• Le paralysé de Béthesda (1)

    Mercredi 13 Mars 2024

    Le paralysé de Béthesda (1)

    "Il y a à Jérusalem [...] un réservoir d'eau, appelé en hébreu Béthesda [...] il y avait là un homme infirme depuis trente-huit ans. Jésus, le voyant couché là, et sachant qu'il était dans cet état déjà depuis longtemps, lui dit : Veux-tu être guéri ?" Jean 5. 2, 5, 6 Version Darby

    Á l'image du paralysé de Béthesda, le Seigneur nous guérit du péché, puis il nous demande de marcher d'une manière digne de lui dans l'énergie de la foi qu'il nous communique.

    Triste tableau que celui de cet homme de Jérusalem, couché à côté du réservoir d'eau appelé Béthesda, qui signifie maison de miséricorde. Il est paralysé depuis des années et il attend la guérison, comme beaucoup d'autres infirmes autour de lui, sans la voir venir. Depuis 38 ans qu'il attend, le paralysé a compris une chose : c'est qu'il ne peut rien faire par lui-même pour obtenir la délivrance. Il a peut-être perdu tout espoir.

    C'est dans ce contexte que le Seigneur voit le malade parmi tous les autres et lui pose cette question surprenante : "Veux-tu être guéri ?" Par cette question, le Seigneur cherche à réveiller un mouvement de confiance chez cet homme abandonné et découragé. Le malade discerne la noblesse et la compassion de celui qui lui porte une telle attention ; il lui raconte sa misère : "Seigneur, je n'ai personne pour me plonger dans le réservoir lorsque l'eau a été agitée" (Jean 5. 7).  Jésus lui dit alors : "Lève-toi, prends ton brancard, et marche". Dans un acte de foi, le malade obéit. Il se lève et marche ! C'est la preuve d'une guérison totale, aux yeux de tous. Le Seigneur ne demande jamais d'accomplir un acte sans donner la capacité de le faire.

    De même, quand nous sommes sauvés, le Seigneur ne nous demande pas seulement de nous lever, mais aussi de marcher. Il nous guérit d'abord du péché, puis il s'attend à ce que nous marchions d'une manière digne de lui dans l'énergie de la foi qu'il nous communique. Porter son brancard, c'est le souvenir de ce que nous étions avant notre libération.

    Ce tableau s'applique aujourd'hui à notre société, à notre monde. Tant de personne souhaitent mieux vivre, espèrent goûter une vraie joie, avoir une conscience sereine, avoir des certitudes, bref, être délivrées de leur état.

    Tout leurs efforts dont vains tant qu'elles n'ont pas reconnu leur incapacité à s'améliorer par elles-mêmes et que seul Jésus peut les délivrer de leurs problèmes profonds.

    Source (Plaire au Seigneur)

    « Jésus vous regarde avec amour !L'évangile : une libération complète »
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