• P.a.S : Transformée par la nouvelle naissance

    “Soyez transformés par le renouvellement de votre intelligence, pour discerner ce qu’est la bonne, agréable et parfaite volonté de Dieu.” Romains 12. 2

     

    Toute recroquevillée sur elle-même, Christine était le souffre-douleur des locataires du Foyer où elle apprenait la couture. Elle avait eu deux enfants « par hasard ». Quand on lui a dit que le Seigneur Jésus l’aimait, était mort pour elle à la croix, Christine s’est ouverte à l’Évangile, comme une fleur au soleil. Elle a commencé à aimer. Elle ne savait pas qu’on pouvait border les enfants dans leur lit, les embrasser, les tenir sur les genoux, prier avec eux. Elle ne savait pas qu’il faut leur donner à déjeuner le matin. Comme elle n’avait jamais eu le moindre geste de tendresse, elle a dû apprendre à ressentir l’amour et à le manifester. Au fil des mois, on a vu Christine se transformer et devenir intelligente. Elle a pu quitter le foyer, quitter la tutelle, devenir indépendante dans un appartement bien à elle. Elle a désiré avoir un club « Bonne Nouvelle », réunir des enfants dans l’immeuble où elle habitait. Elle parlait de son Seigneur à tous ceux qu’elle rencontrait, beaucoup appartenant à des familles musulmanes.

    Être un bon parent requiert de la pratique. Mais « le parent idéal » n’existe pas. On peut toujours apporter à Dieu ses insuffisances et ses échecs : « Tu vois, Seigneur, je n’ai que cinq pains et deux petits poissons !  » Il les multipliera (Jean 6. 11). C’est dans ma faiblesse que la force de Dieu s’accomplit (2 Cor. 12. 9).

    Notre Père céleste est un modèle aux parents :

    – Il assure nourriture : “Votre Père céleste sait que vous avez besoin de tout cela” (Luc 11. 11-13 : Matt. 6. 26-32) et protection “comme une poule sa couvée sous ses ailes” (Luc 13. 34).

    – Il est un Père rempli de compassion, car il nous connaît bien (Ps. 103. 13, 14).

    – Il donne sa tendresse, même aux tout-petits, à ceux qui ont besoin de téter, d’être portés, caressés, consolés “comme quelqu’un que sa mère console” (Es. 66. 11-13), continuellement et sans être oubliés (Es. 49. 15, 16).

    – Il donne sa force et partage son expérience pour l’apprentissage de la vie de ses enfants “comme l’aigle… étend ses ailes… porte ses petits sur ses plumes” (Deut. 32. 11, 12).

    Quel exemple pour nous, parents chrétiens !

    Source (Plaire au Seigneur)

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