• Goûtez et voyez combien l'Éternel est bon ! Heureux l'homme qui cherche refuge en lui ! Psaume 34. 9

     

    Le roi d'une tribu africaine fut un jour attaqué par un tigre et n'eut la vie sauve que grâce à l'intervention d'un de ses esclaves ; il perdit cependant un doigt dans l'affaire. Très en colère, il s'écria : "Si Dieu était bon, je n'aurais pas perdu un doigt". L'esclave, un chrétien, lui répondit : "Majesté, Dieu est bon, et ce qu'il fait est sage. Il ne fait jamais d'erreur". À ces mots le souverain, pris de rage, fit emprisonner celui qui lui avait pourtant sauvé la vie.

    Quelque temps plus tard, fut fait prisonnier par des guerriers qui avaient l'habitude d'offrir des sacrifices humains à leurs idoles. On allait lui faire subir le même sort, mais quand ses ennemis remarquèrent qu'il lui manquait un doigt, ils le relâchèrent sans tarder, car il n'était pas permis de sacrifier une victime ayant un défaut corporel.

    Rentré chez lui, le roi fit libéré l'esclave emprisonné, et lui dit avec bienveillance :

    - Dieu a vraiment été bon pour moi. J'aurais été tué. C'est seulement parce qu'il me manque un doigt qu'ils m'ont laissé aller. Mais je me demande pourquoi Dieu a permis que je te mette en prison.

    - Majesté, répondit l'esclave, si je n'avais pas été en prison, j'aurais été capturé avec et sacrifié à votre place car moi, j'ai tout mes doigts.

    Il nous arrive souvent de ne pas comprendre les intentions de Dieu dans les situations que nous vivons. Mais gardons toujours la certitude que "tout contribue au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés conformément à son plan" (Romains 8. 28.)

    Source (La Bonne Semence)

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  • “À l'âge de 65 ans, Hénoc eut pour fils Metushélah. Hénoc marcha avec Dieu 300 ans après la naissance de Metushélah et il eut des fils et des filles. Hénoc vécut en tout 365 ans. Hénoc marcha avec Dieu, puis ils ne fut plus là, parce que Dieu l'avais pris.” Genèse 5. 21-24

     

    Le 5e chapitre de la Genèse nous présente la généalogie des descendants d’Adam jusqu’à Noé. Luc complétera cette généalogie en la poursuivant jusqu’à Jésus, Messie et Sauveur du monde, en passant par Abraham et David.

    Hénoc occupe une place à part dans cette liste : chaque nom cité est en effet suivi des mots “puis il mourut” ; mais Hénoc fait exception à ce constat : Dieu l’a enlevé sans le faire passer par l’étape de la mort.

    Après la naissance de son fils Methushélah, Hénoc marcha avec Dieu pendant 300 ans. Cela ne consistait pas à enchaîner des d’actions hors du commun et spectaculaires, ni à s’imposer des rites et des « bonnes œuvres » pour gagner la faveur de Dieu. C’était vivre la vie de tous les jours dans la crainte de Dieu, c’était montrer qu’il était en relation vivante, proche et « amicale » avec Dieu. Cela a certainement frappé ses contemporains ; sa vie exemplaire a été un puissant témoignage face à la méchanceté grandissante des hommes : Jude précise d’ailleurs qu’il était un prophète et annonçait le jugement de Dieu sur les impies (Jude 14).

    Quelles étaient les ressources dont disposait Hénoc pour marcher avec Dieu et témoigner ainsi ? La chronologie des premières générations montre que Hénoc a connu tous ses ancêtres, y compris Adam. Il savait donc bien ce qui s’était passé au début, il en connaissait le déroulement, les causes, les conséquences. Il connaissait la sainteté de Dieu. Hénoc savait que Dieu avait en horreur la désobéissance envers lui ainsi que toute méchanceté et violence envers les autres humains. Mais cette connaissance n’avait pas suffi pour inciter ses ascendants à “marcher avec Dieu”. C’est lui-même qui avait eu la volonté de choisir la fidélité et la proximité quotidienne avec Dieu. Et Dieu déclare : “j'honorerai celui qui m'honore” (1 Sam. 2. 30). Dieu l’a choisi comme prophète, Hénoc avait donc la capacité et l’habitude d’entendre la voix de Dieu.

