Jeudi 21 Avril 2022

Qu'y a-t-il après la mort ?

L’homme s’en va vers sa demeure éternelle. Ecclésiaste 12.7

À la fin d’une réunion, un homme est venu me poser cette question : « Si, lorsque vous serez mort, vous découvrez qu’il n’y a rien après la mort ; que tout est terminé pour vous entre quatre planches qui pourriront avec vous, que penserez-vous alors ? Que tout ce que vous avez prêché n’a servi à rien, sinon qu’à tromper vos auditeurs ? »

Après réflexion, je lui ai dit : « S’il n’y a rien après la mort, comment pourrais-je m’en rendre compte puisque, n’étant plus vivant, comme vous le prétendez, je ne serais plus conscient de quoi que ce soit. Mais, réfléchissez un instant ! Si vous-même, une fois décédé, vous réalisez qu’il y a bien une vie après la mort, que la Bible n’a pas menti et que Dieu existe vraiment. Qu’allez-vous penser ? Car votre âme et votre esprit vivront éternellement, mais loin de Dieu, pour avoir refusé de croire en lui. Vous serez perdu à tout jamais pour avoir refusé le salut qu’il vous offrait en Jésus-Christ. Quel affreux moment ce sera pour vous ! »

Et vous qui lisez ces lignes, ne courez pas ce risque de passer dans l’au-delà en ayant refusé le pardon que Dieu vous a acquis par la mort de son Fils sur la Croix. La Bible dit : « Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement... » « Heureux les morts qui meurent dans le Seigneur » (Hébreux 9.27 et Apocalypse 14.3.).

Réalisez-vous ce que vous perdriez ?

Yves Perrier

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Lecture proposée : Livre de l’Ecclésiaste, chapitre 12, versets 1 à 9.

12.1 Jeune homme, réjouis-toi dans ta jeunesse, livre ton cœur à la joie pendant les jours de ta jeunesse, marche dans les voies de ton cœur et selon les regards de tes yeux ; mais sache que pour tout cela Dieu t’appellera en jugement.

12.2 Bannis de ton cœur le chagrin, et éloigne le mal de ton corps ; car la jeunesse et l’aurore sont vanité.

12.3 Mais souviens-toi de ton créateur pendant les jours de ta jeunesse, avant que les jours mauvais arrivent et que les années s’approchent où tu diras : Je n’y prends point de plaisir ;

12.4 avant que s’obscurcissent le soleil et la lumière, la lune et les étoiles, et que les nuages reviennent après la pluie,

12.5 temps où les gardiens de la maison tremblent, où les hommes forts se courbent, où celles qui moulent s’arrêtent parce qu’elles sont diminuées, où ceux qui regardent par les fenêtres sont obscurcis,

12.6 où les deux battants de la porte se ferment sur la rue quand s’abaisse le bruit de la meule, où l’on se lève au chant de l’oiseau, où s’affaiblissent toutes les filles du chant,

12.7 où l’on redoute ce qui est élevé, où l’on a des terreurs en chemin, où l’amandier fleurit, où la sauterelle devient pesante, et où la câpre n’a plus d’effet, car l’homme s’en va vers sa demeure éternelle, et les pleureurs parcourent les rues ;

12.8 avant que le cordon d’argent se détache, que le vase d’or se brise, que le seau se rompe sur la source, et que la roue se casse sur la citerne ;

12.9 avant que la poussière retourne à la terre, comme elle y était, et que l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné.

Source (Vivre Aujourd'hui)