• « L'Éternel Dieu fit pousser une plante qui s'éleva au-dessus de Jonas pour donner de l'ombre à sa tête et le délivrer de son mal. Jonas éprouva une grande joie à cause de cette plante, mais le lendemain à l'aurore, Dieu fit venir un ver qui la rongea, et la plante sécha. Au lever du soleil, Dieu fit souffler un vent chaud d'est, et le soleil frappa la tête de Jonas au point qu'il tomba en défaillance. Il demanda la mort  en disant : Il vaut mieux pour moi mourir que vivre. » (Jonas 4:6-8)

     

    Dieu fit intervenir un miracle pour enlever la mauvaise humeur de Jonas. Je crois que nous amoindrissons la puissance et l’amour de Dieu. Je refuse de croire que le Dieu de l’Ancien Testament est différent de celui du Nouveau. Je crois que Dieu est capable de faire infiniment au-delà de tout ce que nous pouvons penser, demander, ou imaginer. Je crois que Dieu est capable de ressusciter un mort à travers vous. Il peut le faire. Il est même très probable qu’il veuille le faire.

    Nous devons élever notre foi et discerner le temps présent. Dieu veut que nous puissions racheter le temps, et il est encore prêt à déployer toute sa puissance à travers nous. Nous devons nous rappeler que Jésus a seulement « commencé de faire et d’enseigner ». Nous devons être hardis ! Tu dois être hardi ! Je déclare sur toi que tu es hardi, zélé, plein de courage, de fougue, d’amour ! Je déclare que cet amour t’amène à faire des choses complètement folles selon ce monde, et que tu entres ainsi dans le surnaturel de Dieu !

    Pour voir la puissance de Dieu en opération, nous avons besoin de nous mettre en action en direction de choses impossibles. Exerçons notre foi, mettons-la à l’épreuve pour une personne ! Arrêtons-nous pour une personne, une seule, et voyons la puissance de Dieu. Faisons quelque chose au-dessus de ce que nous aurions fait de manière naturelle, et Dieu manifestera le surnaturel.

    Jérémy Sourdril

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  • Toute l'Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l'homme de Dieu soit formé et équipé pour toute oeuvre bonne. 2 Timothée 3. 16, 17

     

    Le mouvement de la Réforme qui a marqué le 16ème siècle a permis de retrouver, sur la base stricte de la Parole de Dieu, l'essentiel de la doctrine chrétienne : l'Écriture seule (Sola Scriptura), la foi seule (Sola Fide), la grâce seule (Sola Gratia), Christ seul (Solus Christus), et la gloire de Dieu seule (Soli Deo Gloria). Cette devise nous interpelle encore aujourd'hui... L'Écriture seulement !

    Beaucoup de voix se font entendre, présentant chacune sa vérité. Elles diffèrent, évoluent, et sont parfois contradictoires. Difficile de savoir à quoi s'en tenir ! La vérité serait-elle seulement une question de point de vue ? Ce n'est pas très rassurant, tout ça !

    Mais il y a une voix qui n'a pas changée depuis des siècles : celle de la Bible ! Son autorité, son actualité, la façon dont elle répond aux questions et aux besoins de l'homme, son caractère prophétique, nous font reconnaître en elle la voix de quelqu'un au-dessus de tout et de tous, une voix qui ne peut être ce celle de Dieu...

    Ne vaut-il pas la peine de prêter attention à ce que Dieu dit ? Ne serait-il pas imprudent de nier son message, ou de lui ajouter nos opinions personnelles, ou de n'en prendre que ce qui nous arrange ?

    Nous vous invitons à lire la Bible simplement, sans a priori, sans même vous arrêter sur ce qui vous surprendrait ou vous laisserait dans un premier temps. Si vous la lisez avec la confiance que Dieu parle par elle, elle sera pour vous un livre vivant. Sa valeur inestimable et son autorité s'imposeront à vous. Elle est la vérité, le livre de Dieu qui conduit à Dieu.

    (suite les lundis)

    Source (La Bonne Semence)

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  • “En effet, c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne viens pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est pas par les oeuvres, afin que personne ne puisse se vanter. En réalité, c'est lui qui nous a faits ; nous avons été créés en Jésus-Christ pour des oeuvres bonnes que Dieu a préparées d'avance afin que nous les pratiquions.” Éphésiens 2. 8-10

     

    Les “œuvres” sont mentionnées deux fois dans le verset de ce jour, mais dans deux sens complètement différents.

    La première mention des œuvres concerne le salut. Là nous apprenons que personne ne peut être sauvé sur la base des œuvres. Et pourtant beaucoup essaient de gagner la faveur de Dieu par leurs œuvres, leurs efforts, leurs mérites. Le prix de notre rachat est beaucoup trop élevé, puisque c’est “le sang précieux de Christ” (1 Pi. 1. 19). Dans l’A.T., les fils de Coré avaient déjà compris l’impossibilité d’une réconciliation avec Dieu fondée sur les efforts de l’homme : “Mais il ne peuvent se racheter l'un l'autre ni donner à Dieu le prix de leur rançon. Le rachat de leur âme est cher et n'aura jamais lieu.” (Ps. 49. 8, 9). Le seul chemin pour aller vers Dieu est de mettre sa confiance dans le Seigneur Jésus et dans son sacrifice sur la croix. Lui seul a effacé l’obstacle, le péché, qui renvoyait l’homme loin de Dieu.

