Mercredi 2 Mars 2022

Le centre de la Bible

Arrêter de placer votre confiance dans l'être humain ! Sa vie n'est qu'un souffle ! Quelle est en effet sa valeur ? Ésaïe 2.22

Comme la mer, la Bible est un livre si profond qu’un lecteur assidu n’en pourra jamais toucher le fond. Aucun être humain ne peut sonder l’infinie richesse de la pensée divine. Et pourtant, toute personne sincère et humble peut en comprendre le message. C’est vraiment un livre surprenant...

La Bible contient 66 livres divisés en 1189 chapitres et 31173 versets (chiffres variables suivant les versions). Voulez-vous connaître le verset situé au centre de toute la Bible ? Il s’agit du verset 8 du Psaume 118 : Mieux vaut chercher un refuge en l’Éternel que de mettre votre confiance dans l'homme. Il semble que Dieu a disposé cette parole comme un poteau indicateur ouvrant sur deux voies opposées qui concernent la question du fondement de notre vie : En qui donc as-tu placé ta confiance (Ésaïe 36.5) ? En Dieu ou dans les hommes ?

Se fier dans l’homme, avec ses pensées corrompues par Satan le trompeur, mène à une vie sans but, souvent assortie de désordre, d’insatisfaction, de souffrance. Et, dans l’au-delà, à la ruine éternelle.

Se confier en Dieu, c’est trouver l’amour véritable, la vérité, un sens à la vie, un abri sûr dans les épreuves. Et, dans l’éternité, la joie incomparable d’être dans la présence divine.

Mettre sa confiance dans le Dieu de la Bible, c’est le mettre... au centre de notre vie !

Françoise Lanthier

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Lecture proposée : Livre du prophète Jérémie, chapitre 17, versets 5 à 13.

17.5 Voici ce que dit l'Éternel : Maudis soit l'homme qui fait confiance à ce qui est humain, qui prend des créatures pour appui et qui détourne son coeur de l'Éternel !

17.6 Il est pareil à un genévrier dans la plaine : il ne voit rien venir de bon, il habite les endroits brûlés du désert, une terre salée et sans habitants.

17.7 Béni soit l'homme qui fait confiance à l'Éternel et qui place son espérance en lui !

17.8 Il ressemble à un arbre planté près de l'eau et qui étend ses racines vers le cours d'eau : il ne s'aperçoit pas de la venue de la chaleur et son feuillage reste vert. Lors d'une année de sécheresse, il ne redoute rien et il ne cesse pas de porter du fruit.

17.9 Le coeur est tortueux plus que tout, et il est incurable. Qui peut le connaître ?

17.10 Moi, l'Éternel, j'explore le coeur, j'examine les reins pour traiter chacun conformément à sa conduite, au fruit de ses agissements.

17.11 Celui qui acquiert des richesses injustement est pareil à une perdrix qui couve des oeufs qu'elle n'a pas pondu : au milieu de sa vie, celle-ci l'abandonnent et, en fin de compte, il n'aura été qu'un fou.

17.12 Il existe un trône de gloire, éminent depuis le début  : c'est là que se trouve notre sanctuaire.

17.13 Éternel, tu es l'espérance d'Israël ! Tous ceux qui t'abandonnent rougiront de honte.

Source (Vivre Aujourd'hui)