    Hénoc est cité parmi la liste des héros de la foi : “C'est à cause de sa foi qu’Hénoc a été enlevé pour échapper  la mort, et on ne l'a plus retrouvé parce que Dieu l'avais enlevé. Avant d'être enlevé, il avais en effet reçu le témoignage qu'il était agréable à Dieu” (Héb. 11. 5).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Comme Josué était près de Jéricho, il leva les yeux et regarda. Voici qu'un homme se tenait debout devant lui, son épée dégainée dans la main. Josué alla vers lui et lui dit : Es-tu pour nous ou pour nos ennemis ?" Josué 5.13

     

    Soudain, un homme tenant une épée à la main se présenta. Josué l’approcha, et stupéfait, découvrit que c’était le commandant en chef de l’armée de Dieu. Retirant ses sandales, car la présence de ce mystérieux personnage rendait ce lieu instantanément saint, il se prosterna aussitôt et... oui, il l’adora. Car cette personne, c’était Jésus ! Moment d’intense solitude pour Josué à la vue de Jéricho... Le géant qui le défiait, là, n’avait rien à voir avec Goliath. Pas plus qu’avec les immenses et épaisses murailles de cette ville, mais un grand point d’interrogation au fond de lui : "Comment ? Dieu a dit qu’il ne me laisserait pas et que nul ne tiendrait devant moi, mais maintenant, là, comment me donnera-t-il Jéricho ?!?"

    "Aujourd'hui, et depuis toujours, Jésus est disposé à nous soutenir."

    Cher(ère) ami(e), Jésus était bien présent dans l’Ancien Testament. S’adressant tout d’abord à Moïse depuis le buisson ardent, c’était bien lui, l’ange de l’alliance décrit dans (Malachie 3.1) et qui est apparu plus tard dans les Évangiles. Ainsi, Ésaïe l’appela "ange de la face de Dieu" (Esaïe 63.9) : "Dans toutes leurs détresses, il a souffert avec eux, et l'ange de sa face les a sauvés. C’est lui-même qui les a rachetés, dans son amour et sa compassion, et constamment, par le passé, il les a levés et portés."

    Voici Jésus comme vous ne l’avez peut-être jamais imaginé : en chef militaire, une épée à la main ! Il s’apprête à combattre et à vaincre : "…dans son amour et sa compassion, et constamment, par le passé, il les a levés et portés." Cela veut dire qu’aujourd’hui, et depuis toujours, Jésus est disposé à nous soutenir. L’épée à la main, il est prêt à combattre et à vaincre, car les ennemis de ses précieux enfants sont ses ennemis. Qui sont-ils ? Il n’est pas question ici d’êtres humains, que nous aimons, même s’ils se comportent en ennemis, mais bien de Satan, de ses ruses, de la souffrance, des combats dans nos pensées, etc. Voilà les ennemis de notre communion avec Jésus ! Mais Dieu "voulait conduire à la gloire beaucoup de fils... (par) le commandant en chef de leur salut", dit la lettre aux Hébreux. (Hébreux 2.10)

    Aujourd’hui, l’épée à la main, le commandant en chef de l’armée de Dieu, Jésus lui-même, combat et vaincra pour que vous et moi connaissions pleinement sa glorieuse présence !

    Une vérité pour aujourd’hui

    Quels que soient vos ennemis, Jésus est prêt à les combattre et à les vaincre car vous êtes précieux(se) à ses yeux.

    Christian Robichaud

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Vous pouvez annoncer l’Évangile en maillot de bain. Oui, c’est fou. Des millions de personnes se rendent chaque été sur de nombreuses plages et parcs aquatiques. Et parmi ces millions de personnes, certaines se rendront en enfer le jour-même sans l’avoir imaginé au matin... Ces plages sont aussi des rendez-vous malsains pour un grand nombre, où règnent la sensualité, la dépravation, le voyeurisme, l’adultère, l’orgueil, etc. Alors, nous devons y briller.