    La seconde mention des œuvres concerne la façon de vivre du chrétien. Celui-ci est sauvé par la grâce et par la foi, libéré du poids de ses péchés ; il ne peut pas continuer à vivre égoïstement pour lui-même. Au contraire, sa joie est de se mettre à la disposition de son Sauveur et Seigneur et d’entrer dans les bonnes œuvres préparées pour lui par Dieu lui-même.

    S’il est donc vrai que nous ne sommes pas sauvés par des bonnes œuvres, il est tout aussi vrai que “moi, c'est par mes œuvres, je te montrerai ma foi” parce que “même comme le corps sans esprit est mort, de même la foi sans les œuvres est morte” (Jac. 2. 18 et 26). En accomplissant ces œuvres avec amour pour le Seigneur, simplement pour lui plaire, nous ne pouvons pas nous tromper : nous sommes dans le plan qu’il a pour la vie de chacun des siens (Tite 2. 14 ; 3. 1, 8, 14).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Donnez et on vous donnera ; on versera dans le pan de votre vêtement une bonne mesure, tassée, secouée et qui déborde, car ont utilisera pour vous la même mesure que celle dont vous vous serez servis." Luc 6.38

     

    Avec les années, j'ai appris à écouter ces pensées qui surgissent dans mon cœur, surtout celles qui me poussent à aider ou bénir les autres. J’appelle cela "la règle des sept secondes" : quand le Saint-Esprit vous pousse à faire quelque chose, faites-le dans les sept secondes, ou vous ne le ferez probablement jamais !

    "Si vous ressentez le désir de vivre des miracles, laissez le Saint-Esprit vous conduire."

    Si vous ressentez le désir de vivre des miracles, des "connexions divines", des rencontres extraordinaires, laissez le Saint-Esprit vous conduire. Peut-être êtes-vous freiné(e) par cette interrogation : "Comment être sûr(e) que c’est bien le Saint-Esprit qui s’exprime, et non moi-même ?"

    Sachez d’abord que si vous n'avez naturellement pas le désir de mettre en œuvre l’idée qui a surgi dans votre esprit, c’est qu’elle ne vient probablement pas de vous ! L’esprit est bien disposé, mais la chair est faible. Naturellement, notre chair n’a pas envie de faire ce que le Saint-Esprit désire. (Galates 5.17)

    D’autre part, si cette idée consiste à agir en faveur de quelqu'un, comme par exemple venir en aide à un SDF, secourir un migrant ou encourager un ami : vous ne prenez pas trop de risques, car Dieu est amour, il désire encourager chacun, et dans tous les cas vous aurez fait du bien à quelqu’un.

    Enfin, on peut imaginer que vous avez moins de chances de commettre une erreur en mettant en œuvre cette idée qui s’est manifestée de manière subite et étonnante à votre esprit, plutôt qu’en l’ignorant !

    Une action pour aujourd’hui

    Que pourriez-vous donner pour Dieu ? Peut-être est-il en train de déposer une idée dans votre cœur alors que vous lisez ces lignes. Si vous n’aviez que sept secondes, que feriez-vous ?

    Éric Célérier

    Source (La Pensée du Jour)

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  • « La parole de l’Éternel fut adressée à Jonas, fils d’Amittaï : Lève-toi, va à Ninive, la grande ville, et crie contre elle, car sa méchanceté est montée jusqu’à moi. Jonas se leva pour s'enfuir à Tarsis, loin de la présence de l'Éternel. Il descendit à Jaffa, et il trouva un bateau qui allait à Tarsis. Il paya le prix du transport et s'embarqua  pour aller avec les passagers à Tarsis, loin de la présence de l'Éternel. » (Jonas 1:1-3)

     

    Dieu demanda au prophète Jérémie de ne pas être rebelle comme ses concitoyens. L’atmosphère de rébellion qui existe dans le monde peut nous pousser à nous rebeller nous aussi. Nous devons résister à la rébellion du présent siècle et attendrir nos coeurs dans la présence de Dieu, sinon nous suivrons l’exemple de Jonas.

    Nous ne devons pas prendre à la légère la correction du Seigneur. Cette correction se manifeste souvent par une tristesse dans l’esprit qui nous pousse à la repentance. Nous n’agirons peut-être pas comme il le faut dès la première fois, mais nous devons passer par la repentance afin de changer profondément. Souvent, Dieu nous demandera de parler à telle et telle personne. Notre coeur tremblera parfois, et plusieurs pensées essaieront peut-être de nous arrêter. Nous ne devons pas fuir « loin de la face de l’Éternel ». J’étais la semaine dernière invité dans une conférence, et je transportais plusieurs orateurs qui n’avaient pas de voiture. Nous étions en retard pour la réunion car nous avions dû attendre quelqu’un, lorsqu’à 500 mètres de l’église un homme voulait traverser. Personne ne le laissait passer, alors, bien qu’en retard, je m’arrêtai, pour réaliser qu’il boitait. Je le regardai traverser puis continuai ma route, et mes pensées commencèrent à discuter ensemble : 

    . Arrête-toi sur le bord de la route et prie pour lui !

    . Oui mais c’est un couloir de bus, tu ne peux pas t’arrêter !

    . Je pourrais m’arrêter un peu plus loin peut-être...

    . Mais tu es en retard à la réunion et tu transportes des orateurs qui seront encore plus retardés ! 

    Finalement, j’ai continué ma route, et nous sommes arrivés à l’église. J’étais triste. Vraiment triste. La présence de cet homme n’était pas un hasard, mais je crois que Dieu l’avait placé sur ma route. J’ai échoué. Ne discutez jamais avec la désobéissance.

    Jérémy Sourdril

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