’humanité tout entière porte en elle l’empreinte de cette nature devenue pécheresse, pervertie dès l’origine, polluée par le mensonge qui veut nuire à la Vérité. Si donc nous sommes morts à cause de nos fautes et de notre nature pécheresse, nous sommes autant morts par nos actions quotidiennes qui demeurent un écho de la faute originelle que par notre hérédité adamique. Implacable mort ! Maudit soit le serpent ! Mais gloire à Dieu qui nous a ramenés de la mort à la vie, par Jésus-Christ !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • “Quand à vous, vous étiez morts à cause de vos fautes et de vos péchés.“ Éphésiens 2.1

     

    L’apôtre Paul peut avoir parfois des expressions surprenantes. Ainsi écrit-il aux chrétiens d’Éphèse : “Quand à vous, vous étiez morts !” Être mort, à priori, c’est l’être pour toujours. Et si autrefois on était mort, on l’est encore aujourd’hui. Un nombre de plus en plus grand de nos contemporains considère qu’après la mort, il n’y a rien que le néant. Quand on est mort, on est mort ! Telle est la philosophie la plus partagée de nos jours. Si donc autrefois nous étions morts, pouvons-nous être autre chose ensuite, après et maintenant ? Paul précise : vous étiez mort, spirituellement. Il fait ainsi une sérieuse distinction entre le matériel et le spirituel. Mais avant même de distinguer les deux aspects de la vie humaine, il donne crédit au domaine spirituel. Par ailleurs, on peut être mort dans un des aspects, et vivant dans l’autre. C’est ainsi qu’il faut comprendre ce propos énigmatique de Jésus : “Suis-moi et laisse les morts enterrer leurs morts” (Matthieu 8.22). Mais comment peut-on être mort spirituellement et ainsi devenir fossoyeur d’autres morts ? Paul l’explique : “Vous étiez morts à cause de vos fautes et de vos péchés”. Ce qui tue spirituellement l’homme, c’est son attitude complaisante et accueillante à l’égard du péché. Commettre le péché, c’est décider de ne pas se mettre au diapason de Dieu en refusant Ses préceptes et Ses conseils. On ne pèche pas involontairement. Il y a un choix toujours redoutable, et une part de responsabilité : suivre ou non les ordres de Dieu ! Décider ou non de Son chemin. Il y a une attitude qui peut nous éloigner de Dieu en nous maintenant sur le chemin de l’erreur. La mort spirituelle est ce que nous héritons par cette décision. Mais Paul signale que de cette mort-là, nous pouvons nous relever et nous remettre : “Nous qui étions morts en raison de nos fautes, il nous rendu à la vie avec Christ” (Éphésiens 2.5). Cette perspective est à saisir. Qu’en est-il pour vous ?

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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