    Nous avons dans notre petite ville un parc aquatique. Je ne m’y baigne pas, mais puisque nous avons un enfant, nous nous y inscrivons chaque année. Lorsque nous y allons, nous portons avec mon épouse des tenues appropriées et sans équivoque. C’est un endroit merveilleux pour annoncer l’Évangile. Il y a quelques jours, on s’amusait de moi en me voyant arpenter les ruelles du parc à la recherche d’une âme, tel un lion qui cherche sa proie.

    En fait, j’arpentais plutôt ces ruelles comme un sauveteur. J’ai fait plusieurs fois le tour et je ne réussissais pas à parler à quelqu’un. J’étais découragé et je retournais à ma place. Le Saint-Esprit était sur moi, mais je n’arrivais pas à le faire. Annabelle qui connaît ma vie avec le Saint-Esprit m’encourageait alors. Finalement, je priai : « Seigneur, aide-moi s’il te plaît. Je ne veux pas te résister, je ne veux pas te mépriser, je ne veux pas passer à côté de l’appel que tu m’as laissé. Je veux annoncer l’Évangile ». Je me levai et cherchai.

    Quelques minutes après, je vis une femme blessée qu’on transportait sur une civière, et un enfant qui paraissait gravement blessé. Je vis une femme qui regardait l’enfant et je lui demandai si elle était de sa famille. Non, elle venait de se bloquer le dos en descendant un toboggan. Je lui proposai de prier pour elle avant qu’elle ne fasse quoi que ce soit. Je priai pour elle et lui demandai de constater sa guérison. Elle bougea ses épaules et dit : « Wouaw ! ». Elle repartit en me remerciant. Heureux de ce succès, 2 hommes costauds, musulmans, passaient. Je leur dis : « Vous avez besoin du Seigneur Jésus ! ». Oh j’aime quand le feu de Dieu est sur moi et que rien ne devient impossible. Ils furent touchés par le Seigneur.

    Jérémy Sourdril

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  • Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu'un veut être mon disciple, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix et qu'il me suive. Matthieu 16. 24

     

    L'expression "porter sa croix" fait souvent penser que chacun à sa part de soucis et de souffrances sur la terre, pour acquérir la faveur de Dieu dans l'au-delà.

    Mais lorsque Jésus parle de le suivre en "portant sa croix", il se réfère à la coutume romaine de l'époque qui voulait que les condamnés à la crucifixion portent eux-mêmes leur croix jusqu'au lieu de supplice. "Jésus, portant sa croix, sortit de la ville pour aller vers l'endroit appelé le Crâne, qui se dit en hébreu Golgotha. C'est là qu'ils le crucifièrent, et avec lui deux autres, un de chaque côté et Jésus au milieu" (Jean 19. 17, 18). Lorsqu'on voyait passer un homme chargé d'une croix, deux choses étaient claires :

    - Sur lui, les plaisirs animés par l'esprit du monde n'avaient plus de prise. Il allait à la mort, et tout cela ne le concernait plus.

    - Cet homme, qu'elles que soient ses aptitudes, n'intéressaient plus la société puisqu'il était condamné. On n'attendait plus rien de lui, on ne voulait plus de lui.

    L'apôtre Paul y fait allusion lorsqu'il affirme que, identifié avec Jésus Christ mis en croix, il en a fini avec le monde, et le monde en a fini avec lui (Galates 6. 14). Paul et cette société sans Dieu n'ont plus rien à faire l'un avec l'autre.

    Chrétiens, voilà la relation dans laquelle la croix de Jésus Christ nous place vis-à-vis du monde organisé sous l'autorité de Satan. À nous de le vivre concrètement, de "prendre notre croix", à la suite de Jésus. Nous ne serons pas perdant car, si nous sommes morts, notre vie est "cachée avec Christ en Dieu" (Colossiens 3. 3). Dans cette condition, nous serons des témoins vivants de Jésus dans le monde, et pour tous ceux qui nous entourent.

    Source (La Bonne Semence)

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