• La faiblesse victorieuse (2)

    Ce n'est ni par la puissance ni par la force, mais c'est pas mon Esprit, dit l'Éternel, le maître de l'univers. Zacharie 4:6

     

    David, encore jeune, est envoyé par son père vers le champ de bataille, pour prendre des nouvelles de ses frères. Il y voit le géant Goliath qui, depuis quarante jours, défie les armées d’Israël. Que peut faire ce jeune homme ? Rien tout seul, assurément, mais tout, si Dieu est avec lui et devient sa force. David l’a compris, il l’a même expérimenté dans le passé, dans son combat contre un lion et un ours qui attaquaient son troupeau. Il va combattre le géant philistin en lui disant : Tu marches contre moi avec l'épée, la lance et le javelot ; moi, je marche contre toi au nom de l'Éternel, le maître de l'univers, au nom du Dieu de l'armée d'Israël que tu as insultée (1 Samuel 17:45).

    Dans notre faiblesse, connaissons-nous la puissance du nom de Jésus ?

    L’apôtre Paul ne semble pas prêcher avec une puissance oratoire particulière (1 Corinthiens 2:3,4). Certains disent même : Sa présence personnelle est faible et sa parole méprisable (2 Corinthiens 10:10).

    L’apôtre reconnaît que le Seigneur lui a donné une écharde pour la chair ; mais il lui a aussi promis : Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse. Paul a expérimenté cette promesse et il peut ajouter : Je me montrerai bien plus volontiers fier de mes faiblesses afin que la puissance de Christ repose sur moi (2 Corinthiens 12:9).

    Nous sommes souvent lents à apprendre cette leçon : nous sommes faibles, mais nous nous appuyons sur Dieu seul, pour qu’il manifeste sa puissance en nous.

    Le Seigneur Jésus, comme homme sur la terre, a été la démonstration parfaite de la faiblesse victorieuse. Quoi de plus faible qu’un nouveau-né ? Pourtant il est le salut de Dieu, dans la crèche de Bethléem. Ensuite, il parcourt les routes de la Judée et de la Galilée dans la faiblesse de la condition humaine ; mais avec lui se trouve toute la puissance de Dieu pour guérir, commander à la mer, ressusciter des morts...

    Et que dire de Golgotha, où il est crucifié en faiblesse (2 Corinthiens 13:4) ? C’est à la fois la plus grande faiblesse et la plus grande victoire de l’amour. Faiblesse absolue dans la mort et le tombeau; victoire absolue dans la résurrection !

    Source (Plaire au Seigneur)

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