Jeudi 4 Novembre 2021

Je dis à l'Éternel : Tu es mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie... Il te couvrira de ses ailes et tu trouveras un refuge sous son plumage... Tu ne redouteras ni les terreurs de la nuit ni la flèches qui vole durant le jour, ni la peste qui rôde dans les ténèbres. Psaume 91. 2-6

Le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. Romains 6. 23

Peur

Lorsque les premières personnes ont été infectées en Chine, en décembre 2019, personne n'avait la moindre idée de ce qui attendait le monde. Puis le coronavirus s'est propagé à une vitesse fulgurante. Impossible de l'arrêter. Chacun espérait que le virus ne l'atteindrait pas et plus il se rapprochait, plus la peur envahissait la population.

Changement climatique, attaques terroristes, virus qui coupe le souffle... Qui en est le maître ?

La peur est déclenchée par une menace, qui peut viser notre vie, notre bonheur, notre santé, voire notre existence. À plus forte raison, s'il s'agit d'une attaque à laquelle nous ne pouvons pas résister.

Où se situe donc la véritable cause de la peur ?

Lorsque le premier couple humain a enfreint le commandement de Dieu, la peur s'est installée dans le coeur de l'homme. Jusque-là, il avait d'heureuses relations avec son Créateur qui venait lui parler au frais du jour. Après cette désobéissance, Adam et Ève se sont cachés et ont eu peur (Genèse 3. 9).

Pour échapper à cette peur de Dieu, nous pouvons déclarer que Dieu est mort, ou chercher à ignorer notre culpabilité. Pourtant la mort, salaire du péché, n'est-elle pas la plus grande menace qui nous guette tous ? Personne n'y échappe. La mort n'est pas un problème biologique qui se résout par un traitement médical. Mais il y a un Au-delà après la mort. Bien sûr, la foi au Seigneur n'immunise pas contre le virus, mais elle nous délivre de nos péchés nous donne la paix, le repos de l'âme et de la vie éternelle. Dieu est notre Père, nous n'avons plus peur de sa présence et de sa justice.

Source (La Bonne Semence)