• Quelques montagnes (3)

    Dimanche 24 Juillet 2022

    Quelques montagnes (3)

    La montagne où Jésus prie

    Les disciples sont dans la tempête sur le lac de Tibériade. Pendant ce temps-là, Jésus monta sur la montagne, à l’écart pour prier ; et le soir étant venu, il était là, seul (Matthieu 14:23). Nous pouvons raisonnablement penser qu’il priait aussi pour les disciples dans la tempête.

    Cette scène suggère notre situation. Dans ce monde, nous sommes parfois comme ballottés par les circonstances difficiles et imprévisibles de la vie. Cependant nous sommes assurés par plusieurs passages des Écritures que notre Seigneur glorifié (dont la position élevée sur la montagne nous donne l’image) prie pour nous (Romains 8:34 ; Hébreux 7:25).

    Alors courage, nous ne sommes pas abandonnés.

    Les montagnes vers lesquelles on regarde

    J’élève mes yeux vers les montagnes, d’où vient mon secours ; mon secours vient d’auprès de l’Éternel, qui a fait les cieux et la terre (Psaume 121:1,2).

    Contemplant de hautes montagnes, nous sommes saisis par leur majesté et rendus conscients de notre petitesse. La majesté de ces montagnes amène le psalmiste à discerner le Dieu Créateur tout puissant qui seul peut lui apporter le secours.

    Les premiers chrétiens, déjà soumis à la persécution violente, ont élevé leurs yeux vers les montagnes d’où pouvait venir le secours : Ô Souverain ! C’est toi qui as fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s’y trouve... donne à tes esclaves d’annoncer ta parole avec toute hardiesse (Actes 4:24,29 ; 1 Pierre 4:19). Faisons de même !

    La montagne d’où l’on regarde

    Viens ici, je te montrerai l’épouse, la femme de l’Agneau. Il m’emporta en esprit sur une grande et haute montagne (Apocalypse 21:9,10).

    Cette grande et haute montagne suggère ici l’élévation morale et spirituelle nécessaire pour contempler l’Église unie à Jésus Christ pendant son règne terrestre (l’expression la femme de l’Agneau est là pour nous rappeler qu’il s’est sacrifié pour elle). Dans un langage symbolique, l’Église est vue comme une cité. Le peuple d’Israël y aura sa part (Apocalypse 21:12). Les nations marcheront à sa lumière (Apocalypse 21:24) mais Jésus-Christ, l’Agneau, illuminera toute la scène de sa divine clarté (Apocalypse 21:23).

    Comme Jean, nous sommes invités déjà à voir cela, mais il faut monter sur la montagne et contempler, par la foi et dans l’adoration, la gloire dans laquelle Jésus va nous placer un jour !

    Source (Plaire au Seigneur)

    « Une foi agréable à DieuLe symbole des apôtres (3) : Je crois en l'Esprit Saint »
    Partager via Gmail

    Tags Tags : , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :